NFL Draft : les 10 derniers 1st pick … et les surprises !
Avr03

NFL Draft : les 10 derniers 1st pick … et les surprises !

  2 Like(s) La Draft approche, il est temps de vous faire découvrir qui sont les 10 derniers joueurs à avoir été sélectionnés en première position de cette fameuse draft, et de mesurer leur impact dans leur franchise et dans la NFL en général. Certains sont devenus incontournables, d’autres n’ont jamais percé dans ce monde impitoyable. En mai prochain, celui qui sera sélectionné par les Texans rentrera dans l’histoire de la Draft, mais parviendra-t-il à marquer la NFL de son empreinte ? 2004 : QB Eli MANNING – San Diego Chargers. Vous ne rêvez pas, Manning a bien été drafté par les Chargers. Incapable de trouver un accord avec cette franchise, c’est avec les Giants qu’il tombe d’accord. Une première saison en demie-teinte, avec seulement 7 matchs débutés (pour 6TD et 9INT), puis 9 saisons de suite, toujours sous le même uniforme, et surtout sans avoir raté un seul match ! Deux sélections au Pro-Bowl (2008 et 2011) mais surtout deux Super Bowl remportés en 2007 et 2011, deux fois face aux Patriots. La saison dernière, Eli a été à des années lumière du niveau de son frère Peyton (Broncos) en cumulant 18 TD pour 27 interceptions. Un poste de starter, deux bagues de champions : beaucoup de joueurs rêvent de cette carrière, mais qu’en aurait-il été si il avait trouvé un accord à San Diego ? 2005 : QB Alex SMITH – San Francisco 49ers. Que le début de carrière fut compliqué pour Smith ! Titularisé à la tête de l’attaque des Niners dès sa saison de Sophomore (2006), l’ex QB des Utes de l’Utah ne fait pas l’unanimité : 16 TD pour 16 interceptions, et un bilan négatif (7-9) pour terminer 3ème de la NFC Ouest. Puis plus rien pour Smith : 7 matchs joués en 2007, et un soucis à l’épaule lui fait louper l’ensemble de la saison 2008. Il faut attendre 2011, et l’arrivée de coach Harbaugh pour revoir briller Smith : 16 matchs, 17 TD, 9 INT, et le QB échoue en finale NFL face aux Giants. Malheureusement, la saison suivante, une blessure laisse le champ libre à Kaepernick qui ne lâchera plus la place de starter. Smith est tradé chez les Chiefs, et réalise la très bonne saison qu’on connait : 23TD, 7INT, une place en playoffs. Smith peut remercier Harbaugh de l’avoir remis dans le sens de la marche, maintenant la pression est sur ses épaules : peut-il porter les Chiefs une saison de plus ? 2006 : DE Mario WILLIAMS – Houston Texans. Premier joueur de l’AAC (il évoluait à North Carolina State) à être sélectionné comme premier choix, Williams fait longtemps douter les analystes. Après une première saison timide (4.5 sacks en 16 matchs), le DEnd montre enfin l’entendue de son talent...

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NFL Draft: Top 5 prospect (4/4)
Mar29

NFL Draft: Top 5 prospect (4/4)

  1 Like(s) Bon, je propose de rentrer directement dans le vif du sujet parce que notre temps est précieux… non?! Voici le dernier article sur les meilleurs prospects de la prochaine draft NFL. Nous parlerons cette fois-ci des linemen offensifs et défensifs… de vrais monstres. Top 5 des Offensive Linemen A moins de jouer à ce poste, il est difficile de développer une passion pour les OL. On sait qu’ils jouent un rôle de premier ordre mais de là à développer une passion pour ses monstres, il y a un monde. Alors, je vais vous raconter une petite anecdote histoire de vous aguicher un peu. Il se trouve que lorsque j’habitais en Iowa, j’ai eu l’occasion de croiser Robert Gallery (le OL sélectionné par les Raiders en seconde position de la draft 2004, qui jouait aux Iowa Hawkeyes). Croyez-moi, je n’ai jamais croisé une telle armoire à glace barbue de ma vie (plus de 2 m et 150 kgs). Je devais avoir 16 ans et je me sentais plus infime qu’un lilliputien… la vache! En plus, j’étais accompagné d’un pote (qui jouait au poste de Tackle dans mon bahut) qui m’a expliqué toute la technicité du poste pour protéger sans être pénalisé etc… J’ai trouvé tout ça fascinant… C’est bête à dire mais depuis, j’ai le plus grand respect pour ces loustics là! Il faut croire que les franchises également car je prend le paris: 2 OL partiront dans le top 10 de la draft… #5 Morgan Moses (Virginia) Morgan doit sa position dans ce classement aux éloges qu’il a reçu après sa prestation dans le Senior Bowl. En effet, Moses n’a pas véritablement impressionné par sa puissance, ni par sa vitesse, lors de la NFL combine… #4 Zach Martin (Notre Dame) On le compare à Justin Pugh des NY Giants… dois-je en dire plus ou pas? Pour info, ce « Fighting Irish » fait 1.95m pour 135 kgs… #3 Taylor Lewan (Michigan) 2m et 140 kgs dont au moins 120 de muscles, je vous présente Taylor Lewan. Physiquement et techniquement irréprochable, il est souvent montré du doigt pour des sautes de concentration et d’humeur. En effet, il est habitué à être pénalisé pour des fautes personnelles (face-masks ou autres actes anti-sportifs). Des erreurs occasionnelles qui pourraient le pénaliser autant que sa future franchise. #2 Jake Matthews (Texas A&M) Puissant et agile pour ses 140 kgs et 1.98m, Jake Matthews a réalisé une sublime campagne 2013 en protégeant parfaitement son QB Johnny Manziel. Cependant, il a montré quelques « insuffisances » dans le jeu au sol ce qui lui vaut d’atterrir à la deuxième place de ce classement derrière… #1 Greg Robinson (Auburn) 1.98m, 150 kg, une vitesse...

