NFL Review : AFC Nord (1/8)
Fév10

NFL Review : AFC Nord (1/8)

  0 Like(s) En NFL, la saison régulière ne dure que de septembre à février. Le Superbowl maintenant passé, nous entrons dans une longue phase : la post-saison. Comme vous avez pu le lire dans mon article-calendrier 2014, le prochain gros événement est la Draft, qui se tiendra début mai, et que nous aurons amplement le temps de couvrir. En attendant, Rémy et moi nous vous proposons un recap de la saison passée. Durant 4 semaines, vous aurez le droit à deux articles par semaines revenant sur l’année de chaque équipe. Dès maintenant, place à l’AFC Nord, composée des Ravens de Baltimore, des Bengals de Cincinnati, des Steelers de Pittsburgh et des Browns de Cleveland. Classement : 1. Bengals . 11-5 2. Steelers . 8-8 3. Ravens . 8-8 4. Browns . 4-12 >>> Bengals de Cincinnati (11-5) : B- The good : En prenant rapidement les devants de la division, les Bengals ont détrôné les habituels leaders qu’étaient Ravens et Steelers. En battant par exemple les Patriots (week 5), les Packers (week 3) et même les Colts (week 14), les hommes de coach Marvin Lewis ont prouvé de quoi ils étaient capables. Avec plus de 4000y à la passe, Andy Dalton s’impose enfin comme un QB « correct » : il atteint pour la première fois la barre des 30 TD (33), mais cumule aussi 20 interceptions. Cependant, il a été très bien aidé par son jeu au sol, avec RBs Green-Ellis et le rookie Bernard. La grosse satisfaction de l’année vient de la défense, avec une excellente saison de LB Vontaze Burfict, bien épaulé par LB Ray Maualuga, mais également par CB Adam Jones (3 int). The bad : James Harrison. Clairement. Après 10 saisons à faire les beaux jours de la franchise rivale, les Steelers, Harrison a voulu changer d’air. En faisant le « show » lors de la série d’août Hard Knocks, on pouvait s’attendre à mieux de la part du quintuple pro-bowler. En démarrant 10 des 15 matchs aux quels il a participé, Harrison n’a cumulé que 30 plaquages (contre 70 en 13 matchs l’an passé) pour une seule interception. Repositionné dans une défense 4-3 (Pittsburgh évoluait en 3-4), l’ex-non drafté n’a pas su s’adapter assez rapidement aux plans de jeu de sa nouvelle franchise. Avec seulement 2 sacks cette saison, Harrison devra prouver qu’il vaut mieux, ou son back-up le rookie Jayson DiManche pourrait le pousser vers la retraite … The ugly : 20 interceptions pour Dalton, c’est trop. Derrière AJ Green et ses 1426 yards à la réceptions, les receveurs de talents ne se bousculent pas. Marvin Jones et Mohammed Sanu tente d’exister, quand TE Tyler Eifert (rookie) n’arrive même pas à 500 y. Reste l’éternelle question : sont-ce les receveurs qui ne sont pas au niveau ? Ou Dalton fait-il les mauvais choix en privilégiant trop souvent Green ? Le (seul) match de playoffs de la saison résume parfaitement l’état...

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Saison NFL 2013 : Avez-vous bien suivi ?
Fév05

Saison NFL 2013 : Avez-vous bien suivi ?

  0 Like(s) La saison NFL et le Superbowl sont maintenant terminés. Après ce 48ème Superbowl, il est maintenant temps pour vous de passer l’épreuve du grand Quizz NFL et de voir si vous avez tout suivi et compris. Prêt ? 20 questions sur l’actualité sur la saison NFL en général. Connaissez vous toutes les réponses ? Bon courage à tous...

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Chroniques du Blitz – Super Bowl
Fév04

