Résumé W17, et classement final de la saison régulière !
Jan02

Résumé W17, et classement final de la saison régulière !

  0 Like(s) Déjà ??!!?? Cette saison, on l’avait tant attendue à cause du lock-out, et ça y’est, aujourd’hui 2 janvier, elle se termine déjà. Et oui, après cette dernière rencontre, il est temps pour 20 équipes de partir en vacances. Les 12 autres que font-elles ? Vous l’aurez deviné j’espère : Play off !! Et oui, on connait nos 6 équipes par conférence prêtes à en découdre pour arriver au Super Bowl. Dans cet article donc, un résumé assez complet de la dernière semaine de NFL, ainsi que des classements : TOP6 AFC et NFC, places de 13 à 32 de la NFL, ainsi qu’affiches des premiers matchs de play off. Programme chargé ! Lions @Packers : 41-45. Gros score dans ce match ultra offensif. Plusieurs conclusions peuvent en être tirées. QB Stafford passe également la barre des 5000y à la passe sur la saison. Il finit ce match avec 5TD et 2INT. En face, QB Rodgers étant très intelligemment laissé au repose, c’est QB Flynn qui a pris l’attaque de Green Bay en main. Et grosse surprise également, puisqu’il rend une très belle fiche : 31/44 480y 6TD 1INT. Pour un backup, c’est plutôt la classe ! Dernier enseignement de la soirée, la défense de Green Bay est toujours leur point faible : 41 points, c’est juste énorme ! Les Packers finissent donc à 15-1, pour le sort des Lions, va falloir patienter encore un peu ! Titans @Texans : 23-22. Tout s’est joué sur la fin du match, avec un dernier jeu très mal géré de la part de Houston. Après avoir inscrit un TD, ils tentent la conversion à deux points pour passer devant Tennessee. Une pénalité et un snap raté plus loin, le match en est finit ! QB Yates a quitté le match en cours, après seulement un seul drive. Le staff de Houston ne veut pas en dire plus : blessure, ou simple ménagement en vu des play off ? RDV la semaine prochaine pour le savoir ! Les Titans ont gagné, ils ne leur reste plus qu’à attendre les résultats des autres équipes pour savoir si la saison s’arrête aujourd’hui ou non. Colts @Jaguars : 13-19. Pas un match intéressant pour les play off, mais plus pour le first pick de la prochaine Draft. Et avec une défaite de plus au compteur, les Colts s’en approchent à grand pas ! RDV dans la suite de l’article pour en savoir plus …. Jets @Dolphins : 17-19. Finir une saison sur 3 défaites, ce n’est jamais bon pour un prétendant aux play off. Même pas besoin de regarder les autres matchs pour savoir...

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Ligue 1: l’équipe type de la mi-saison
Déc22

Ligue 1: l’équipe type de la mi-saison

  0 Like(s) Après les 19 premières journées, on est en droit de dresser un premier bilan de notre championnat. Ici, notre site vous propose son équipe type de la Ligue 1 depuis la première journée jusqu’à la 19e qui s’est terminée hier soir. Des confirmations, des retours, des surprises. Découvrez l’équipe type de L1 de la première moitié de saison.   Dans les buts l’inévitable Salvatore Sirigu. Très bon depuis le début de saison, il sauve régulièrement le PSG avec ses arrêts spectaculaires. Sur le côté gauche de la défense, Henri Bédimo. Le montpelliérain tout juste arrivé de Lens s’est parfaitement acclimaté à son nouveau club et fait désormais partie des tous meilleurs latéraux du championnat. A droite, ce n’est plus une surprise, Mathieu Debuchy se dispute le poste de meilleur arrière droit de Ligue 1 avec le lyonnais Reveillère. J’ai choisi le lillois car il apporte plus offensivement que son compatriote lyonnais. Ne pas le retrouver dans la liste des 23 pour l’euro serait à la fois une surprise et une déception. La défense centrale est composée de Nicolas Nkoulou, seul marseillais à tenir la baraque lors du coup de moins bien des marseillais. L’ancien monégasque franchi un cap sous la direction de Didier Deschamps. A ses côtés on note le retour en France de Jonathan Zébina, qu’on avait perdu en Italie ces dernières saisons. L’international apporte toute son expérience à la défense brestoise, la 3e du championnat en grande partie grâce à lui. Au milieu on retrouve Florent Balmont, au four et au moulin qui a pris une dimension importante depuis la saison dernière. A ses côtés celui qu’on n’attendait pas là, Renaud Cohade. Pas utilisé à Bordeaux, le milieu fait les beaux jours de Valenciennes où il est très régulier et apporte sa bonne vision du jeu et son engagement. Malheureusement il s’est blessé dernièrement mais devrait revenir en début d’année prochaine. J’ai placé Benjamin Corgnet sur l’aile droite. Le dijonnais est la véritable révélation du début de saison et s’il continue on ne voit pas qui pourrait lui ravir le trophée UNFP d’espoir de l’année. A gauche Michel Bastos, qui renait depuis l’arrivée de Rémi Garde. Ses qualités de frappe et de centre ont été très précieuses pour l’OL. En attaque, la présence d’Olivier Giroud est une évidence. Avec lui le kenyan Dennis Oliech, qui permet à Auxerre de se maintenir à flot. Il a également pris le relais d’Alain Traoré, l’étoile filante du début de saison.   Alors d’accord ? Pas d’accord ? Venez discuter de cette équipe et donnez votre...