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NFL Draft : Top 5 prospect (3/4)
Mar26

NFL Draft : Top 5 prospect (3/4)

  2 Like(s) Après les RB, TE et LB dans mon premier article, les WR et CB dans le deuxième, place aux QB et Safeties pour ce troisième épisode. Véritables stars des franchises, ces joueurs sont aussi les premiers sur qui on tape lorsque tout va mal, aussi bien en attaque qu’en défense. Que ce soit en tant que QB ou en Safety, s’imposer dès sa saison rookie est quelque chose de compliqué, mais tout reste possible et les exemples sont nombreux. Sans plus attendre, place donc à ces deux nouveaux top 5. >>> Top 5 : Quarterbacks : Dans n’importe quelle équipe de football, le QB est LA star de la franchise. Protégé par les coachs des blessures pendant les entraînements, adulés par les fans, admirés par le spectatrices, ils sont également la proie facile en cas de débâcle de l’équipe. Cette année encore, la classe de QB est d’un bon niveau, et on devrait voir de nouveaux bras titulaires dans la NFL la saison prochaine. #5 : Jimmy GAROPPOLO, Eastern Illinois, 1.88 m, 103 kg. Doté d’une très bonne vision, Garoppolo est ce genre du QB qui peut se permettre d’attendre le dernier moment pour lancer. Très à l’aise dans sa poche, et surtout très mobile, le QB qui a fait les beaux jours des Panthers (de NCAA bien entendu) pourrait devenir un excellent lanceur en NFL. Souvent en réussite lors de passes que certains n’auraient pas tentées, Garoppolo a cependant ce défaut de trop attendre pour lancer, et ainsi de se prendre des chocs parfois inutiles. Attention, dans une ligue ou les défenses sont de plus en plus athlétiques, les blessures pourraient arriver à grande vitesse… Si, par chance, il est sélectionné dans une équipe où la OL est un point fort, Garoppolo pourrait vite devenir un starter inconditionnel. Etre sélectionné au premier tour semble compliqué vu la densité de la Draft en QB, mais le deuxième tour devrait être une certitude pour ce joueur prometteur. #4 : Derek CARR, Fresno State, 1.88 m, 97 kg. En faisant partie de ces joueurs qui ont la science du football dans le cerveau, Carr est ce type de QB capable de reconnaître les schémas défensifs avant le snap, et de faire bon nombre d’ajustements. Plus à l’aise lorsqu’il est collé au centre, plutôt que placé en shotgun, le Senior de Fresno State profite de son drop-back pour analyser les pressions et les receveurs qui se libèrent. Avec un bras puissant et rapide, Carr est capable d’envoyer des missiles, mais sait aussi gagner de précieux yards au sol quand bon lui semble. Parfois mis à mal par des défenses rapides, le frère de David (sélectionné en pick 1 de la Draft 2002 par...

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Le million de l’indécence ?
Mar22

Le million de l’indécence ?

  0 Like(s) En cas de victoire cette année en ligue des champions du PSG, ça sera 1 million d’euros par joueur. Vous allez me traiter de rabat-joie mais est-ce que ce million semble mérité pour le club Parisien en cas de succès ? Que touchent les autres clubs de football en cas de victoire finale ? Comparaison dans cet article nommé « le million de l’indécence ». La possible prime la plus chère de l’histoire Si Paris devient champion d’Europe – c’est tout le mal que l’on leur souhaite – les joueurs Parisiens toucheront 1 million d’euros en plus de l’honneur d’être champion et de porter la coupe. Même si en conférence de presse Laurent Blanc s’est amusé à remplir une grille d’euro millions, 1 million d’euros par tête, cela semble être assez indécent. Bien sur, récompenser le club Parisien via une prime est toujours logique dans le monde du sport, mais cette fois-ci le montant semble indécent. Bien qu’il n’y ait aucune règle sur le sujet, l’on peut comparer cette prime à celles touchés par les autres clubs. Pour rappel, lorsque Chelsea était champion en 2012, il a distribué une prime de 450 000€ à chacun de ses joueurs. Quant aux Munichois, la prime s’éleva à 600 000€ par tête. De gros montants donc qui ne semblent pas trouver de plafond. Est-ce une situation exceptionnelle, liée uniquement au football européen ? Lorsque l’on regarde les pratiques outre-Atlantique, on aperçoit de similitudes de primes, dans des compétitions comme le NHL (Ligue nationale de hockey) ou la NFL. Les sommes distribuées aux joueurs en cas de victoires sont justes astronomiques (je vous invite à regarder le film « Le stratège » avec Brad Pitt). La différence de salaire dans divers sports Inutile de vous refaire le couplet sur les Qataris – cela serait écrire pour rien – mais je voudrais apporter un autre éclairage en comparant 2 athlètes. Le premier, et non des moindres, est Zlatan Ibrahimovic, la superstar Parisienne. D’un autre coté, Aaron Rodgers, le quaterback des Green Bay Packers qui joue dans la formation de football Américain. Sans vouloir démériter la profession de joueur de football Américain, est-ce qu’il vous parait normal que ce joueur touche un salaire annuel de 22 millions de dollars ? Soit bien plus que notre Zlatan national ? Le football Américain est le sport roi au pays de l’oncle Sam. Il réunit des milliers de supporters dans les stades et sur les chaines câblées. Et avec des conditions d’entrainement extrêmes, ce sport est devenu le sport Américain où le dollar coule à flot. Cependant, est-ce que Argent rime-t-il avec Qualité ? Zlatan Ibrahimovic touche 15 millions par an, mais...