Chroniques du Blitz – Super Bowl

  0 Like(s) Ça y est. C’est fait. Terminé. Au revoir NFL… Ou presque. Il vous reste à lire cette ultime chronique du blitz pour clore (en beauté?) cette saison. Vous êtes prêts? Allez, on y va. $5 000 / Permettre à sa mÔman, fan des Seahawks depuis toujours, d’assister au Super Bowl contre les Broncos au Metlife Stadium… Un montant qu inclut le gardiennage du chien pour le weekend. $300 / Montant du billet aller retour, pour parcourir les 3869 kms qui séparent Seattle de New York. Un vol opéré par la compagnie aérienne American Airlines. $1 200 / réservation pour deux nuits au Peninsula Hotel, localisé au cœur de Manhattan $70 (option petit budget) / Réservation pour deux nuits dans un dortoir, au Hostelling International New York. $250 / Anticiper la victoire de son équipe préférée en réalisant ce tatouage… visionnaire $9 000 000 / Faire de Tim Tebow le temps d’une minute, la star du Super Bowl alors qu’il est toujours sans contrat en NFL… Merci T-Mobile. 111,5 million d’américains et moi, étions ravis de découvrir que Tim Tebow possède un réel don pour l’auto-dérision. $15 / Le prix d’un hot dog au Metlife Stadium $3 000 / Le montant des dons en faveur de la fondation Peyton Manning pour les deux audibles « Omaha » utilisés lors du Super Bowl par le célèbre QB $46 000 / Ce que perçoit chaque perdant du Super Bowl $92 000 / Ce que perçoit chaque vainqueur du Super Bowl $750 000 / Le coût de fabrication des 150 bagues de champion, distribuées à toute l’organisation des vainqueurs du Super Bowl $0 / S’allonger au centre de terrain. Dessiner un ange au milieu des confettis. Fermer les yeux. Sourire. Pleurer de joie en sentant l’euphorie gagner tous les fans d’une franchise sevrée de titre depuis sa création en 1976. L’argent peut procurer bien des choses. Pour tout le reste, il y a la magie du sport… C’est tout pour moi. Merci à vous d’avoir lu cet article jusqu’au bout. Vous retrouverez le prochain numéro des chroniques du blitz mercredi prochain. N’hésitez pas à tweeter ici et là vos réactions. Sinon, vous pouvez faire la même chose sur facebook ici et...

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NFL Superbowl XLVIII : Analyse
Fév03

NFL Superbowl XLVIII : Analyse

  0 Like(s) Après mes nombreux articles et le réveil des médias « généralistes », impossible de passer à côté du Superbowl. La grande finale a encore réservé son lot de surprises, et a été haute en couleurs ! Bien que le pronostic que j’avais proposé sur Vive Le Sport ait été totalement faux, je ne vais pas me priver pour vous livrer mon analyse de la dernière rencontre de l’année. Lisez_là jusqu’au bout, commentez, donnez votre avis, partagez … et restez avec nous pour des articles réguliers afin d’attendre au mieux la nouvelle saison ! Le match : L’opposition entre la meilleure défense et la meilleure attaque promettait beaucoup. Au final, c’est le QB le moins expérimenté et le moins « bon » à la passe qui a fait des étincelles. Russell Wilson a complété 18 de ses 25 passes, pour 206 yards au total, mais surtout 2 TD et aucune interception. En trouvant Baldwin et Kearse dans la end-zone, le QB a parfaitement su faire avancer son attaque, face à une défense qui avait essentiellement axé son jeu sur le sol. En effet, RB Marshawn Lynch a du se contenter de 39 yards au sol (dont une course de 18y) en 15 tentatives, pour un (petit) TD de 1 yard. L’éclair de la soirée au sol est venu de WR Percy Harvin, gagnant 45 yards en 2 courses sur deux belles reverses. Bien que n’ayant pas à tenter de 4èmes tentatives, coach Pete « Big Balls » Carrol a donc mérité son surnom, en tentant quelques jeux étranges. En défense, les Seahawks n’ont pas dérogé à la règle et ont été ultra-présents. CB Sherman peu en vue (2 plaquages solo, aucune interception), ce sont les safety qui ont fait le show : 6 plaquages pour Earl Thomas, et 5 solos pour Chancellor. La Legion Of Boom est dans la place. En face, QB Manning et son attaque sont dans le dur. Dès le premier jeu du match, l’improbable se déroule : un snap raté, safety, et Manning n’a pas encore touché le cuir. Par la suite, il tentera tant bien que mal d’exister, mais ne complète que 34 de ses 49 tentatives, pour 280 yards. Seul Demaryius Thomas catchera la balle dans la end-zone pour un TD tardif (fin du QT3) de 14 yards. Et oui, l’attaque tant redoutée des Broncos s’est tue : aucun point inscrit durant presque 3 QT, seulement 18 first downs au compteur, aucun 4th down complété (sur 3 tentatives) et … 27 yards au sol ! RB Moreno, sous pression constante, n’a pu accumulé que 17 yards, et Anderson n’a pas su faire mieux avec 9yards gagnés. Pour Ball, c’est le quasi-néant : 1 yard gagné en 6 courses. Comme je l’avais indiqué dans le dernier preview l’un des duel de la soirée opposait LT Clark à DE Clemons. Ce duel a bien eu lieu, mais de...