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L’affiche de la 19e journée : ASSE-PSG : Paris champion d’automne mais perd Kambouaré !
Déc22

L’affiche de la 19e journée : ASSE-PSG : Paris champion d’automne mais perd Kambouaré !

  0 Like(s) Après avoir pris connaissance des résultats des matchs précédents, on savait que le titre honorifique de champion d’automne allait revenir soir à Montpellier, soit à Paris, qui n’avait besoin du coup que d’un point pour devancer Montpellier au classement. Quelle plus belle affiche que Saint Etienne-Paris SG pour clôturer l’année 2011 ? Vive Le Sport analyse la rencontre pour vous.   On ne change pas une équipe qui déçoit Sous une pluie battante au Stade Geoffroy Guichard, Antoine Kombouaré décide de faire confiance aux 11 mêmes acteurs que contre Lille, Camara et Bisevac restent en défense centrale, mais surtout Ménez et Pastore, particulièrement mauvais contre Lille, gardent la confiance du kanak, laissant Erding, Armand, Hoareau et Lugano sur le banc (pour les prétendant à une place de titulaire). Sirigu reste logiquement numéro 1 dans les buts après son gros match contre Lille. Coté stéphanois un 4-4-2 classique, mais il manquait du monde à Saint Etienne : Nicolita était suspendu, Paulao, Perrin, Guilavogui et Alonso toujours blessés. Marchal et Mignot forme la charnière défensive, avec Ghoulam à gauche et Ebondo à droite. Jérémy Clément qui prend le poste de milieu défensif à Laurent Battles, au côté de Fabien Lemoine. Gradel et Sako sur les ailes, et devant Sinama Pongolle et l’inévitable Aubameyang, très bon dans la bonne série actuelle des verts.   Sirigu-Ruffier: un match dans le match Le début de match est musclé, et les deux équipes se rendent coup pour coup. Gameiro a une première balle de but (11e) mais Marchal, d’un superbe tacle, éloigne le danger face à Ruffier. Les ailiers stéphanois permutent beaucoup et font souffrir Jallet et Ceara, et il faut un arrêt réflexe sensationnel de Sirigu (qui ne sera pas le dernier) devant Gradel pour éviter l’ouverture du score. Puis presque contre le cours du jeu, Nêne frappe un corner sur la tête de Bodmer qui trouve le poteau. Le rebond surprend Ruffier qui claque involontairement le ballon au fond des filets. Le PSG mène dans le chaudron contre le cours du jeu. Avant la pause seul Jallet d’une belle frappe, vient inquiéter Ruffier obligé de contrer le ballon. Les verts ont du mal à s’en remettre mais Paris n’en profite pas.   La seconde période sera presque la copie de la première, Saint Etienne domine dans le jeu et sollicite Sirigu, et Paris répond par des actions individuelles de classe, notamment grâce à Gameiro (même s’il a beaucoup loupé) ou Ménez. Malgré une dernière frappe de Sako, Paris remporte le match et devient ainsi leader de la Ligue 1 après la défaite de Montpellier à Evian. Paris n’a pas réellement convaincu, mais...

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Ligue 1- 19e journée : Une dernière mitigée
Déc22

Ligue 1- 19e journée : Une dernière mitigée

  0 Like(s) La voilà, la dernière journée de l’année 2011. Riche année qui a vu le LOSC brandir le trophée de champion de France en mai. Pour cette dernière, on attendait du spectacle et des buts, ce que l’on a eu sur quelques terrains, pas sur d’autres. La lutte pour le titre n’en est qu’à ses balbutiements, Lille, Lyon et Montpellier baissent un peu le pied. Au fond du classement, les derniers de la classe sont très proches du milieu de tableau (le 19e n’est qu’à 5 points du 10e). Décryptage de cette ultime journée du cru 2011.   Vendredi : Marseille réaliste Premiers à ouvrir le bal, les marseillais avait un déplacement chez le reléguable Nancy à gérer. Depuis Dortmund, Marseille gagne sans convaincre. Le match en lorraine n’a pas dérogé à la règle. Bien regroupés défensivement et dangereux devant, les nancéiens encaissent pourtant rapidement un but de l’incontournable (pour différentes raisons, voir le précédent carton rouge) Valbuena. Marseille se contente de gérer mais se fait surprendre par Lemaitre, qui marque un but, il est vrai, hors-jeu. On a beau alors pester contre l’arbitrage sur la canebière, celui-ci à malgré tout sauvé l’OM d’une belle déconvenue notamment sur le pénalty grossièrement oublié par Stéphane Lannoy (77e). Entre temps l’OM avait repris l’avantage. Lucho marquera un 3e but pour la confiance, mais Nancy ne méritait pas de perdre de la sorte. Un arbitrage limite et des Marseillais réalistes voir chanceux, Nancy n’a pas démérité et doit retirer des points positifs dans le jeu.   Samedi : La loi des 20/80 On connaissait la loi des 20/80 en économie (20% de la population possède 80% des richesses) mais on ne savait pas que quelque fois celle-ci s’appliquait au football. Deux matchs où les attaques ont pris le pas sur les défenses, où les défenseurs ont déserté et les attaquants se lâchent. Deux matchs :14 buts, soit 7 buts par match. Si tous les matchs d’une journée avait cette moyenne, on tournerait à 70 buts par journée, contre une moyenne actuellement d’environ 20. On commence donc par Annecy (au Parc des Sports, où Evian TG « reçoit ») où le leader Montpelliérain venait pour glaner le titre de champion d’automne tant attendu. Pourtant le promu n’est pas si tendre qu’il n’y parait. Après une première période où les savoyards auraient mérité de mener sans un très bon Jourdren, la seconde partira sur les chapeaux de roue. Les hommes de René Girard se reprennent, ouvrent le score, sont rattrapés puis reprennent l’avantage (le tout en 7 minutes). La suite c’est la descente aux enfers: Evian marque 3 buts en 6 minutes et achève le leader du...

