Ligue 1-12e journée : Lille, la tête à Milan
1 Like(s) Pour terminer en beauté cette 12e journée placée sous le signe du spectacle et des buts (27 avant ce VAFC-LOSC) le hasard du calendrier nous proposait un 3e derby, celui-ci du Nord entre Valenciennes reléguable et le Lille OSC parti à la poursuite du Paris SG. Du spectacle au Hainault.. On s’attendait à un final digne de ce nom pour cette jounée, et on l’a eu, enfin en partie. Du jeu, de l’intensité et des occasions mais pas de buts ! Dans un stade du Hainault plein et flambant neuf (22000 spectateurs hier soir), Basa se blesse très vite et laisse sa place à Bonnart au bout de seulement 5 minutes de jeu. Pour ne rien arranger, Hazard loupe son duel seul face à Penneteau (11e), le derby part sur un rythme élevé. Rythme qui ne cessera tout le long de cette première période, frappe de Kadir (15e), reprise à coté de Payet (26e) puis Cohade envoie une super volée sur la barre de Landreau (32e) avant qu’Aboubakar trouve à son tour le montant sur un lob (41e). Le public valenciennois et les nombreux supporters lillois venus en voisin en ont pour leur argent dans cette première période, qui a eu tendance à devenir valenciennoise sur la fin. ..Mais La tête à San Siro ? La seconde période ne fera que confirmer cette impression, Aboubakar est intenable et met au supplice Béria – qui a glissé au centre depuis la sortie de Basa – et Rozenhal, tout de même solide et rassurant hier soir. Danic trouve une nouvelle fois le haut de la barre (54e) et c’est le LOSC qui pousse un soupir de soulagement, dans cette seconde période totalement à l’avantage des locaux. Les champions de France ne passent pas loin de la correctionnelle. Et ce ne sont pas les rentrées de De Melo (56e à la place de Balmont) et Cole (77e à la place de Sow) qui auront permis d’inverser la tendance. 0-0 à la fin du match. Valenciennes méritait clairement de gagner hier soir et Lille a déçu. Garcia espère que son équipe avait la tête à Milan, réponse mercredi à 20h45 à San Siro pour un des tournants de la saison lilloise. Les impressions de Rémi J’ai aimé : le stade du Hainault rempli et une très bonne ambiance. L’ambition dans le jeu de Valenciennes qui ne devrait pas rester dans la zone rouge bien longtemps. Angoua et Isimat Mirin solident en défense, Sow a eu toutes les peines du monde hier soir. Pour Isimat Mirin, Erick Mombaerts ne s’est pas trompé en l’appelant en équipe de France espoir. Côté Lillois Mickael...
Ligue 1- 12ème Journée : des derbies, des buts et des cartons … et Denis Balbir
0 Like(s) La soirée de samedi comptant pour la 12e journée de Ligue 1 fut riche en spectacle, Le Paris SG continue sur sa lancée, Montpellier est toujours dans la course, Marseille revit, Lyon bat à nouveau les verts et Bordeaux enfin solide à Ajaccio, retour sur cette soirée de Ligue 1. Paris SG-Caen 4-2, le diesel parisien Du spectacle et des rebondissements, c’est ce qu’a pu admirer hier le Parc des princes copieusement garni. Pourtant le score final n’est pas forcément révélateur du match des hommes d’Antoine Kombouaré. Le kanak décide d’aligner la grosse équipe mis à part Sakho préféré à Lugano. Pourtant c’est Caen qui ouvre rapidement le score par Heurtaux sur corner (12e). Heureusement pour les parisiens Nenê nous a encore gratifié d’un match d’exception hier soir. Le brésilien est à l’origine et à la transformation du pénalty de l’égalisation (expulsion de Nivet sur la faute 19e). Les parisiens dominent et rentrent aux vestiaires sur un score nul. Au retour, les joueurs de la capitale poussent et Ménez servi par Gameiro, libère le Parc. Après une foule d’occasions, Nenê inscrit un doublé de nouveau sur pénalty (76e). On s’attend dès lors à une fin de match facile mais ce n’est pas le cas. Vandam réduit le score sur une tête puissante (81e). Paris maitrise son sujet et le but de Pastore (89e) vient clore une belle mais poussive soirée parisienne qui aurait dû voir les hommes de la capitale s’imposer plus largement. On a aimé : Nenê encore décisif, Sakho de retour aux affaires et des caennais solidaires. On a moins aimé : Sirigu aux fraises sur les deux corners caennais qui amènent les buts, et le PSG qui aurait dû davantage se faciliter le match. Montpellier-Nancy 2-0, Giroud Monsieur + On ne les entend pas trop mais les montpelliérains sont toujours deuxièmes. Après une première période presque insipide (attaque stérile et des nancéiens un peu dangereux) l’équipe de René Girard s’est clairement mise en route en seconde période. Un coup de génie de Giroud (centre-tir dans le petit filet opposé de Ndy Assembe 61e) puis une reprise de Camara à bout portant (74e) font de Montpellier la meilleure attaque du championnat et la surprise de ce début de saison. On a aimé : Giroud, le facteur plus de Montpellier, et la rentrée du revenant Stambouli qui délivre la passe décisive pour Camara. On a moins aimé : une première période d’une faible intensité ; pour rester à cette place, Montpellier devra jouer ses matchs en entier ! Brest-Lorient 3-1, la Bretagne sait jouer au foot Le derby breton n’a pas déçu hier, loin de là, entre un...