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NFL Superbowl Preview
Fév01

NFL Superbowl Preview

  0 Like(s) Ca y est, on ne peut plus reculer, on est (enfin) arrivé à la veille du Superbowl ! Encore 4 quart-temps (voir plus) de grand football, et la saison sera définitivement terminée … Il faudra attendre le mois d’août pour revoir 22 joueurs équipés sur le terrain. Pour ce 48ème Superbowl, tout ou presque a été dit, c’est pour cela que je vais tenter (je dis bien tenter, car je ne peux pas inventer non plus …) de faire original ! Au programme de ce preview, 3 face à face qui détermineront l’issue de ce match, puis un point sur le stade, la météo, les stats à connaître … et mon prono pour finir ! Les Duels : > I. WR Demaryius Thomas (DEN) vs. CB Richard Sherman (SEA) : On ne peut commencer la présentation de ce match sans parler de l’homme qui fait couler le plus d’encre dans les médias en ce moment, le meilleur CB de la league, Richard Sherman. On le déteste ou on l’adore, mais ce joueur ne laisse pas indifférent. Si il a détourné la passe de Kaepernick qui aurait pu offrir un Superbowl aux 49ers en finale de conférence, il réalise également un excellent travail de couverture, qui dissuade les QBs de lancer sur lui. Cependant, il aura en face de lui dimanche WR Thomas, loin d’être un novice timide. De toute façon, le receveur l’a annoncé : il n’a aucune idée de la défense que préparent les Seahawks, mais il veut être couvert par Sherman ! En saison régulière, le CB de Seattle mène le classement des interceptions (8), tandis que le WR de Denver est deuxième au nombre de TDs inscrits ! Ca va être chaud dimanche, aussi bien au niveau du jeu que du trash talking ! Le plus compliqué pour ces jeunes joueurs (25 et 26 ans) sera de rester concentrer sur le jeu, et de ne surtout pas sortir du match. > RB Marshawn Lynch (SEA) vs. LB Danny Trevathan (DEN) : Le fameux « Beast Mode » frappera-t-il New York dimanche soir ? Ce qui est sur, c’est que le coureur aux 249y en 2 matchs de playoffs sera surveillé comme l’huile sur le feu par le meilleur plaqueur des Broncos (12 plaquages en deux matchs). Même si il a « moins couru » que l’an passé, Lynch reste l’un des meilleurs coureurs de la ligue, et a signé la deuxième meilleur saison de sa carrière (8ème saison). En face, le tout jeune Trevathan (2ème saison, et première en tant que titulaire) devra faire oublier Von Miller (blessé), tout en restant concentré. En effet, l’OLB des Broncos est connu pour son interception mal retournée face aux Ravens. Cependant,...

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Le football US féminin : du plaisir pour les yeux
Jan30

Le football US féminin : du plaisir pour les yeux

  95 Like(s) Football US à la sauce féminine et sexy ! Le football us féminin est à la mode en ce moment ! Cette fois-ci, petit détour aux States où le football local (le football américain) pour les femmes en petite tenue mêle sensualité et plaisir … bref un régal pour nous les Hommes !! Et le plus, une petite surprise dans cette vidéo ! Et oui, la surprise dans cette vidéo, c’est Cauet ! Le bonhomme avait fait son pti tour du monde, bien entendu accompagné de toute une équipe de tournage. Et face à ces joueuses, le garçon ne fait pas le malin ! A quand ce sport en France pour les hommes et les femmes...

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NFL Superbowl preview : Seattle Seahawks
Jan29

NFL Superbowl preview : Seattle Seahawks

  0 Like(s) Chose promise, chose due. Après la présentation des Broncos hier, place à celle de leurs adversaires de dimanche : les Seahawks de Seattle. Comme hier, vous aurez le droit à l’histoire de la franchise, le parcours de la saison, un point sur l’attaque, un sur la défense, et un « facteur X » qui pourrait totalement changer la donne. Plus que 4 jours à attendre pour le Superbowl …   Histoire de la franchise : Créés en 1976, les Seahawks sont apparus grâce à la politique d’expansion de la NFL, en même temps que les Buccs. D’abord intégrés à la NFC, puis reversés en AFC, ils intègrent finalement la NFC Ouest telle qu’on la connait (49ers, Rams, Cardinals) en 2001. Après quelques années d’errance, Seattle recrute coach Chuck Knox et QB Dave Krieg, qui permettent à la franchise d’aller en playoffs pour la première fois de leur jeune histoire, en 1983. Malgré une défaite en finale de conférence, les Seahawks restent sur leur lancée et réalisent une saison 1984 de haut vol (12-4) mais échouent encore une fois en playoffs (divisional round). En 1987 et 1988, les Seahawks goûtent de nouveau aux phases finales, sans plus de succès. S’en suivent des années noires. Dans les « 90’s », aucun QB n’arrive à s’imposer, et les Seahawks sont à deux doigts de l’implosion : délocalisation et banqueroute sont au programme. Puis vient la magie de l’an 2000 : de retour en NFC Ouest, avec l’arrivée de QB Hasselbeck, les Seahawks retrouvent des couleurs, en remportant 4 fois leur division (04, 05, 06 ,07), et se retrouvent au Superbowl (perdu face aux Steelers en 2006). En 2010, l’arrivée de coach Pete Carroll, puis en 2012 la Draft de QB Wilson ont permis d’arriver aux Seahawks à ce niveau aujourd’hui.     Parcours cette saison : Avec une fiche de 13-3 en saison régulière, les Seahawks ont obtenu le seed #1 de la NFC. Les pensionnaires du CenturyLink Field n’ont pas fait beaucoup d’erreurs cette saison, et se sont inclinés 32fois à l’extérieur : San Francisco (week 14) et Indianapolis (w. 5), pour une seule fois dans leur antre (Cardinals, w. 16). Et la meilleure défense de la ligue a réalisé des performances notables : aucun point encaissé face aux Giants (week 15), 3 face aux 49ers (w. 2), 7 face aux Saints (w.13) et aux Panthers (w.1), pas grand monde peu se vanter d’avoir fait mieux. Sur 16 matchs de saison régulière, le meilleur coureur de la rencontre (pour les 2 équipes) a été 10 fois un joueur des Seahawks (Lynch ou Wilson). En playoffs, les Seahawks se sont débarrés de deux monstres de la NFC, deux légendes : les Saints et les 49ers. Deux fois, ils ont inscrit 23 points, mais la donne sera forcément différente à New York, loin...