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L’affiche de la 18e journée de L1 : Paris-Lille, le pétard mouillé
Déc19

L’affiche de la 18e journée de L1 : Paris-Lille, le pétard mouillé

  0 Like(s) L’affiche avait tout du grand match, de l’opposition de force tant espérée. Il faut dire qu’on l’a longtemps attendu, ce PSG-LOSC. Déjà l’année passée, l’affiche avait été au cœur du déroulement de la saison qui a vu le Lille OSC monter sur le toit de la Ligue 1. On s’en rappelle, les deux équipes se sont rencontrées 3 fois en 2010-2011 : la première pour un échauffement au mois d’Aout en championnat (un triste 0-0 au stadium Nord). La seconde avait déjà beaucoup plus d’importance : la finale de la coupe de France au stade de France et le fameux but d’Obraniak qui a permis aux nordistes de remporter leur 6e coupe de France (la première depuis 1953). A peine une semaine plus tard, Lille se déplaçait au Parc des Princes pour venir y chercher le point suffisant pour devenir champion de France (2-2 après un superbe match) et fêter leur titre pendant ½ heure devant le parcage lillois criant dans un stade vide. Le Paris SG devait donc montrer qu’il était devenu entre-temps (l’argent qatari aidant) le favori logique du championnat de France. Pas facile quand on sait les difficultés parisiennes et la bonne forme lilloise. Sous un temps froid et pluvieux, les supporters lillois ont au moins répondu au rendez-vous. Près d’un millier de supporters nordistes s’entassent dans le parcage une heure trente avant le début du match. L’ambiance s’annonce déjà chaude. Les entraineurs ne nous auront pas déçus quant à la composition des équipes. A part Matuidi (blessé) côté parisien, tous les meilleurs joueurs de part et d’autre sont présents au coup d’envoi. Kombouaré ne lâche pas son quatuor en or : Pastore, Nêne, Ménez et Gameiro sont de nouveau alignés. Bodmer et Sissoko forment une paire de milieux défensifs plutôt convaincante, et derrière Bisevac pousse de nouveau Lugano sur le banc et Camara fait de même avec Sakho. A Lille, pas de grande surprise. Basa et Chedjou en défense centrale, avec les latéraux habituels (Béria à gauche et Debuchy à droite). Gueye fait peu à peu son trou au milieu à 3 avec Balmont et Mavuba. Du coup Pedretti est sur le banc au coup d’envoi. En attaque, malgré ses prestations très moyennes, Sow reste le choix numéro 1 de Garcia devant Jelen, alors que Hazard et Cole restent indéboulonnables sur les ailes, même si Payet reste un candidat légitime à l’une des deux places. Place au coup d’envoi (donné par le père Noel et deux enfants, c’est de saison), et les lillois entament la rencontre. La première occasion attendra le premier quart d’heure et une frappe de Balmont que Sirigu claque en corner, le...

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Ligue 1-18e Journée : Montpellier ralentit, Lyon accélère
Déc19