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NFL Draft : Top 5 prospect (2/4) –
Mar20

NFL Draft : Top 5 prospect (2/4) –

  1 Like(s) Bonjour à tous. On poursuit notre tour d’horizon des meilleurs talents de la prochaine draft. Aujourd’hui, on s’attardera sur deux positions phares en NFL: les WR et CB. Bonne lecture Top 5 des Wide Receivers Cette position est peut être l’une des plus fournies de la prochaine draft, grâce à des jeunes qui ont le potentiel pour atteindre le rang de star au plus haut niveau. D’ailleurs, les 5 WR de cette liste peuvent légitimement prétendre à partir dès le premier tour… c’est dire! #5 Odell Beckham Jr. (LSU) Beckham peut miser sur sa vitesse pour devenir une menace très crédible aux passes profondes. Capable de déposer n’importe quel CB, il a réussi à cumuler plus de 1150 yards et 8 TD en 2013. Beckham peut, en plus, apporter sur la table sa polyvalence, en postulant à un rôle de KR/PR en NFL. En outre, son patronyme est un atout auprès de la gente féminine… ou pas, j’admet. #4 Kelvin Benjamin (Florida State) Avec 15 TD et un peu plus de 1000 yards réceptionnés, Kelvin aura été un playmaker pour les Seminoles, champions NCAA en 2013. Sa puissance associée à sa taille hors norme, agrémentées d’une vitesse surprenante en font un attaquant très difficile à défendre, notamment à proximité des endzones. Il partira très vite, et même plus vite que prévu, probablement avant la fin du 1er tour… #3 Marqise Lee (USC) Lee est talentueux. Assez pour voir les experts le projeter comme un potentiel receveur n°1. Malheureusement, sa troisième saison universitaire aura été décevante, notamment en raison de ses blessures (genou). Avec seulement 791 yards réceptionnés et 4 TD, les recruteurs questionnent dorénavant son agilité. Heureusement pour Marqise, sa performance lors du Las Vegas Bowl (118 yards et 2 TD) contre Fresno State a rappelé à tout le monde qu’il était un véritable diamant, brut. #2 Mike Evans (Texas A&M) Evans est souvent comparé à Vincent Jackson (y’a pire hein!) pour sa capacité à prendre le dessus sur son défenseur dans le petit périmètre. Pas forcément très rapide, sa taille, puissance et agilité en font une cible idéale pour n’importe quel QB. D’ailleurs, les statistiques de Evans sont impressionnantes en 2013: 69 réceptions, 1400 yards et 12 TD. Brillant une partie de l’année (vous vous souvenez du match contre Alabama? 280 yards réceptionnés contre l’une des grandes défenses de NCAAF), Evans s’est quelque peu effacé en fin de saison… Il lui faudra donc travailler sur sa régularité à l’avenir. Malgré tout, il sera certainement sélectionné dans la première moitié du 1er tour. #1 Sammy Watkins (Clemson) Ce petit Watkins est considéré comme le meilleur espoir...

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NFL Draft : Top 5 prospect (1/4)
Mar17

NFL Draft : Top 5 prospect (1/4)

  1 Like(s) Comme vous avez pu le deviner à l’aide du titre, voici le premier article d’une nouvelle série, qui en comportera 4. Alors que la Free Agency bat son plein – à suivre sur notre compte facebook – il faut également penser au futur et à la Draft (voir notre photo de couverture facebook). Dans cette optique, nous allons publier 4 articles qui seront des « Top 5 » de futurs stars NFL, en les classant par poste. Pour ce premier article, vous aurez le droit (exceptionnellement) à 3 classements : RB, TE pour l’attaque, et LB pour la défense. Dès jeudi, vous retrouverez WR et CB. Dans une semaine, ça sera QB et Safety, et pour finir jeudi avec les linemen. Bonne lecture, et n’oubliez jamais : la Draft est l’avenir de la NFL ! >>> TOP 5 : Runnings Backs : Bien que souvent mis en avant en NCAA et même en NFL, les RBs ne sont pas souvent nombreux au 1er tour de la Draft. Encore une fois, il ne devrait pas y en avoir. Cependant, cela ne joue en rien sur leurs qualités : LeSean McCoy a été sélectionné en 2009 au deuxième tour (pick 53), tout comme Maurice Jones-Drew en 2006 (pick 60) ou même Eddie Lacy l’année dernière (pick 61). #5 : Jeremy HILL, LSU, 1,86m, 105 kg. En tant que Sophomore, Hill prend des risques à se présenter si tôt à la Draft. Après seulement 2 années sur le campus de LSU, le joueur a tout de même eu le temps d’impressionner. En 11 matchs, il a cumulé 14 TD cette saison (12 l’année dernière) et 1940 yards au sol sur ses deux années. Très peu utilisé à la passe (seulement 26 réceptions) en 2 ans, Hill devra travailler cette partie de son jeu pour devenir un RB complet en NFL. Très puissant, Hill sait continuer à avancer après le premier contact, et possède une très bonne vision du jeu, ce qui peut lui permettre de changer d’assignation rapidement, toujours dans le but de gagner plus de terrain. Cependant, en étant derrière une des meilleures OL de la NCAA, le talent de Hill est difficilement estimable. Avec un temps « moyen » de 4.66 au 40 yards dash lors du Combine, certaines équipes pourraient hésiter à le choisir. Il est estimé en fin de 2ème tour, voir au 3ème tour de la Draft. #4 : Bishop SANKEY, Washington, 1.76m, 94 kg. LE poids plume du poste, mais très agile, il est comparable à Giovanni Bernard. Classé seulement 150ème RB lors de son arrivée à Washington, il y a 3 saisons, Sankey a eu le temps de montrer toutes ses qualités. Agile et doté...