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NFL Superbowl preview : Denver Broncos
Jan28

NFL Superbowl preview : Denver Broncos

  0 Like(s) Comme vous l’avez surement entendu quelque part, le Superbowl approche à grand pas. Dans un peu plus de 120h, les deux équipes seront sur le terrain, prêtes à en découdre. En attendant ce moment, place à la série des inévitables « preview ». Après un épisode de la saga « Chronique du Blitz » qui nous a mis dans le bain, place à trois articles qui feront monter la pression avant le fameux Star-Splanged Banner, qui sera interprété cette année par Renée Fleming. Place sans plus attendre à l’équipe qui représentera l’AFC cette saison, les Broncos de Denver.   Histoire de la franchise : Fondée en 1959 par Bob Howsam, les Broncos sont toujours resté à Denver. Affiliés en 1960 à l’AFL (ligue créée à la base pour concurrencer la NFL, puis les deux ligues ont fusionné en 1970), les Broncos connaissent des débuts difficiles : malgré la victoire inaugurale face aux Patriots (de Boston à l’époque, 13-10), Denver est la seule équipe de l’AFL à n’avoir jamais disputé la finale pour le titre, alors qu’il s’agit de la première franchise ALF à avoir battu une équipe NFL de l’époque (les Lions de Detroit). Emmenés par l’expérimenté QB Craig Morton en 1977, l’équipe atteint pour la première fois le Superbowl (XII), qu’ils perdent 27-10 (vs. Cowboys). Ils rééditent la même performance l’année suivante, face aux Steelers. S’en suivent quelques années de disette, précédent la plus belle période de l’histoire des Broncos : l’ère John Elway. Ce QB venu tout droit de Stanford (NCAA), drafté en 1983, restera 15 ans à la tête des « Orange Crush ». A son palmarès, les deux seuls Superbowl remportés par la franchise : 1997 et 1998. Malgré 5 apparitions au Superbowl, les Broncos « de » Elway ne gagneront que deux bagues, et le plus célèbre des QB du Colorado tirera sa révérence. Après quelques années de doute, et malgré les belles performances de QB Jake Plummer (battus en 2005 par les Steelers, futurs champions, après avoir éliminé les Patriots de Brady, doubles tenants du titre), la franchise stagne jusqu’en 2008, puis remonte doucement la pente. Avec la venue de QB Orton (à la place de Cutler), qui réalise des performances en dent de scie, les Broncos sont obligés de faire confiance au Messie : QB Tim Tebow ! Emmenant les siens en playoffs en 2011, Tebow n’est cependant pas l’homme de la situation et la franchise signe QB Peyton Manning, qui sort d’une année d’inactivité (blessure au cou). L’histoire des Broncos est en route, et après le nombre impressionnant de records abattus, un Superbowl ne serait que l’aboutissement d’une saison quasi-parfaite.     Parcours cette saison : Revenons justement sur la saison des Broncos. En battant les champions en titre, les Ravens, 49-27 dès la week 1, les Broncos ont envoyé un signal fort à toute la ligue. Le...

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Chronique du Blitz: J-6 avant le Super Bowl
Jan27