Ligue 1-18e Journée : Montpellier ralentit, Lyon accélère

  0 Like(s) Nous sommes déjà fin décembre et les journées de ligue 1 se suivent mais ne se ressemblent pas pour un suspense qui s’annonce prenant jusqu’à la 38e journée. Ça se resserre encore devant où la lutte Paris-Montpellier-Lille-Lyon n’a jamais été aussi serrée. Derrière les 3 relégables ont gagné. Décryptage de l’avant dernière journée de l’année 2011.   Samedi : des nuages sur Montpellier, grand soleil sur Lyon Montpellier se devait de réagir après son faux pas valenciennois de la semaine dernière. Mais avant d’envisager une victoire il fallait passer sur Toulouse, qui reste sur de bons résultats (malgré la défaite lyonnaise). Sissoko semble revenu à son meilleur niveau, Tabanou gagne en expérience de match en match, et surtout Bulut marque enfin ! En première période Toulouse se montre bien plus entreprenant que les joueurs locaux, mais c’est les héraultais qui ouvrent le score par Dernis sur une belle action offensive partie d’Utaka, relayé par Giroud et conclue par l’ancien lillois. On pense alors revoir le Montpellier conquérant. Toulouse déjoue et marque le pas par des errements techniques trop importants, mais Mbengue égalise grâce à une frappe de l’intérieur du pied splendide après avoir éliminé 3 joueurs montpelliérains. Montpellier poussera toute la seconde période, sans résultat. Malgré l’excellent match d’Hilton et de Giroud, Montpellier perd 2 points dans la course en tête, à souligner le match fantomatique de Belhanda, son deuxième en deux journées. Attention, Montpellier est prévenu.   On jouait aussi un match aux senteurs de podium dans le Rhône où l’OL recevait Evian TG pour un match largement à sa portée. Lisandro est préféré à Gomis seul en pointe, et l’OL domine clairement toute la première période. Briand ouvre le score sur une reprise après une frappe sur le poteau de l’excellent Alexandre Lacazette, qui pourrait frapper à la porte de l’équipe de France d’ici peu si son niveau de jeu reste le même. Gerland est toutefois refroidi très vite, 8 minutes après exactement. Sagbo part seul en contre et ajuste une frappe puissante entre les jambes de Lloris, pas exempt de tout reproche sur ce but (on ne lui en tiendra pas rigueur vu le nombre d’arrêts miraculeux de l’ancien niçois depuis le début de saison). Lyon rentre au vestiaires après avoir dominé une rencontre mais encaissé un but malheureux sur un contre, le retour de la pause montrera que cet OL là à du caractère. Les gones dominent outrageusement les voisins savoyards, Garde fait entrer Gomis à la place d’ Ederson à l’heure de jeu pour passer à deux pointe, ce qui amènera le deuxième but lyonnais signé Lisandro sur une tête, et (surtout) sur...

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Une histoire de baskets !
Déc08

Une histoire de baskets !

  18 Like(s) Bon, ok la Pam Pam Girl elle aime beaucoup vous parler de sport, de la pratique du sport et des règles du sport, mais la Pam Pam Girl reste avant tout une fille. Et une fille ca a (presque) forcément la passion des fringues, des accessoires de mode et des chaussures (sous toutes leurs coutures 🙂 ! Il fallait donc bien que ces deux sujets se croisent un jour pour n’en former plus qu’un … et ce jour est enfin arrivé bande de petits veinards ! …Voici donc venu le temps d’écrire un article sur l’histoire des baskets de sport ! Wwwaaouuuhhhhh 🙂 Qu’elle soit basse, montante, de cuir, de toile, sobre, fantaisiste, épurée ou bariolée, à lacets ou à scratchs, à semelle fine ou limite compensées, la basket est la chaussure qui, d’utilitaire lors de sa création, est devenu très tendance et portée par une grande partie de la population ! Si bien qu’aujourd’hui on la retrouve certes dans les salles de sports, et sur les terrains, mais aussi en ville, à la campagne, au boulot ou en soirée, chaussées par les gars, les filles, tout un chacun et par les célébrités ! La basket, votre nouveau compagnon de route ? Mais certainement ! 1868 : une « Goodyear » pour nos petits pieds sportifs ! Alors si aujourd’hui on ne devait dire qu’un seul merci, on l’adresserait sans doute à la Candde Manufacturing Co de New Haven (USA), qui, en 1898, fabriqua la toute première chaussure de sport en toile qu’elle commercialisa ensuite. Cette chaussure avait la particularité de bénéficier de semelles en caoutchouc, élaborées à partir du procédé de vulcanisation développé par Charles Goodyear, célèbre fabricant de pneus du même nom. Et oui, même si la pratique de certains sports remonte parfois à des périodes bien plus anciennes, il aura pourtant fallu attendre le 19ème siècle pour que nos petits doigts de pieds puissent s’épanouir pleinement, en toute stabilité et dans un confort non négligeable… Dès lors, chacun se met à décliner la recette finement trouvée et à inventer la basket qui correspond véritablement à la pratique et aux besoins de son sport. Ainsi, en 1890, William Foster, alias Mister Reebok, lance les premières chaussures à pointe spécifiques à la pratique de la course. En 1906, Arthur Hall crée New Balance et développe la première chaussure avec soutien de la voûte plantaire. Il se spécialisera ensuite dans la chaussure de course à pied. En 1908, les basketteurs –tels des cendrillons- trouvent chaussure à leur pied grâce au Marquis de Converse, père de la fameuse et toujours autant côtée Converse, qui invente la basket montante après s’être...

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Super Bowl … plus que 2 mois !
Déc07

Super Bowl … plus que 2 mois !