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Debrief NBA de la semaine, Iverson, Lebron et Noah en mode beast
Mar10

Debrief NBA de la semaine, Iverson, Lebron et Noah en mode beast

  0 Like(s) On commence ce Debrief avec l’hommage des Sixers à Mr. Allen Iverson. Une soirée spéciale était organisée pour le retrait du maillot de l’ancien Sixer. Tout le beau monde de Phily était présent pour rendre hommage à The Answer et on peut dire que l’émotion était au rendez-vous. La NBA à bien mis ça en scène, comme à son habitude   Côté terrain, Trevor Ariza a rendu hommage à Allen Iverson à sa manière. L’ailier des Wizards a profité de pour livrer une prestation offensive digne de ce dernier. 40 points 14/23 au shoot et un impressionnant 8/12 à 3 points, le Wizard n’a pas chomé et établi son record en carrière. Joakim Noah était en mode beast cette semaine. Le pivot des Bulls a signé deux triple-double avec 10 points 11 rebonds et 11 assistes contre les Pistons. Il remet le couvert quelques jours plus tard contre les Knicks avec 13 points, 12 rebonds et 14 assistes pour mettre ses Bulls en confiance à quelques mois des Playoffs Contre les Pistons: Contre les Knicks: Russell Westbrook est de retour et n’a rien perdu de son explosivité. Le meneur du Thunder réalise un match quasi parfait avec 26 pts et 10/12 au tir dans la victoire des siens contre les Bobcats. Cela dit en passant, OKC n’est pas au mieux depuis le retour du Westbrook… Pensez-vous que le Thunder est meilleur sans Westbrook? http://www.youtube.com/watch?v=YLWm7QQwXUY Du côté de South Beach ca se passait bien pour le King mardi ou il a établi son record en carrière avec 61 POINTS!! Les pauvres Cats ne pouvait rien faire face à Lebron en mode machine de guerre. C’était un peu comme si j’envoyais une balle de golf dans l’océan. Je ne réalise pas encore bien ce que j’ai fait ce soir. Mais en tout cas, je n’aurais voulu réaliser ça nulle part ailleurs qu’ici, à Miami », déclarait Lebron à la fin du match.       http://www.youtube.com/watch?v=LD-67jlsY9I La RACLEE de la semaine: Les Clippers ont infligé aux Lakers la plus grosse défaite de leur histoire. Une véritable HUMILIATION, les Clippers s’imposent 142 – 94. L’époque ou les Clippers prenait des fessées est bien révolue. La bande à Doc Rivers marque les esprits et font clairement passer un message dans la citée des anges: 48 points dans les dents, ça fait mal! http://www.youtube.com/watch?v=NPBStvb-Kh4 Hier, les New York Knicks ont remporté une victoire importante dans la course aux playoffs face aux Cleveland Cavaliers. Carmelo Anthony et Amar’e Stoudemire ont retrouvés leur basket et on espère que ce ne sera pas le temps d’un match. http://www.youtube.com/watch?v=fuZGqvqdq1g Toujours dans la soirée d’hier, le Heat se déplaçait à Chicago pour un match toujours sous haute tension. Joakim Noah a confirmé son bel état...

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NFL Review : Extra-point
Mar10

NFL Review : Extra-point

  1 Like(s) Comme vous avez pu le suivre pendant 4 semaines, la série d’articles (8) revenant sur les points forts et les faiblesses de chaque équipe durant la saison 2013-2014 est terminée. Aujourd’hui, place à un article « complet », avec les liens vers les 8 articles de la série, mais aussi quelques nouveaux paragraphes. Bonne lecture. Un article vous a échappé ? Aucun souci, c’est par ici : Pour les Ravens, Steelers, Bengals et Browns, c’est l’AFC Nord. Pour la NFC Nord, on retrouve : Vikings, Lions, Bears et Packers. Pour les Dolphins, Jets, Patriots et Bills, c’est l’AFC Est. Pour la NFC Est, on retrouve Cowboys, Redskins, Giants et Eagles. Pour les Broncos, Chiefs, Raiders et Chargers, c’est l’AFC Ouest. Pour la NFC Ouest, on retrouve Rams, Seahawks, Cardinals et 49ers. Pour les Titans, Texans, Jaguars et Colts, c’est l’AFC Sud. Pour la NFC Sud, on retrouve Saints, Falcons, Buccaneers et Panthers. Voici donc le « classement » des 32 franchises NFL pour la saison 2013-2014 : sans surprise, les champions en titre occupent la première place … Seahawks A+ Broncos A Eagles A 49ers A- Panthers A- Pats A- Cardinals B+ Colts B Saints B Chargers B Bengals B- Chiefs B- Packers B+ Rams B- Bears B- Steelers C+ Jets C Ravens C- Cowboys C- Vikings D+ Dolphins D Titans D- Bills D- Giants D- Raiders E Jaguars E Browns E Falcons F Buccaneers F Texans F Lions F Redskins F Maintenant que vous avez tout bien suivi, vous pouvez vous tester sur notre quizz : ici. Les images de la saison : Rémy : Il est évident que si je devais choisir une seule image pour illustrer cette saison NFL, elle doit être dédiée au sacre des Seahawks. Seattle paraissait intouchable cette année en dépit d’une concurrence féroce de son rival Californien (les 49ers). Beaucoup d’images auraient mérités leur place ici ( célébrations et remise des trophées, Russel Wilson, Richard Sherman, Marshawn Lynch ou Malcolm Smith en tant que MVP du Super Bowl) mais j’ai décidé de mettre en avant une photo prise pendant la parade des Seahawks à leur retour de New-York. Pour deux raisons: – Elle rend hommage aux nombreux fans d’une franchise sevrée de titre depuis sa création, en 1976. Des fans incroyables capables de faire trembler le sol et surnommés, à juste titre, le « 12th man« . – Elle résume, à elle seule, toute la magie qui enivre le sport. Ces scènes de joie constituent la plus belle des vitrines pour le sport en général, et le football américain en particulier. Etienne : Avec Rémy, nous ne nous sommes pas du tout concerné pour le choix des images de l’année. Cependant, nos...