Chronique du Blitz: J-6 avant le Super Bowl

  1 Like(s) Le 48ème Super Bowl se tiendra le week-end prochain à New-York. Cette année, nous aurons le droit à une finale glaciale. Peut être même enneigée. Une première puisque la NFL s’est jusqu’à maintenant évertuée à offrir aux joueurs et spectateurs, des conditions de jeu idéales: chaudes et ensoleillées (Miami, Tampa Bay, Los Angeles etc…) ou en intérieur (Détroit, Indianapolis, Nouvelle-Orleans etc…). La météo new-yorkaise, annoncée difficile, pourrait-elle faire le jeu des défenses et donc favoriser les Seahawks? A contrario, les conseils avisés d’Eli Manning (QB des Giants) pour son frère seront-ils suffisants pour offrir l’avantage du terrain aux Broncos? En ce qui vous concerne, je vous invite à vous installer chaudement (bouillotte et café/thé) pour lire ma chronique blitzesque pré-Super Bowl… #4 Qu’importe le vainqueur, l’histoire s’écrira Si vous avez un tant soit peu d’objectivité lors de cette finale (i.e. vous ne supportez ni les Broncos ni les Seahawks), alors vous saurez vous réjouir du résultat. Qu’importe le nom du vainqueur, il marquera l’histoire de la NFL pour au moins deux raisons. Imaginez une victoire de Seattle et réjouissez vous d‘observer… Une franchise mythique, née en 1974, remporter son premier Superbowl. Il ne fait aucun doute que la ville et surtout, ses fans, le méritent. Notamment depuis la défaite de Seattle en finale contre les Pittsburgh Steelers (2005) où le corps arbitral avait livré une prestation (très) très controversée suite à des décisions favorisants systématiquement Pittsburgh. Nul doute qu’une victoire rendrait hommage aux nombreux mythes qui ont porté la tunique des Seahawks : Shaun Alexander (RB), Matt Hasselbeck (QB), Franco Harris (FB), Steve Largent (WR), Carl Eller (DE), Cortez Kennedy (DT)… Pete Carroll devenir le premier entraîneur à réaliser le doublé BCS/Superbowl. Entraîneur des Trojans de USC (University of South California) entre 2000 et 2009, Pete Carroll a gagné 69 des 81 matches disputés par son équipe. Il lui a même offert deux titres de champion universitaire (le fameux BCS). Né à San Francisco (vous apprécierez le clin d’œil), Carroll est embauché en 2010 pour mener les Seahawks au sommet de la hiérarchie. Si c’est le cas, il deviendrait le premier entraîneur à remporter le titre suprême universitaire et professionnel. Imaginez une victoire de Denver et réjouissez vous d‘observer… Le premier titre de Champ Bailey (CB). Il y a des joueurs qui marquent un sport. Bailey peut s’en vanter. Drafté en 1999, d’aucun pourrait argumenter qu’il est le plus grand joueur de l’histoire de la NFL à son poste. Sélectionné à 12 reprises au Pro Bowl (un record), Champ pourrait définitivement asseoir sa légende en remportant enfin, à 35 ans, une bague de champion. Son champs du...

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Chroniques du Blitz – Conference Championship Games
Jan22

Chroniques du Blitz – Conference Championship Games

  0 Like(s) Que la semaine passe vite, on est déjà mercredi. Le moment pour vous de lire l’essentiel du week-end NFL à travers le regard, parfois sarcastique, de votre chroniqueur du blitz. Alors, que nous a réservé les deux finales de conférences? Voici mon top 5. #5 Seattle, ville pluvieuse… Seattle est l’une des ville les moins ensoleillées des Etats-Unis. Disons-le franchement, il pleut tout le temps… et ce n’est pas une légende, croyez-moi ! Mais ces derniers temps, une pluie d’un tout autre genre est apparue dans l’antre des Seahawks : une pluie de Skittles! Pourquoi ça? C’est simple comme bonjour. La star des Seahawks, le RB Marshall Lynch, a indiqué lors d’une interview précédent le match des Saints, qu’il adorait les skittles et pouvait même en dévorer au milieu des matches. Il faut croire que ses mots ne sont pas tombés dans l’oreille d’un sourd. La preuve. Depuis, les skittles pleuvent dès que l’attaque inscrit un touchdown. Il faut croire que c’est le début d’une tradition à Seattle… du moins jusqu’à ce qu’un joueur se blesse à l’œil en recevant un de ces fameux bonbons colorés… Enfin, je ne veux pas jeter le mauvais sort… #4 LB NaVorro Bowman, la blessure qui tue Il est toujours désolant de voir un joueur se blesser lors d’un match. Ça l’est encore plus quand il s’agit d’un joueur star, lors d’un match de playoffs, contre une équipe rivale. Regardez par vous même. C’est pas cool hein ? Pour information, NaVorro Bowman s’est déchiré les deux ligaments du genou. Mais la raison pour laquelle ce fait de jeu est dans cette chronique tient d’avantage au geste très maladroit de certains supporteurs des Seahawks qui ont accompagné la sortie du LB sur civière par une pluie de… popcorns et autres mal-bouffes en tous genres. Vraiment pas classe. C’est mon coup de gueule de la semaine. Est-ce également le vôtre ? # 3 Peyton Manning, sheriff de Omaha Omaha est une ville du Nebraska où il ne se passe, à vrai dire, pas grand chose malgré ses 415 000 habitants. Une université célèbre certes, sinon rien à se mettre sous la dent. Mais ça, c’était avant que Peyton Manning ne fasse de « Omaha » son signal préféré : les fameux « audibles ». Pour information, un « audible » est une sorte de code prononcé par le QB pour modifier la tactique de jeu en s’adaptant au positionnement des défenseurs adverses. Puisque Peyton Manning adore changer les tactiques, il utilise les audibles à tout bout de champ. Par exemple contre les Chargers, Manning a utilisé le signal « Omaha » 44 fois ! A force, cette ville est devenue « tendance », prisée des touristes et publicitaires....