Coupe de la ligue 2011 – 1/8 de finale : Lyon et Lille passent, Paris cale
0 Like(s) Renversants bourguignons ! Après les avoir reçu au Parc des princes, le Paris Saint Germain se déplaçait à Dijon après sa victoire le weekend-end dernier. Cette fois-ci on a eu droit à deux équipes grandement remaniées (Tchagouni, Altama ou Jouffreau côté dijonnais – Douchez, Bahebeck et Erding titulaires côté parisien). Tout commence pour le mieux pour le club de la capitale avec Bahebeck qui ouvre le score sur un magnifique coup franc (16e), avant qu’Erding d’un plat du pied ne double la marque après seulement 20 minutes de jeu, face à une défense dijonnaise débordée. Puis vint le tournant du match : une faute de Lugano dans la surface qui permet à Sankharé de réduire le score face à son ancien club (30e). Paris perd ses moyens et Berenguer égalise 3 minutes plus tard. En seconde période Paris n’est plus aussi dangereux et Dijon en profite. Camara commet une main dans la surface et Jovial trompe une nouvelle fois Douchez dans un stade Gaston Gérard aux anges. Le DFCO tiendra le résultat jusqu’au bout malgré les rentrées de Gameiro et Nenê. Très belle performance des bourguignons et scénario difficile à avaler pour le Paris SG qui recevra Caen dès samedi. Lorient opportuniste Le match à Dijon à peine terminé, le coup d’envoi était déjà donné entre Montpellier et Lorient. Là aussi on fait tourner et c’est de nouveau un stade clairsemé qui accueille les 22 acteurs (moins de 5000 spectateurs à la Mosson). Les locaux qui manquent totalement leur 1ère mi-temps et laissent Lorient ouvrir le score par Emeghara sur un face à face gagnant avec Pionnier. Réduits à 10 après la pause suite à l’expulsion de Bocaly, Giroud parvient tout de même à égaliser à la 65e, mais c’est logiquement Campbell, entré avant la pause à la place d’Emeghara, qui marque le but du K-O synonyme d’élimination pour le finaliste de l’édition précédente. Montpellier n’a pas montré son visage habituel en championnat, et peut désormais se concentrer uniquement sur le championnat où l’équipe de René Girard pointe à la seconde position. Lyon refroidit le chaudron, Lille facile, la surprise Mancelle. Les huitièmes de finale se sont terminés dans la soirée, avec comme point d’orgue le derby électrique entre l’AS Saint Etienne et l’Olympique Lyonnais. Un stade Geoffroy Guichard plein et une première mi-temps où les deux formations se livrent sans arrière pensée : tête de Kitambala (5e), centre de Guilavogui contré par Vercoutre (6e) puis l’ouverture du score de Briand suite à un coup franc de Kallstrom dévié par le mur stéphanois (40e), l’OL rentre aux vestiaires avec l’avantage et ne le lâchera plus, malgré...