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NFL Review: NFC Sud (8/8)
Mar05

NFL Review: NFC Sud (8/8)

  0 Like(s) Bonjour. C’est l’heure de faire le plein de soleil avec une récap qui nous vient du sud : la NFC South. Une division qui a réservé quelques surprises cette saison. Pêle-mêle, citons : La non saison des Falcons, un an après une année 2012 dominante. Les Panthers au sommet de la division malgré son faux départ: 3 défaites et 1 victoire. A l’inverse, New-Orleans qui a démarré sa saison par 6 victoires contre 1 défaite, s’est fait rattraper, puis dépasser Et enfin, les Bucs… ah non, aucune surprise de ce côté là. Pardon. Classement de la division Carolina Panthers : 12-4 New-Orleans Saints : 11-5 Atlanta Falcons : 4-12 Tampa Bay Buccaneers : 4-12 Carolina Panthers Note : A- The Good : Je sacke, tu sackes, il sacke, nous sackons… Tout le monde parle de la défense des Seahawks, mais celle des Panthers est du même calibre. Deuxième meilleure défense avec seulement 15 pts encaissés en moyenne par match, Carolina est l’équipe qui a obtenu le plus de sacks (60 contre seulement 44 pour Seattle). L’agressivité de cette défense, voulue par l’entraîneur Ron Rivera, a fait des merveilles. 15 sacks pour Greg Hardy, 11 pour Charles Johnson etc… Cette défense aura été le fer de lance de cette équipe en octroyant sérénité et confort à une attaque des Panthers portée par QB Cam Newton. The Bad : DeAngelo Williams La situation des RB n’est pas des plus sereines chez les Panthers. Il n’est jamais très bon de s’apercevoir que ton meilleur coureur est, sans doute, ton QB titulaire. DeAngelo Williams n’a pu glaner que 843 yards et 3 TD au sol cette saison, très loin de de son record personnel atteint lors de la saison 2008 (18 TD, 1515 yards). Le plus inquiétant provient sans doute des 6 fumbles de Williams, dont 3 perdus. Si ce joueur n’est pas capable de relever la barre, il sera sans doute temps de lui trouver un remplaçant mais les options disponibles ne sont pas très alléchantes : Mike Tolbert ? Jonathan Stewart ? La draft pourrait être une aubaine. A moins que les dirigeants se concentrent vers les receveurs, qui est un autre point faible de l’équipe. Steve Smith vieillissant, Greg Olsen aura été le receveur le plus efficace alors que c’est un TE… Ce n’est jamais un bon signe non plus. The Ugly : Carolina, un édifice fragile Après un début de saison catastrophique, Charlotte était en ébullition. Tout le monde voulait la tête de Ron Rivera. Heureusement pour lui, il a su faire le dos rond et tirer le meilleur de son équipe. Mais l’édifice reste fragile. Les Panthers rêvent de succès et on peut imaginer qu’un nouveau faux départ puisse aisément tout...

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NFL Review : AFC Sud (7/8)
Mar03

NFL Review : AFC Sud (7/8)