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NFL Conference Championships : Analyses
Jan20

NFL Conference Championships : Analyses

  0 Like(s) Au programme hier soir, les deux finales de Conference, opposant d’une part les Broncos aux Patriots (AFC) et d’autre part les Seahawks aux 49ers (NFC). Sans plus tarder, voici résumés et analyses de cette folle soirée de football ! New England Patriots @Denver Broncos : Comme cela avait été annoncé, la clé principale du match était la capacité d’adaptation et de performance de la défense des Patriots face à QB Peyton Manning, et l’attaque si performante des Broncos. La réponse n’a pas tardé à arriver. Le premier drive, conclu par un punt rapide, a été le seul n’ayant pas apporté de points aux locaux. Ensuite, le QB multi-recordman a déroulé son jeu « habituel » : 32 passes complétées pour 43 tentés, 400 yards lancés « tout ronds » et surtout 2 TD pour aucun turnover : du grand Manning. La blessure de CB Aqib Talib (côtes) a forcément joué un rôle dans la contre-performance de la secondary des Patriots, mais les receveurs de Denver ont eu le champ libre : 134y (et 1TD) pour l’inévitable WR Demaryius Thomas, mais aussi 85y pour son homonyme TE Julius Thomas, sans oublier Decker, Welker ou Tamme (73, 38 et 24y et TD). Au sol, RB Moreno s’est « contenté » de finir le travail en cumulant 59y, et en laissant 43 à Ball. Soulignons l’excellent travail de la OL, qui a permit à Manning d’être serein : il n’a jamais été touché par un défenseur. Cette non performance du front 7 des Patriots peut avoir plusieurs explications : la première vient, bien entendu, du fait que Denver a l’une des meilleures OL (si ce n’est la meilleure) de la league. L’autre vient de la stratégie utilisée en défense : pour contrer au mieux le jeu de passes, la défense évoluait en man-to-man (marquage individuel) et ne laissait que 3 DL mettre la pression sur … 5 OL (au minimum, avec parfois un TE ou un RB en protection). FS McCourty, OLB Hightower et OLB Collins se partagent le « classement » des plaquages (9, 7 et 6) mais les stats défensives sont inexistantes : aucun sack, aucune interception, aucun fumble forcé, 27 first downs encaissés, et 35′ 44″ sur la pelouse, ce qui ne laisse que 24′ 16″ à Brady pour installer son jeu … Penchons-nous à présent sur l’attaque des Patriots ce soir. Pendant 3 QT, ce sont les défenseurs de Denver qui ont pris le pas : un seul FG inscrit par Gostkowski (47y), des receveurs à la peine, et un jeu au sol quasi-inexistant avec RB Vereen et RB Ridley. Au contraire de New-England, Denver a su mettre la pression sur le QB adverse, avec un front 7 conquérants, et notamment 2 sacks de DE Ayers et DT Knighton (sur une 4ème tentative). Bref, Brady ne parvenait pas à installer son jeu, et les excellentes couvertures de CB Tony Carter et CB Dominique Rodgers-Cromartie y étaient surement pour quelque chose....

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NFL Conference Championships – Preview
Jan17

NFL Conference Championships – Preview

  0 Like(s) A deux jours des finales de Conference, il est temps de faire un état des lieux sur les forces et faiblesses en présence de chaque équipe, afin de vous présenter au mieux c’est deux affiches : Patriots vs. Broncos et 49ers vs. Seahawks. Après la présentation des QB hier, et ce preview aujourd’hui, vous aurez toutes les cartes en main pour apprécier les deux matchs qui se dérouleront dans la nuit de dimanche à lundi !   New England Patriots vs. Denver Broncos (21h00, heure française) : En cas de victoire dimanche, les Patriots deviendraient la franchise la plus titrée en AFC, à égalité avec les Steelers, avec un huitième titre. Mais le principal n’est pas forcément là. Privés de Super Bowl depuis 1999, les Broncos auront à coeur de faire bonne figure, après une saison régulière encore une fois impressionnante. En attaque, la machine Denver est en forme, c’est un fait. Comme annoncé hier dans l’article sur les QB, Manning est au sommet de son art, et compte bien se retrouver au MetLife Stadium début février ! Meilleur attaque en terme de points inscrits, de yards gagnés et de yards gagnés à la passe, le seul point faible de Denver est le jeu au sol. Point faible ? Avec RBs Moreno et Ball, on ne peut pas parler de point faible. Dans l’ombre du QB tellement efficace, les deux coureurs se contente de « faire le job » et de gagner des yards importants. Avec Welker, Decker, Demaryius et Julius Thomas comme cibles principales, il faut dire que Manning n’a que l’embarras du choix ! Cette saison, aucune équipe n’a encaissé moins de 20 points face à l’ogre Denver : la « meilleur défense » a été San Diego durant la saison régulière, lors de la week 15 et la victoire 27-20. Vous doutez encore de leur efficacité ? Sur les 16 matchs de saison régulière, 13 se sont terminés avec plus de 30 points au compteur. What else ? Ok, je continue : 27 first downs de moyenne (en comparaison, les Chiefs sont à 20 de moyenne….) et 4.75 TD par match, c’est plutôt performant. En défense, les Broncos ne sont pas à plaindre, loin de là ! Très efficace face à la course, un peu moins face à la passe, les défenseurs de Denver savent être efficaces. Une moyenne de 2.5 sacks par match, dont 10 sur la saison pour DE Shaun Phillips, mais également un impressionnant total de 129 plaquages pour OLD Danny Trevathan, suffisent généralement (13 fois sur 16 cette saison) à l’attaque pour marquer plus de points que les adversaires. Bien qu’orphelins de LB Von Miller (blessure au genou, indisponible 6 mois minimum), les coéquipiers de l’expérimenté CB Dominique Rodgers-Cromartie n’ont pas grand chose à envier à la défense des Patriots … Dont’a Hightower, Aqab Talib, Jerod...