Coupe de la ligue 2011 – 1/8 de finale : l’OM sans forcer
0 Like(s) Mardi 25 octobre 2011 – Avant le match de ce soir beaucoup d’observateurs soulignaient un match entre deux équipes malades : l’OM, mal en point en championnat et miné par le clash Deschamps/Anigo en coulisses, et le RC Lens qui pointe à la 15e place de ligue 2 et incapable de remporter le moindre match depuis plus d’un mois (Boulogne s/mer le 16 septembre, 2-1). Oui mais voilà, on ne soigne pas une grippe comme on soigne une méningite, et les marseillais nous en ont fait l’explication ce soir. Deschamps avait choisi d’aligner une équipe mixte composée d’habituels remplaçants (Bracigliano dans les buts, Sabo et Jordan Ayew sur les ailes, et surtout Gignac devant) et de titulaires pas forcément en pleine forme (Fanni, Lucho et Amalfitano). Du côté des sangs et or, Jean Louis Garcia avait décidé de laisser Fabre sur le banc et de relancer Kasraoui, idem pour Pollet décevant contre Guingamp à qui le coach artésien a préféré Thorgan Hazard. A sens unique Dans un vélodrome qui sonnait creux (à peine 20 000 spectateurs) les marseillais ont rapidement pris l’ascendant sur leurs homologues lensois. Ayew place une tête non cadrée (8e) avant que Kasraoui ne se détente pour sortir une tête de Kaboré, très bon ce soir. Amalfitano, le meilleur marseillais du match, enchaine les centres et obtient un bon corner au quart d’heure de jeu. Celui-ci est mal dégagé et c’est Gignac qui place une magnifique demi-volée pour ouvrir le score. C’est le 1er but de la saison pour l’attaquant qui se libère enfin après les bouts de matchs disputés depuis le mois d’août. Après ce but, on aurait aimé voir une réaction lensoise, mais rien ou presque, pour cause de timidité ou par manque de moyens. Marseille calma le jeu par la suite en attaquant par bribes. Les Olympiens terminent la première mi-temps avec un avantage qui aurait pu (du ?) être bien plus lourd. En face, seul Hazard d’une frappe nettement au-dessus a tenté d’inquiéter leur hôte du soir. Avec des sangs et or, habillés en bleu et jaune ce soir, bien trop fébriles, Jean Louis Garcia avait du boulot à la pause. Remy dynamiteur d’une défense lensois bien pâle Au retour des vestiaires on assiste au même scénario, les phocéens confisquent le ballon et Gignac, d’une frappe trop enlevée (49e), ou Ayew, sur une déviation sauvée in extremis par Kasraoui (53e), manquent de peu le but du K-O. L’ancien lorientais se procure une dernière double occasion face à Kasraoui suite à un énième centre d’Ayew : il bute sur le portier puis frappe le poteau. Dans la minute suivante il...
Ligue 1 – 11ème journée : Analyse de Lille vs Lyon (3-1)
0 Like(s) Lille-Lyon 3-1 Une première mi-temps lyonnaise et une seconde totalement lilloise. Contrairement à son match face à l’Inter mercredi, les lillois ont parfaitement su gérer ce match piège face à des lyonnais certes fatigués mais toujours dangereux, comme l’atteste le but de Briand à la 22e. Heureusement pour les nordistes Sow égalisait d’une superbe talonnade sur un ballon relâché par Lloris juste avant la mi-temps. De quoi assommer les lyonnais peut-être un peu fatigués par leur match à Madrid mercredi. Mais les joueurs de Rémi Garde ont surtout été dépassés par une équipe nordiste qui a enfin retrouvé son jeu de la saison dernière, avec un excellent Payet toujours dangereux, qui tira parfaitement ses corners et surtout son coup franc sur la tête de Basa pour la balle du 2-1. Cole vint clore parfaitement la soirée sur un contre orchestré par Hazard très en jambes hier soir. Victoire logique pour le champion en titre et 7 buts encaissés en 2 matchs pour les lyonnais, qui vont devoir se réveiller s’ils ne veulent pas sombrer dans une spirale négative On a aimé : la fraicheur lilloise, la solidité de Basa et son apport offensif sur les coups de pied arrêtés, Hazard et Payet enfin à leur niveau et Sow qui retrouve le chemin des filets On a moins aimé : Des lyonnais dépassés en seconde période, avec un Lloris qui relâche un ballon face à Sow, Bastos pas trop aidé par Cissokho lui-même dominé trop souvent par Balmont et Debuchy et Gomis qui a loupé un but tout fait sur une volée devant Landreau. Si vous les avez manqués : les analyses des autres matchs de cette 11ème journée de Ligue 1...