  0 Like(s) Pour l’AFC, il s’agit du dernier article. Vous retrouverez la NFC en milieu de semaine, et cette série de huit articles sur la saison passée de NFL sera bouclée. En espérant que ce retour en arrière vous ait plu, place aujourd’hui à l’AFC Sud, avec les Colts, les Jaguars, les Titans et les Texans. Retrouvez, comme d’habitude, ce qui a fonctionné, ce qui a moins bien tourné et ce qui a été désastreux pour chaque franchise. Classement : 1. Colts . 11-5 2. Titans . 7-9 3. Jaguars . 4-12 4. Texans . 2-14 >>> Colts d’Indianapolis : B The good : Souvenez-vous, en 2011 : Manning contraint de ne pas jouer la saison à cause d’une opération au cou durant l’été, et s’en est suivi une saison pitoyable : 2-14. Lors de la Draft, toutes les questions étaient permises sur le choix des Colts, mais ils finirent par prendre QB Andrew Luck. Depuis, Manning est parti, laissant à Luck les rennes de la franchise. Cette saison encore, Andrew Luck a prouvé qu’il était au niveau. 3 822 yards lancés, 23 TD et 9 interceptions, c’est loin d’être pitoyable, surtout quand l’équipe termine en playoffs (11-5). Parlons justement des playoffs, et notamment du match contre les Chiefs, durant lequel Luck a montré ses deux visages. Après 2 interceptions et 1 seul TD en première mi-temps, puis une interception sur le premier drive du QT3, tout le monde voyait les Colts éliminés avec 28 points de retard. Cependant, Luck a réussi à inverser la tendance : TD pour Brown, TD pour Fleener, TD au sol personnel et enfin TD pour Hilton. C’était seulement la deuxième fois de l’histoire qu’une équipe remontait un déficit de 28 points en playoffs, et Luck signait là sa première victoire en playoffs. Le début d’une longue dynastie ? Qui sait … The bad : Les Colts sont l’une des franchises les plus irrégulière, en témoigne encore les résultats de cette saison. Capables de battre les Seahawks (week 5), ils se permettent une défaite face aux Chargers une semaine plus tard, ou même un revers chez les Cardinals (w. 12). Résultat, Indianapolis arrive en playoffs sans capital confiance, se fait peur face aux Chiefs et puis se noie face aux Patriots, avec notamment plus de 200 yards encaissés au sol (166 pour Blount, 52 pour Ridley et 17 pour Vereen). Et encore une fois, Luck avait lancé 4 interceptions, soit au total 7 interceptions sur deux matchs de playoffs (pour seulement 9 lancées lors de la saison régulière). Même si le corps de receveur est loin d’être le meilleur de la league (Hilton, Fleener, Brazil, Whalen), Luck doit être capable de réaliser une meilleure sélection sur ses lancés, et surtout arrêter de lancer plus d’un quart de ses balles (28%) sur Hilton (comme peut faire Stafford avec Johnson). Même si finir une saison avec une fiche de 11-5 est tout...

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NFL Review: NFC Ouest (6/8)
Fév26

NFL Review: NFC Ouest (6/8)

  0 Like(s) Bonjour. Il est temps de s’attaquer aujourd’hui à la NFC West. Sans doute ce qu’il se fait de mieux en NFL. J’espère que cet article sera aussi plaisant à lire qu’il l’aura été à écrire. Sans plus de transition… Classement de la division Seattle Seahawks 13-3 San Francisco 49ers 12-4 Arizona Cardinals 10-6 Saint-Louis Rams 7-9 Lorsque Pete Carroll a pris les commandes des Seahawks en 2010, il est parvenu à hisser cette franchise en playoffs par un ratio de 7 victoires et 9 défaites. Cette année là, les 4 équipes qui composent cette division avaient totalisé seulement 13 victoires sur les 40 matches joués hors NFC West. Une division incroyablement faible qui faisait l’objet de nombreuses railleries/moqueries. Rira bien qui rira le dernier. Cette année, la NFC West abrite 3 équipes à plus de 10 victoires et les Rams ont gagné le respect de toute la NFL malgré un bilan comptable négatif. Qui rigole maintenant? Seattle Seahawks Note : A+ The Good : Tout (et plus encore) Il me semble que tout a déjà été dit sur les points forts de cette équipe. Meilleure défense de la ligue avec seulement 14.4 points encaissés par match. L’attaque au sol est portée par l’un des meilleurs RB de la ligue en la personne de Marshall Lynch (14 TD au total dont 12 au sol). Ils possèdent par ailleurs des fans capables de faire trembler le sol. La méga classe. Enfin, si QB Russel Wilson impressionne moins pas par ses statistiques, il s’est affirmé comme un stratège et gestionnaire hors pair. Lucide, intelligent et redoutablement efficace, il accélère et ralentit le jeu de son équipe à sa guise, sublimant les tactiques imaginées par un entraîneur heureux : Pete Carroll. The Bad :Rien (et moins encore) Pfouuu, que dire ? On passe à la rubrique suivante ? Non ! Par orgueil, je tiens à souligner un point faible de cette équipe : les receveurs. Si Wilson ne compte pas de statistiques hallucinantes, c’est en partie à cause d’un corps de receveurs plutôt faible, notamment lorsque Percy Harvin se retrouve blessé comme cette année. Résultat des courses, Seattle se positionne à la 26ème place des attaques à la passe. Maintenant que Sydney Rice et son revenu annuel de $8million, est parti, cela pourrait offrir en peu de flexibilité financière pour s’offrir un WR efficace… En attendant, Seattle conservera une attaque redoutable au sol, mais manquant de diversité et parfois, d’imagination. J’ai pas mieux pour cette section. Et vous ? The Ugly : La motivation Titré pour la première fois de son histoire, Seattle a déchaîné les passions. Mis à part les ultras des Broncos, je crois que tout le monde a accueilli cette victoire...

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Le sport peut-il continuer dans un pays en conflit ?
Fév25

Le sport peut-il continuer dans un pays en conflit ?