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NFL – Conference Championships : les 4 (QB) fantastiques
Jan16

NFL – Conference Championships : les 4 (QB) fantastiques

  0 Like(s) La saison NFL touche à sa fin, mais il reste encore 3 matchs : deux finales de Conference, et le Super Bowl. En attendant les deux matchs de dimanche soir, je vous propose un nouvel article portant sur les joueurs les plus mis en lumière, les plus suivis de la NFL : les Quarterback. Véritable pièce maîtresse de l’attaque, et souvent « star » de l’équipe, je vais vous présenter les 4 QB encore en lice pour obtenir une bague de champion cette saison. Ne sachant pas dans quel ordre les traiter, et ne voulant faire aucun classement, j’ai simplement suivi l’ordre alphabétique : Brady, Kaepernick, Manning, Wilson.   Tom Brady :     On ne peut le nier, Tom Brady est un QB d’exception, dans une équipe qui a su parfaitement s’adapter à son système. A 36 ans, le plus célèbre des joueurs NFL n’a plus raté les Playoffs depuis 2002 – seule saison durant laquelle il n’a pas réussi à emmener sa franchise en post-saison. Malgré 3 Super Bowl gagnés à son actif (2002, 2004, 2005) et 9 sélections au Pro Bowl, le QB a encore soif de victoires. Bien que sélectionné en 199ème position à la Draft (Tour 6, Draft 2000), le double MVP du Super Bowl est considéré comme le QB ayant la mécanique la plus proche de la perfection : les statisticiens parlent d’un temps de 33 centièmes entre le moment où le bras commence à monter, et le moment où il lâche la balle. Bien que n’aimant pas porter la balle, Brady a été beaucoup atteint par les défenses adverses. Avec 40 sacks au compteur, et un OL pas toujours fiable, le QB a un taux de completion de 60.5%, son plus bas taux depuis 2002.         Colin Kaepernick :   Après des débuts compliqué en NFL, le QB natif de Milwaukee s’affirme enfin comme véritable franchise QB. Après une première saison où il avait lancé 35 yards (en 3 apparitions), Kaepernick a pris les reines des 49ers l’année dernière, après la blessure d’Alex Smith (actuellement chez les Chiefs), pour les emmener au Super Bowl. Très bon passeur, le jeune QB a également cette capacité à sortir de sa poche pour aller chercher des yards au sol, et représente ainsi une menace supplémentaire. Cependant, ce profil a souvent fait craindre les franchises NFL, qui ont tardé à le sélectionner à la Draft (36ème choix, 2ème tour, 6ème QB). Bien que très jeune, Kaepernick a déjà accumulé énormément d’expérience : remplaçant puis titulaire en université, il a su imposer sa façon de jouer à San Francisco pour devenir inconditionnel, et le Super Bowl perdu de 3 points seulement lui sera forcément bénéfique....

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Chroniques du Blitz – Divisional Playoff Games
Jan15