Ligue 1 – 11ème Journée : Analyse des matchs
0 Like(s) Marseille-Ajaccio 2-0 Drôle d’ambiance à Marseille malgré la victoire face à l’ACA. Entre la grève des supporters et les tensions internes entre Deschamps et Anigo, la crise couve sur la canebière, si elle n’a pas déjà commencé ! Après la désillusion Arsenal, Didier Deschamps avait placé Alou Diarra et Lucho Gonzalez sur le banc, préférant jouer avec Amalfitano au côté de Cheyrou et Jordan Ayew sur l’aile droite. L’ancien lorientais a été moyen à un poste inhabituel pour lui. Jordan Ayew quant à lui, a offert le premier but à son frère et a réalisé une partie tranquille. Tranquille parce qu’en face, les visiteurs n’ont pas montré grand-chose. Mandanda a été serein dans ses interventions, Azpilicueta et Morel ont été fébriles sur les cotés, André Ayew déterminant comme souvent et Loic Rémy imprécis et malchanceux (sa volée claquée par Ochoa à la 6e méritait mieux). Cependant les marseillais n’ont pas encore convaincu face à des corses franchement limités qui se reposent uniquement sur les arrêts d’Ochoa (il a privé Ayew d’un triplé avec un penalty arrêté à la 20e). Seul Cavalli et sa frappe sur la barre (12e) ont mis l’OM en danger. On peut parler de la crise à Marseille, mais au sujet des ajacciens ils sont bels et biens au fond du trou squattant une 20e place avec seulement une victoire en 11 matchs. Difficile début de saison sur l’ile de beauté, mais il est encore temps de réagir pour les hommes d’Olivier Pantaloni. Le 14e, Nice, n’est qu’à 3 points. On a aimé : André Ayew décisif et Ochoa qui prouve encore qu’il est un très bon gardien On a moins aimé : la fébrilité des promus, le jeu poussif des marseillais et l’ambiance cimetière du vélodrome Caen-Montpellier 1-3 Contrairement à son voisin phocéen, ça marche fort à Montpellier, à égalité avec le PSG avant le match du club de la capitale contre Dijon. Les héraultais ont fait la différence en 20 minutes, le temps de marquer 2 buts (Yanga Mbiwa à la 14e et Utaka à la 20e). Les normands ont alors tout tenté et même espéré revenir après l’expulsion de Marveaux pour un second jaune à la 64e. Au final, Montpellier à 10 contre 11 joua à fond les contres et tripla la mise avec un centre de Bocaly pour Belhanda à la 80e. Nivet réduit le score sur pénalty à la 82e. Plus rien à signaler sauf l’expulsion de Frau à la 87e pour un second jaune. Caen stagne en milieu de tableau et Montpellier recollait au PSG. (3 points désormais les séparent après tous les matchs de cette 11ème journée)...
Petit guide des championnats de foot, pour nous les femmes
3 Like(s) Mesdames, Une année (sur le calendrier scolaire) peut parfois paraître longue, très longue. Encore plus longue même, lorsque Jules vous donne l’impression de vous abandonner tout le temps au profit de son écran 16/9e, de son pack de bières et de ses potes, les soirs de match de foot. Foot, foot, foot… et oui parfois ce mot vous semble omniprésent, et décliné à toutes les sauces… Alors pour savoir si votre mec ne vous baratine pas lorsqu’il vous annonce pour la 60ème fois que « Ce soir je regarde le foot avec mes potes, parce que là le match est vraiment important », je vous propose un petit récap’ des différents championnats « immanquables » (il parait) en 2011/2012. Foot à la sauce Euro 2012 (juin 2012) Peut-être en avez-vous entendu parler tout dernièrement, la France est qualifiée pour l’Euro 2012 (Youpi !). Il s’agit d’un championnat Européen, rassemblant les meilleures nations européennes masculines (de toute façon, dites-vous bien que dans l’inconscient collectif masculin on ne peut regarder un championnat de foot à la télé que lorsqu’il est masculin !). Ce championnat, composé de 32 matchs, se déroulera du 08.06 au 01.07. 2012, en Pologne et Ukraine. L’Euro a lieu tous les 4 ans, et profitez bien de ce dernier championnat à 16 équipes, car en 2016 il y aura plus de matchs à regarder puisque ce seront 24 pays qui s’affronteront ! Foot à la sauce Championnat de Ligue 1 (d’aout 2011 à Mai 2012) Les équipes de foot d’un pays sont classées par niveau : amateur, national, Ligue 2 et en tête de liste les équipes de ligue 1 (anciennement D1). Le championnat de ligue 1, c’est donc les meilleures équipes françaises qui s’affrontent pour obtenir le meilleur classement. En 2011/2012, 20 équipes vont s’affronter, à chaque fois à 2 reprises (match aller et match retour, ca vous dit quelque chose ?), ce qui nous fera donc… un bon paquet de matchs au total. Ce championnat a démarré le 06 aout dernier et s’achèvera le 20 Mai prochain. Les équipes ont fort à gagner : en effet, les 3 dernières équipes de ce championnat redescendront en D2, tandis que les 3 premières équipes se verront ouvrir les portes de la Ligue des champions (les 2 premières sont qualifiées directement alors que la 3eme doit passer par un tour préliminaire). Des championnats similaires ont également lieu en Angleterre, en Italie et en Espagne (Liga), ce qui ne fait que démultiplier les matchs rendus visibles a la télé… sachant que la Liga et le championnat anglais sont considérés comme les meilleurs du monde, comptant les meilleures clubs et meilleurs...