  0 Like(s) Depuis que j’ai débarqué sur VLS, je parle sans cesse de « course aux play off » et de Super Bowl … mais pourquoi tout ça ? Qu’est ce que le Super Bowl réellement ? Quand a-t-il lieu ? Que faut-il savoir à propos de cet événement (extra)planétaire ? Pourquoi chaque fan de NFL pose-t-il sa journée de RTT le lendemain du Super Bowl ? Pourquoi, malheureusement, « Super Bowl » n’est pas une excuse valable pour une absence au lycée ?   Vous savez tous que le Super Bowl est le nom donné à la grande finale de la NFL, opposant le champion de l’AFC à celui de la NFC, et qu’il existe depuis 1966. Comment arriver au Super Bowl (SB dans la suite de l’article) ? Il faut tout d’abord avoir accès aux play off, en terminant premier de sa division (groupe de 4 équipes, cf explication de la NFL), où faire partie des 2 meilleurs 2ème et 3ème de chaque division. Il y a donc 6 qualifiés en play off par Conférence (6 en AFC et 6 en NFC). Ils sont classés en « seed » ce qui donne donc #1AFC,#2AFC … jusqu’au #6NFC, et ce sont maintenant des matchs à élimination directe ! Le premier tour des play off est le tour de Wild Card, et les matchs sont les suivants : #6AFC @#3AFC, #5AFC @#4AFC, #6NFC @#3NFC et #5NFC @#4NFC. [@ signifie « se déplace chez »] Ensuite, vient le Divisional Round, constitué de 2 matchs dans chaque conférence : Le « seed » le plus faible (#6 si il gagne) se déplace chez le #1, et l’autre chez le #2. Puis, le Conference Championship, l’équivalent des finales de Conférences. AFC Championship et NFC Championship. Souvent des matchs très disputés, emprunts de rivalités légendaires et historiques. Après ces finales, nous avons enfin nos deux finalistes pour le SB ! Notez le long chemin pour y arriver : 4 matchs de pré saison (n’influant pas sur le classement) + 16 matchs de saison régulière + 2 ou 3 matchs de play off. La route est très longue !   Nous avons enfin nos deux équipes pour le SB, reste plus qu’à connaitre le lieu de la rencontre et sa date ! Ce lieu change chaque année, les villes postent leur candidature (quelques années à l’avance), et une commission décide du stade qui accueillera cet évènement. L’année dernière, le SB XLV (45 en chiffre romains) s’est tenu à Arlington. Cette année, il aura lieu à Indianapolis (SB XLVI), et les suivants se dérouleront à New Orleans puis East Rutherford. Entre la fin de la saison régulière et le tour de Wild Card, il n’y...

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Kiel trop fort pour Montpellier
Déc05

Kiel trop fort pour Montpellier

  0 Like(s) Après 2 revers lors des deux dernières journées en Champion’s League, Montpellier retrouvait Kiel, favori du groupe, avec l’envie de renouer avec le succès. Malheureusement, l’armada allemande est loin d’être la première venue et elle avait à cœur, elle aussi, d’effacer l’affront du match aller. Les zèbres de Kiel s’impose au terme d’un vrai match de Ligue des Champions qui aurait quand même pu leur échapper. Si Guigou manquait clairement à l’appel côté montpellierain, Daniel Narcisse était bizarrement condamné à regarder le début de match depuis le banc de touche des visiteurs de l’Arena, copieusement garnie. Il faut dire que Kiel c’est une équipe hyper talentueuse avec des grands noms du handball international à tous les étages. Omeyer dans les buts, Jicha, Kim Anderson, Palmerson, Zeitz, Alhm ou encore Klein sur le champ. Une puissance de feu incroyable au service d’un jeu bien huilé. Le MAHB dans le coup Le match commençait en rang serré avec des défenses bien organisées de chaque côté. Montpellier semblait déjà plus en difficulté pour attaquer la défense 6-0 allemande mais Karabatic semblait partit pour un grand numéro. A la marque, en défense, au contre, à la relance, il permettait au MAHB de tenir le choc. 8°, 4-4. Mieux, à force d’ harceler la défense allemande, il trouvait des expulsions temporaires qui permettait à Montpellier de passer devant ( 15°, 9-7 ) et même de creuser l’écart suite à l’expulsion de Zeitz, pour une faute inutile sur Honrubia. 19°, 11-7. C’est à ce moment précis que Narcisse rentrait sur le terrain. Montpellier balbutiait en attaque placée et Narcisse, en scorant 3 fois, remettait les siens dans le match. 23°, 13-12. Les deux équipes se rendait alors coup pour coup pour atteindre la mi-temps sur le score de 17-16, avec un but d’Accambray dans les toutes dernières secondes. Ré-apprendre à gagner Le mano à mano reprenait de plus belle en seconde période et si le MAHB semblait s’accrocher, il ne profitait pas des supériorités numériques provoqué par Karabatic. Pire Kiel semblait prendre le contrôle du match grâce à leur base arrière hors norme (Palmarson, Narcisse, Anderson). 42°,22-24. L’écart allait vaciller entre 2-3 buts pendant près de 10 min, chaque équipe répondant à l’autre sans réussir à trouver le KO. A la 52°, après 2 loupées consécutifs sur l’aile droite allemande, Montpellier parvenait à recoller sur une contre attaque de Kavitcnik. L’ Arena prenait soudainement feu, l’ambiance était à son comble ! 52°, 29-29. Le match allait se jouait juste après. Alors que le MAHB avait la balle du +1, Klein intercepté la balle et calma l’ambiance. Omeyer si mettait aussi et compliquait...