  0 Like(s) « the show must go on » comme pourraient dire la plupart des fans des plus grandes rock stars quand elle meurt, mais ce slogan qui a fait le titre phare de queen à la mort de Freddie Mercury pourrait s’appliquer à la situation socio-politique qui se passe en Ukraine. Alors que l’Ukraine est sortie de crise politique, est ce que le monde sportif doit-il s’arrêter malgré la guérilla de tout un pays ? Des stars au service de leur patrie à leur fin de carrière certains sportifs décident de mettre en terme à leur carrière pour servir les intérêts de leur patrie, en France l’exemple le plus connu est David Douillet ancien ministre des sports sous le régime de Nicolas Sarkozy. En Ukraine il y a 2 exemples connus qui se sont lancés en politique : Andreï Shevchenko et le leader de l’opposition au régime de Viktor Ianoukovitch, l’ancien boxeur Vitali Klitschko. « Cheva » est devenu une star au Milan AC, avec une moyenne de 17 buts sous les couleurs des Rossoneri durant ses 7 saisons, l’attaquant Ukrainien est resté prolifique. à la fin de sa carrière au Dynamo de Kiev, l’attaquant de l’Est a décidé de mettre en terme à sa carrière et de se lancer en politique, le seul problème est que l’Ukraine est un pays où la corruption est maitre. En 2012, l’ancienne star Milanaise a perdu son premier combat politique car il a du s’incliné face à un nouveau poids lourds de la politique l’ancienne star sportive Vitali Klitschko. A l’heure actuelle il pourrait s’investir dans le monde du football. « Ironfist », les poings d’acier a dominé la boxe pendant des années malgré des blessures au genou qui l’aura handicapé. Le sommet de sa carrière sera son match face à l’Anglais Lennox Lewis match perdu par un KO assez litigieux (Vitali saignait de l’arcade mais voulait poursuivre le combat). Donné outsider l’Ukrainien renversa l’opinion des passionnés de boxe en le plébiscitant par sa combativité. Le lendemain dans la presse Américaine le titre était le suivant : « Lewis gagne le match, Klitsckho l’évènement ». Alors que les évènements de son pays prenaient une tournure dramatique Vitali voulait se présenter à l’élection présidentielle de son pays, mais le président Viktor Ianoukovitch fait élire une voix expliquant que les gens résidant hors de l’Ukraine ne pouvaient pas se présenter (Klitsckho est résident Allemand). En abandonnant son titre de la WBC des poids lourds Vitali a décidé de se consacrer à la survie de son pays, en 2012 il a réussi à faire rentrer son parti politique l’udar à l’assemblée nationale, une sacrée performance. Contexte politique très complexe La politique Ukrainienne est un...

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NFL Review : AFC Ouest (5/8)
Fév24

NFL Review : AFC Ouest (5/8)

  0 Like(s) Malgré le week-end du Scouting Combine (à suivre sur notre page facebook), nous continuons notre série sur la saison qui vient de se terminer. Après l’AFC Nord, la NFC Nord, l’AFC Est et la NFC Est, place à l’AFC Ouest pour ce 5ème volet. Au programme, retour sur l’année des Chargers, des Chiefs, des Raiders et des Broncos. Comme d’habitude, retour sur le classement de la division, les bonnes choses, les plus mauvaises, les horribles ainsi que sur l’image de la saison.   Classement : 1. Broncos . 13-3 2. Chiefs . 11-5 3. Chargers . 9-7 4. Raiders . 4-12     >>> Broncos de Denver : A The good : 68.3 % de completion, 5 477 yards lancés, 10 interceptions seulement mais surtout 55 TDs à la passe, ça vous dit quelque chose ? Peyton Manning bien entendu ! Comment passer à côté de ce QB à la précision légendaire, qui a véritablement retrouvé sa classe en signant à Denver après son année blanche (blessure au cou en 2011). Élu come-back de l’année en 2012, et nouveau détenteur du nombre de TD lancés en une saison régulière cette année, que dire de mieux ? L’attaque des Broncos fonctionne comme sur des roulettes, 1ère en terme de points marqués, 1ère en terme de yards au total mais aussi de yards à la passe. Le corps de receveurs y est forcément pour quelque chose : Demaryius Thomas cumule 1430y, Eric Decker 1288 et Wes Welker 778. Si j’avais voulu être original, j’aurai pu citer LB Danny Trevathan dans cette catégorie, mais le jeune homme a sa place dans L’image de l’année …   The bad : OLB Von Miller ça vous parle ? Sélectionné au premier tour par Denver lors de la Draft 2011 (2ème choix derrière Cam Newton, devant NT Marcell Dareus, WR AJ Green ou encore CB Patrick Peterson), le joueur est loin d’être passé à côté de sa saison, mais n’a joué que 9 matchs (suspendu durant les 6 premiers matchs), et a reçu un vilain cadeau de Noël. Lors du match contre les Texans, le LB se blesse au genou : saison terminée, pas de playoffs pour lui. Les Broncos ont bien débuté la saison sur un 6-0 sans l’un des meilleurs défenseurs, peuvent-ils terminer correctement la saison sans lui ? On ne saura jamais si l’ex-joueur de Texas A&M aurait pu changer la face du Superbowl XLVIII, mais le fameux #58 a forcément manqué à la défense des Broncos.   The ugly : Le Superbowl XLVIII. Quel fan des Broncos a oublié ce match ? Aller au Superbowl, ça marque. Le perde, ça marque encore plus. Le perdre de cette façon … ça reste gravé à vie ! Un premier snap désastreux et légendaire, une suite pas glorieuse....