Ben le Sport : L’analyse de France vs Bosnie (1-1)
0 Like(s) Mardi 11 octobre 2011 – On aimerait retenir que le résultat, à savoir la qualification pour l’Euro 2012 suite au match nul obtenu par l’équipe de France face à la Bosnie (1-1). Mais que ce fut pénible et laborieux pour les Bleus que se sont faits royalement dominer pendant 1 heure de jeu. 60 minutes catastrophiques La Bosnie a affiché un visage qui a du en surprendre plus d’un, Laurent Blanc le premier. C’est clair, on était loin de l’équipe de l’aller (0-3) qui n’avait rien pu faire face au collectif huilé des Bleus dans leur match jusqu’à présent référence. Cette fois-ci, à Paris, les hommes de Susic ont respecté les consignes de leur entraineur, à savoir jouer au ballon et tenter les coups à fond. On peut pas dire que l’opposition les a considérablement gênés dans leur entreprise car l’équipe de France à l’image de son quatuor défensif a été archi nulle au cours des 60 premières minutes. C’est simple, il n’y avait qu’un seul joueur à réellement surveiller et à ceinturer côté Bosnien : l’ami Dzeko. Et nos deux centraux se sont littéralement vautrés dessus, particulièrement Rami. Le géant Bosnien s’est promené dans une défense de fantômes décidément trop gentils (trop inexpérimentés ?) pour l’inquiéter en gagnant quasiment tous ses duels et en se permettant le luxe d’attirer tous les ballons dos au but et de pouvoir se retourner sans problème. Et on peut remercier sa maladresse sans quoi Lloris en aurait pris plus d’un dans sa musette. Par contre, sur son tir, il n’y a rien à redire … après quelques déchets, un tir extraordinaire … la marque des grands. diront certains. Des mauvais choix de Blanc ? Non décidément les Bleus jouent sur courant alternatif après un bon match contre l’Albanie, et on est en droit de s’inquiéter de la réelle valeur de cette équipe quand le niveau s’élève, car le match de ce soir a révélé nos difficultés aussi bien en défense qu’au milieu, où là aussi on a bu la tasse. Le duo M’Vila-Cabaye n’a jamais tenu la route face à Pjanic-Misimovic. Et j’en viens à me poser des questions sur les choix de Laurent Blanc. Fallait-il faire jouer des gars comme Evra, Abidal, Cabaye qui revenaient de blessure ? Également, je m’en viens à me demander s’il ne valait pas mieux de prolonger l’expérience bleue de Debuchy et de Gomis, auteurs de matchs intéressants contre la Bosnie parce que l’on s’est vite rendu compte que le 4-5-1 n’allait rien apporter avec un Remy seul en pointe. Avec Menez, tout s’accélère. Avec Saphic, aussi Et c’est justement quand Remy s’est...