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Championnat du monde 2011 de Handball Féminin, au Brésil
Déc02

Championnat du monde 2011 de Handball Féminin, au Brésil

  0 Like(s) En handball, chaque année amène son lot de grande compétition. Alternance Championnat du Monde et d’Europe oblige, l’année 2011 rassemblera les meilleures nations mondiales du handball féminin sur les terres brésiliennes et il ne sera pas question de Carnaval. Vice-championne du Monde, les bleues se verraient bien accrocher le titre suprême et, en même temps, la précieuse qualification pour les Jeux Olympiques, véritable Graal pour chaque handballeur(se) qui se respecte. État des lieux.   Brésil, grande première et nouvelle formule. Ce n’est pas une première mais l’événement est assez rare pour le souligner; c’est seulement la deuxième fois que les Championnats du Monde se déroule en dehors du Vieux-Continent après ceux de Corée du sud en 1990. Et c’est l’Amérique du Sud, plus précisément le Brésil, qui obtient le privilège de l’organisation. Avant la Coupe du Monde de Football en 2014 et les JO en 2016, cela fait presque office d’examen blanc dans un pays ou le handball est en pleine progression. Espérons que cela soit un succès et que les salles soient bien garnies dans une compétition ou les premiers matchs sont habituellement loin de se dérouler à guichets fermés. Nouvelle donne dans la compétition, le déroulement de l’épreuve prend une nouvelle forme, calquée sur les grandes compétitions de football par exemple. Fini les groupes croisés avec points acquis contre les autres qualifiés et place à un seul tour de groupe suivi de matchs à élimination direct dès les 8emes de finale. Des matchs couperets, histoire de rendre possible les surprises et d’avoir son lot de suspense, sans rattrapage possible. Mais avant d’en arriver là, il faudra sortir dans les quatre premiers d’une poule de 6. La Russie éternelle favorite Sur le plan sportif, la Russie s’annonce comme LA favorite. Triple tenante du titre, l’équipe de Trefilov arrive avec pas mal de certitude même si la dernière défaite contre la France n’a pas du être du gout de leur emblématique entraineur. Amenée par des joueuses aguerries au joutes de la Champion’s League ( Bodnieva, Turei, Kuznetcova ), il y a fort à parier que les russes seront au rendez vous. Une équipe physique, travailleuse et très expérimentée.**** Autre éternel favori, la Norvège. Nation dominante du handball mondial depuis un plus d’une décennie, les scandinaves sont quand même championne d’Europe et Olympique en titre. C’est tout sauf une plaisanterie si l’équipe débarque au complet autour de leur star Gro Hammerseng. Une équipe rigoureuse, au collectif huilé et aussi très talentueuse. elle peut aisément se transformer en « machine » si elle déroule son handball.**** Du monde chez les outsiders On commence par la France qui a une véritable...

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Une finale de Coupe Davis de rêve
Déc01

Une finale de Coupe Davis de rêve

  0 Like(s) Le Masters de Londres a clôturé hier la saison individuelle du circuit masculin, sur une nouvelle victoire de Roger Federer sur Jo-Wilfried Tsonga. On ne retrouvera aucun de ces deux joueurs dès le 2 décembre à Séville, dans le cadre de la finale de Coupe Davis. Au programme, ce sera Nadal, Del Potro, Nalbandian et Verdasco entre autres. Affiche alléchante donc, mais qui peut gagner ? Analyse.   L’an dernier, Serbes et Français nous avaient réservé une finale fabuleuse, même si pour les chauvins, la fête a été gâchée de par la victoire serbe. On espère donc une finale du même acabit de vendredi à dimanche en terre espagnole. Les locaux pourront marquer un peu plus leur empreinte sur l’histoire du tennis par sélection, en ajoutant pourquoi pas une 5ème couronne à leur palmarès déjà bien garni. Les Argentins, eux, peuvent devenir des vainqueurs inédits, et mettre un terme à leur malédiction et leur série de trois défaites sur trois finales disputées.   L’Espagne part clairement favorite. Tout d’abord puisqu’elle joue à domicile, et lorsque l’on se souvient de la pression populaire serbe à Belgrade l’an dernier, qui avait littéralement sublimer les futurs vainqueurs, notamment le dimanche, on peut légitimement avancer cette réception comme un avantage. Ensuite parce que les Ibères ont eu le privilège de choisir la surface, et se sont donc empressés de confirmer que les matchs se dérouleront sur terre battue, surface idyllique pour tout joueur espagnol qui se respecte. Enfin, parce que dans ses rangs, la «Roja» peut s’appuyer sur un phénomène en la personne de Rafael Nadal, véritable ogre sur la terre battue, et sans nul doute l’un des meilleurs, sinon le meilleur joueur de l’histoire du tennis sur cette surface.   Sur les rencontres de simple, l’Espagne peut donc compter sur «Rafa», intouchable ou presque sur l’ocre. Et même si le Majorquin connaît un gros coup de moins bien, à la fois physique et mental, il reste un adversaire de taille sur terre battue. Sa sélection part théoriquement avec deux points dans la besace, et n’aurait donc besoin ensuite plus que d’une seule victoire. Et cette victoire, elle pourrait la trouver avec David Ferrer, qui sort d’un excellent Masters, qui l’aura vu mettre au tapis le numéro 1 mondial Novak Djokovic, et Andy Murray, certes eux aussi usé physiquement et psychologiquement, mais sur une surface qui ne réussit normalement guère à l’Ibère, le dur en indoor. Sur le double, la paire Verdasco-Lopez n’apporte en revanche que peu de garanties. Elle s’était faite gifler par le double tricolore, composé de Llodra et Tsonga à Cordoue (6-1/6-2/6-0), et n’a remporté qu’un match sur...