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NFL Draft Combine : explications
Fév21

NFL Draft Combine : explications

  1 Like(s) Petite pause dans la série en cours (NFL recap) et place à un article plus « d’actualité ». Ce samedi débute le NFL Combine. En marge de la prochaine Draft, certains joueurs sont invités (les meilleurs en général) à effectuer des tests physiques devant les scout NFL (employés des équipes payés pour repérer les futurs talents de la NFL) mais aussi devant les télévisions. Pour certains joueurs, il s’agit de l’ultime manière de taper dans l’oeil des recruteurs. Pour d’autres, une contre-performance et l’espoir de bien figurer dans la Draft est moindre. Même si il ne s’agit pas de football à proprement parlé, les analystes donnent beaucoup d’intérêt à ces 4 journées. Au programme donc, 6 ateliers communs à tous les postes, puis des exercices spécifiques à chaque poste. Présentons tout d’abord des 6 ateliers communs : >>> Le 40 yards dash : Rien de plus simple : une course chronométrée, départ arrêté, de 40 yards (soit environ 36 mètres). Des cellules de chronométrage à 10, 20 et 40 yards permettent aux scout de mesurer l’explosivité de chaque joueur. Le record de cette spécialité, toutes Draft confondues est de 4.24 secondes, est l’oeuvre de Rondel Menendez, receveur drafté en 247ème position par les Falcons d’Atlanta, qui ne jouera pas un seul match en NFL. Il avait été égalé par RB Chris Johnson (drafté par les Titans) en 2008. L’année dernière, c’est le receveur Marquise Goodwin qui avait effectué le meilleur temps en 4.27. >>> Le Bench Press : Une salle de muscu, un banc de développé couché, une barre à 225 pounds, soit 102.3 kg, le but étant d’effectuer le maximum de répétitions possibles. Le record est détenu, depuis 2011 par DL Stephen Paea, drafté par les Bears. L’année dernière, ce sont Margus Hunt (estonien drafté par les Bengals) et Brandon Williams (Ravens) qui ont réalisé la meilleure performance, avec 38 répétitions. >>> Le Vertical Jump : Sans élan, le but est de mesurer la détente verticale du joueur. Le record appartient à CB Donald Washington, qui a réussi un saut de 45 inch, soit 114.3 cm. Rien que ça. L’année dernière, c’est RB Christine Michael (actuellement chez les Seahawks) qui avait dominé ce drill avec un saut de 43 inch, soit 109.2 cm. >>> Le Broad Jump : Il s’agit d’un saut en longueur, sans élan et pieds joints. Il est utilisé afin de mesurer l’explosivité du joueur, et donne une idée de l’efficacité de son jeu de jambes. Le record de cette spécialité a été battu l’année dernière par LB Jamie Collins, drafté par les Patriots. Il avait effectué un saut de 11 foot et 7 inch, soit 353.1 cm. >>> Le 3 cone drill : Comme...

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NFL Review: NFC East (4/8)
Fév19

NFL Review: NFC East (4/8)

  0 Like(s) Bonjour les amis. Nous poursuivons l’analyse de la saison NFL, division pas division. En incluant cet article, nous en sommes déjà à mi-chemin. Que le temps passe vite… Allez, commençons. Classement de la division Philadelphia Eagles : 10-6 Dallas Cowboys : 8-8 New-York Giants : 7-9 Washington Redskins : 3-13 La NFC East est une division qui abrite des franchises légendaires. Tous les amoureux du football américain prédisaient une saison passionnante pour ses 4 pensionnaires. Je crois que personne n’aurait pu prédire un tel burnout… Pour rappel, vous pouvez retrouver ici le mode d’emploi pour comprendre l’attribution des notes. Philadelphia Eagles Note : A The Good : Chip Kelly, entraîneur Cette franchise baignait dans un océan d’incertitudes en début de saison : Quelle transition pour le novice Chip Kelly ? Michael Vick saura-t-il élever son niveau de jeu ? Les « defensive backs » seront-ils à la hauteur? Le départ poussif (2 victoires laborieuses et 3 défaites) a, paradoxalement, fait briller Chip Kelly. En effet, ce dernier a eu le cran de remplacer l’homme qui pesait $10million (Michael Vick) au profit du jeune Nick Foles. Ce dernier n’a pas déçu. Drafté au 3ème tour de la draft 2012, ce QB a battu le record de la franchise pour le plus grand nombre de passes consécutives sans INT (233) et a inscrit 19 TD consécutif sans INT, à une seule longueur du record détenu par Peyton Manning. Bref, le néo pro-bowler a convaincu son monde. Lui et son compère LeSean McCoy ont porté les Eagles au sommet de la division et jusqu’en palyoffs. « Good job » Chip. Je pense qu’on peut affirmer que la transition est réussie. The Bad : Les Defensive Backs L’attaque est en place à Philadelphie. Pas de soucis. Maintenant, il faut régler la défense contre la passe. Avec 290 yards par match, les Eagles ont concédé le plus de « passing yards » en NFL cette saison. Pour expliquer cela, on doit évoquer le cas des CB. Ces derniers ne manquent pas forcément de talent mais paraissent clairement sous-dimensionnés (pas un joueur supérieur à 1,85m) face à des WR tels que Calvin Johnson. Trop petits et pas assez musclés, deux choix s’offrent aux Eagles pour palier à ce problème : a) offrir des échasses et une cure d’épinards pour ses lignes arrières b) trouver un renfort parmi les joueurs libres Quelle option privilégieriez-vous ? « privilégieriez-vous » est-il aussi compliqué à lire qu’à écrire ? The Ugly : Nick Foles, QB Comme j’ai pu le remarquer dans l’une de mes chroniques du blitz, Nick Foles sera au centre de toutes les attentions lors du prochain « training camp ». Emprunté après la défaite en playoffs contre les Saints, comment réagira le jeune QB ? Son talent est dorénavant reconnu de tous. Surtout par ses adversaires, qui auront tout le temps d’étudier...

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