Chroniques du Blitz – Divisional Playoff Games

  0 Like(s) Chic, c’est mercredi. Jour de blitz. Voici le top 5 des faits marquants d’un weekend qui ne nous a pas offert la même qualité de matches que lors des Wild Card Rounds la semaine dernière. Il faut dire que la barre était fichtrement haute. #5 Jim Harbaugh, Coach San Francisco 49ers, a gagné le droit d’être exubérant En fin de première mi-temps contre les Carolina Panthers, Jim Harbaugh a été pénalisé pour être entré sur le terrain au milieu d’une action. Plus tard, il a également été pénalisé pour avoir critiqué avec véhémence le choix d’un arbitre. Oui, Jim Harbaugh est exubérant et grande gueule. Le fait est qu’il peut se le permettre. À son arrivée en tant qu’entraîneur des 49ers en 2011, San Francisco sortait d’une saison à 6 victoires et 10 défaites, avec un jeu stéréotypé et sans saveurs. Depuis, Jim Harbaugh a gagné un total de 41 matches dont 5 en playoffs en bâtissant une défense imperméable et une attaque imprévisible, sous la houlette de Colin Kaepernick, à qui il permet de franchir tous les paliers pour atteindre le statut de superstar. Une fois de plus ce week-end, Jim Harbaugh a prouvé qu’il était fin stratège en plus d’être une grande gueule. Les deux rencontres des 49ers en playoffs étaient des remakes de deux matches perdus en saison régulière : contre les Packers et Panthers. Harbaugh a parfaitement étudié les cassettes, ce qui lui a permis de bâtir un plan de jeu à même de neutraliser Cam Newton et Aaron Rodgers. C’était pourtant pas gagné, surtout à l’extérieur. Dimanche prochain, un dernier remake l’attend chez les Seattle Seahawks, où San Francisco avait perdu 29 à 3 en saison régulière. Mais qu’importe si Jim Harbaugh trouve, une fois de plus, la solution. Sa saison sera quoi qu’il arrive, une réussite. Ce qu’il a réalisé en trois ans est exceptionnel et a gagné le respect de tous ses pairs. Il a gagné le droit d’être excentrique sans qu’on lui en tienne rigueur. Et les fans adorent ça. Bravo. #4 Un tremblement de terre à Seattle Les sismologues de la côte ouest sont en permanence sur le qui-vive, guettant chaque jour les effets annonciateurs d’un tremblement de terre provoqué par la fameuse faille de San-Andreas: the big one. Pour les équipes adverses, jouer à Seattle n’est jamais chose aisée tant les fans sont bruyants. Pour preuve le week-end dernier contre les Saints, des sismologues ont détecté un mini-tremblement de terre d’une magnitude de 2 sur l’échelle de Richter dont l’épicentre n’était autre que le stade de football américain. T’imagines ou quoi là ? Ça en jette non ?! Le...

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NFL – Divisional Playoffs : matchs du dimanche
Jan13

NFL – Divisional Playoffs : matchs du dimanche

  0 Like(s) Après deux beaux matchs ce samedi, et un dimanche de repos bien mérité, nous voilà reparti pour les deux dernières rencontre de ce Divisional Playoffs. Au programme, encore un match NFC et un AFC : les 49ers affrontent les Panthers pour savoir qui retrouvera les Seahawks en finale NFC, et les Chargers se déplacent pour affronter les Broncos, et ainsi savoir qui sera opposé aux Patriots.   San Francisco 49ers vs. Carolina Panthers : Lors de la saison régulière, ces deux équipes ne s’étaient départagées que d’un point, et bien qu’une nouvelle fois à l’extérieur, les 49ers ont une réelle envie de revanche ! En attaque, les hommes de coach Harbaugh déroulent leur début de match, en alternant parfaitement courses et passes, et permettent à Dawson d’inscrire les 6 premiers points du matchs, sur 2 FG. En défense, la tâche n’est pas aisée : QB Newton est une menace constante, aussi bien au sol qu’à la passe, et les Panthers possèdent un corps de RB impressionnant. Cependant, l’intenable trio de linebackers a encore « fait le job » : 2.5 sacks pour Brooks, 1 sack pour Bowman et 1 interception pour Wilis. What else ? Ajoutez 1 interception à SS Whitner, une aide de DE Jerod-Eddie sur l’un des sacks de Brooks, et un sack solo de LB Skuta. La liste des big plays défensifs est tout de même longue, non ? Malgré cela, QB Newton cumule tout de même 267yards à la passe, et un magnifique TD de 31 yards pour S. Smith, qui permet à Carolina de rester dans le match. Au sol, la performance des Panthers est en demie-teinte : 54 yards tout de même pour Newton, mais seulement 20 pour Tolbert, 13 pour Williams et 6 pour LaFell. La défense des 49ers prouve qu’elle peut s’adapter à un QB mobile, Wilson (Seahawks) est prévenu. En attaque, l’homme des 49ers est le WR Anquan Boldin qui a cumulé 8 réceptions pour 136 yards. Ajoutez à cela un magnifique catch dans le coin de la end zone de TE Davis pour TD (sa seule réception du match), mais également 84 yards au sol de Gore, 27 de Hunter et 15 de Kaepernick. En stoppant deux fois les Panthers sur leurs propres 1 yards, les Niners ont encore prouvé leur capacité à défendre très sereinement. Les Panthers ont donc du se contenter de 10 points, tous inscrits lors du QT2, et n’ont rien su faire face à l’attaque très organisée de Kaepernick. San Francisco se déplacera la semaine prochain au Century Link Field de Seattle dans le but de retourner au Super Bowl une seconde année de suite. Wilson, Lynch, Sherman et cie sont prévenus, les 49ers sont en forme !   San Diego Chargers vs. Denver Broncos : Tout le monde avaient une question en tête : les Chargers étaient-ils capables de réitérer leur exploit de saison régulière ? Et comme un symbole, une réponse à toutes ces interrogations, Peyton Manning et son attaque ont mis la machine en route. Un premier TD...

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