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Zumba : découverte d’un deuxième terme technique sportif
Nov29

Zumba : découverte d’un deuxième terme technique sportif

  0 Like(s) Kesaco…coricoooo ! Acte 2 Et oui c’est l’heure de la minute intellectuelle chers amis sportifs ! Et le mot du jour est … Zumba (nania 😉 ) Alors OK, on n’est pas censé connaître tous les sports existants, encore moins ceux qui ont émergé récemment.. Mais quand même, si l’on vous parle de Zumba, vous êtes obligé de savoir ce dont il s’agit si vous voulez donner l’impression d’être jeune et tendance ! Mais au juste, La Zumba.. c’est quoi ? Prenez votre lecteur CD, poussez la table du salon et retirez vos talons (mesdames !). Ensuite, choisissez un air de mambo, de tango, de flamenco (des musique en O), ou encore de samba ou de chachacha (là c’est des musique en A) et adaptez dessus une danse aux mouvements tellement simples que même un mouton bourré à 3 pattes saurait les faire 😉 et voilà vous… Zumbez (?) ! Magique non ? Car oui, la Zumba, c’est un sport qui combine à la fois danse latino-américaine & notions d’aérobic dans un but simple : tonifier le corps et s’amuser pour évacuer stress et contrariétés emmagasinés au cours de la journée ! Bon, je ne vous dirai pas que la Zumba, ce n’est que de la détente, car c’est quand même avant tout un cours de cardio, qui permet de travailler rythme cardiaque et renforcement musculaire. La pratique vous permettra également de développer la coordination. Les pieds, les jambes, les bras, le buste ou encore la tête : toutes les parties de votre joli corps sont sollicitées ! Vous l’aurez donc compris, les bienfaits de la Zumba sont multiples, et portent tant sur la mémoire, la coordination, la concentration que sur le développement du tonus musculaire et du rythme cardiaque ! Après quelques séances, le résultat est assuré : retrouvez de jolis abdos gainés, des cuisses et des mollets élancés, un joli galbe et des bras renforcés. Et si vous voulez des chiffres pour vous conforter sur l’efficacité de cette pratique, sachez qu’1 heure de cours c’est environ 500 calories de perdues ! Pas mal hein ??   Mais qui a bien pu se dire que « Zumber » serait bon pour notre santé ? Et histoire de tout connaître (ou presque) sur ce nouveau sport, sachez que c’est avec Beto Perez, chorégraphe colombien (de Shakira entre autre, et ca ca fait toujours classe hein ?) que tout a commencé. Lors d’un de ses cours de fitness qu’il dispensait à Cali (mais non pas à l’artiste! Je parle de la ville en Colombie, suivez un peu !!) il oublia ses musiques d’aérobic et du s’adapter. Il improvisa un...

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Ligue 1-15e journée: un clasico à sens unique
Nov28

Ligue 1-15e journée: un clasico à sens unique

  0 Like(s) On l’attendait avec impatience, ce clasico aux allures moins explosives que par le passé (dans un stade vélodrome en travaux et avec deux équipes pas très en forme ces derniers temps), et on en a eu pour notre argent hier soir (que l’on soit abonné à canal + ou spectateurs assis en tribune) mais seulement du côté marseillais. Avec les différentes tensions dans les deux camps, le match s’annonçait plus équilibré que sur le papier, où Paris avait encore une chance de rester premier au coup d’envoi, et l’OM au bord du précipice en cas de défaite. Antoine Kombouaré, pour l’occasion, avait décidé de titulariser Lugano et d’envoyer à nouveau sa dream team en attaque (Nêne, Menez, Pastore, Gameiro, et Sissokho en soutien). Certains observateurs se disaient alors que le vent allait tourner, et que Paris allait venir imposer son autorité sur une canebière bien morne depuis le début de saison. Il n’en fut rien, malgré les nombreuses tensions hors du terrain, les hommes de Didier Deschamps ont rapidement ouvert le score sur un centre parfait (!) d’Azpilicueta pour Rémy qui faisait chavirer le vélodrome de bonheur. Par la suite nous avons eu le droit à un match serré et surtout très tendu, surtout après la sortie de Rémy sur blessure à la demi-heure de jeu (cheville), on ne voyait pas trop qui pouvait surprendre Sirigu vu que Gignac a été placardé en réserve (justement) cette semaine. Au final seul Sissokho a réussi à inquiéter Mandanda avec sa frappe sur le poteau gauche du portier marseillais (35e) et l’OM s’est contenté de bétonner en défense jusqu’à la pause. Paris ne parvient pas à gêner le rival marseillais et Kombouaré tente alors un coup de poker désespéré. Le kanak renvoi Gameiro et Pastore, franchement mauvais, sur le banc et les remplace par Bodmer et Erding. Le réveil escompté n’aura pas lieu et le club de la capitale va sombrer avec deux nouveaus buts d’Amalfitano (65e) et André Ayew (83e). Au vu de la qualité de jeu des deux équipes, le score est sévère mais le PSG n’a absolument rien montré, seul Mohammed Sissokho a joué à son niveau, même Sirigu, pourtant dernier rempart décisif habituellement, était dans un jour sans. Justement espérons pour les parisiens que c’était seulement un jour sans, car à force de donner en spectacle des prestations aussi indignes des attentes qataries, Paris risque gros. On pense notamment à Antoine Kombouaré, premier visé en cas d’échec du club de la capitale en championnat, mais aussi aux joueurs, en témoigne l’altercation Sakho-Nêne qui a encore prouvé que tout ne roule pas encore comme sur des...

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Ligue 1-14e journée: Montpellier et Lille ne lâchent rien
Nov27

Ligue 1-14e journée: Montpellier et Lille ne lâchent rien

  0 Like(s) Nouvelle journée de Ligue 1 ce week-end et au programme, avant le clasico OM-PSG : des buts, Montpellier en haut, Lyon et Rennes restent dans la course, Ajaccio et Nice bonnets d’ânes, et des stades qui se vident. Samedi : Montpellier met la pression sur Paris. Lille conclut sa belle semaine Montpellier effectuait un déplacement périlleux dans le Doubs ce samedi et devait à tout prix gagner pour espérer rester dans la roue, voire dépasser le Paris SG à l’issue de cette 15e journée. Mission réussie pour des héraultais qui se sont fait peur mais qui ont largement mérité leur victoire. Giroud est dans la forme de sa vie et Belhanda a plané au-dessus de cette rencontre et surtout au-dessus de Martin et Boudebouz, qui semblaient perdus pendant tout le match. On a également pu apprécier la solidité défensive avec les très bons Saihi, Bocaly et Hilton, qui se refait une santé après son triste épisode marseillais. Sochaux a tenté, mais Sochaux était clairement en dessous de son visiteur d’un soir. Martin déçoit et Boudebouz n’a été que l’ombre de lui-même. Pourtant on y a cru lors de l’égalisation de Camara, mais c’est logiquement que Giroud est venu montrer que ce Montpellier-là n’est pas là par hasard. On pensait que c’était le tube de l’été, mais les joueurs du président Nicollin semblent bien partis pour jouer au moins la Ligue des Champions jusqu’au bout. Attention à bien gérer le début d’année 2012 qui s’annonce déjà palpitant. L’autre match phare de ce samedi soir était Lille-Brest, avec les champions de France en titre impressionnant à Moscou mais privés de Pedretti et Basa, et avec Sow et Cole sur le banc au coup d’envoi, comme un message fort de Rudy Garcia après leur match décevant à Toulouse la semaine passée. A Brest ça semble aller mieux et on se disait pourquoi ne pas aller chercher un bon résultat en terre lilloise comme Evian TG il y a quelques semaines. Pourtant le LOSC a démarré très fort la rencontre avec de nombreuses occasions suivies du but de Payet à la 11e. Brest a été acculé en défense et De Melo, très bon jusqu’à sa blessure, doit sortir remplacé par Sow. Puis peu à peu on voit les lillois s’éteindre, comme un mauvais souvenir de début de saison où le LOSC se montrait incapable de garder un avantage de deux buts. Baysse a commencé à déborder et franchement inquiété Béria, Roux a posé de gros problèmes à Rozenhal et Chedjou, et Martia aidé de Zebina ont parfaitement muselés Sow et Hazard. On a d’ailleurs du mal à reconnaitre le belge depuis quelques...

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CHAT Mardi 29 novembre 17h30 pendant Giants @Saints (Canal +sport en clair)
Nov26

CHAT Mardi 29 novembre 17h30 pendant Giants @Saints (Canal +sport en clair)

  0 Like(s) Profitons encore une fois de la diffusion en clair (en différé) du Monday Night Football sur Canal+ Sport (32 pour ceux qui passent par la TNT standard), pour organiser un chat sur VLS, afin que vous puissiez me poser toutes les questions qui vous tracassent à propos du football américain. Ce mardi donc, 29 novembre, RDV nombreux ici-même, et devant votre petit écran, pour suivre le choc entre les GIANTS de New-York et les SAINTS de la New-Orleans. Ces deux équipes peuvent encore prétendre aux play off, alors venez déguster entre fans ou néophytes l’affrontement en QB Eli Manning et QB Drew Brees !! [quick-chat height= »800″]   SI vous avez une quelconque question, les commentaires servent à ça...

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