Ben le Sport : Les notes de France vs Bosnie (1-1)
0 Like(s) LLORIS (5) : Il a vu un nombre incalculable de tirs passés autour de sa cage mais aussi des tirs mous du genou. Il n’a jamais été réellement mis en difficulté, le tir de Dzeko est imparable. Il aurait néanmoins pu imposer plus de discipline dans sa défense, il en est le capitaine. REVEILLERE (4) : Il nous avait laissé sur une bonne impression contre l’Albanie avec son déboulé. Là, il n’y a eu ni bonne impression, ni déboulé. A l’image de ses co-équipiers en défense, il s’est montré plus que fébrile, laissant son vis à vis jouer sans faire preuve d’agressivité ni de solidité. RAMI (2) : à la rue, complétement. Il s’est tout de suite illustré en s’emballant avec cette tentative de montée vite contrée. L’ancien Lillois n’a jamais pesé contre Dzeko son adversaire direct qui a toujours pris le dessus. Il a été moins mis à contribution en 2ème période qui s’explique par la baisse de régime des bosniens mais il restait tout de même en perpétuelle difficulté. ABIDAL (3) : on l’a moins vu que son compère central qui lui était en souffrance face au géant Bosnien. Presque transparent, le barcelonnais aurait du, quand il le pouvait, lui venir en aide., chose qu’il a enfin mis en pratique sur quelques actions en 2ème période. Mais, faute de vis à vis, il a traversé la rencontre tel un fantôme, un comble pour un défenseur. EVRA (4) : il y a deux versions du mancunien : le défensif et l’offensif. La plupart des attaques étaient menées sur son coté. Son entente avec Malouda a assez bien fonctionné même si elle n’a pas été fructueuse. Mais il aurait du se contenter en 1ère mi-temps, à l’image de Reveillère, de se limiter à contenir Pjanic et Mujdza tellement ils se sont baladés dans son couloir. Par contre, quand il fallait vraiment attaquer (2ème mi-temps), il a commencé à disparaitre de la circulation. Mauvaise pioche ! M’VILA (3) : la déception. Yann nous avait habitué à beaucoup mieux depuis ses débuts en bleu. Cette fois-ci, il a montré tout l’opposé de ce qui nous plait chez lui : mauvaises passes, manque d’agressivité, manque de rapidité et de percée. Avec son partenaire du milieu, il s’est fait promener par Pjanic et Misimovic. A l’image de son équipe, il a toujours eu du mal à se situer. CABAYE (3) : la même chose que M’Vila. Ses erreurs techniques ont mis parfois les Bosniens en bonne position de contre ou d’attaque. Totalement dépassé dans l’entre-jeu, à l’image de son carton jaune pris pour une faute d’anti-jeu, il n’a jamais su...
Choix de la rédaction : les 5 meilleurs entraineurs de la planète football
4 Like(s) Nouveau sujet pour les Top5 de la rédaction de Vive le Sport, avec les 5 meilleurs entraineurs/sélectionneurs de la planète football. Il apparaissait évident qu’on ne pouvait pas distinguer les entraineurs d’une part et les sélectionneurs d’autre part. Surtout que les seconds ont souvent investi la première catégorie. Toujours est-il que voici notre top5 actuel : 1 – Jopep Guardiola : le grand frère Son palmarès en tant qu’entraineur parle de lui-même : il a gagné tous les trophée qu’un club puisse rêver en une seule année (2009) sachant que depuis qu’il est entraineur du Barca, il rajoute en moyenne 4 lignes de plus au palmarès du club. Lui manque l’Europa League mais pour celà il faudrait que le Barca rabaisse ses ambitions (sic). Alors certes il a parmi ses rangs les meilleurs joueurs du monde, mais il a une grande responsabilité dans leur succès et dans leur optimisation totale. Sa personnalité exemplaire et chaleureuse le fait passer pour le grand frère de l’équipe : son passé récent de joueur explique sans doute cela. Il a vite compris qu’un groupe de footballeurs doit avant tout être un collectif familial et soudé. Il l’a prouvé en se séparant d’Ibrahimovic, Ronaldinho et Eto’o, des « egos » trop gros pour la maison catalane. 2 – José Mourinho : le meneur d’hommes Tout le contraire de Guardiola, mais presque tout aussi efficace. Tout a été dit sur le Mou, mais on peut pas nier qu’il a révolutionné son métier d’entraineur. C’est simple, partout où il est allé (Porto-Chelsea-Inter) il a remporté des trophées prestigieux. Il détient cette force mentale et séductrice pour convaincre ses joueurs et ainsi obtenir le meilleur d’eux. Aussi, il n’a pas d’égal pour protéger son groupe de la presse et des médias, préférant retenir (parfois à l’excès) toute l’attention sur lui Le football pratiqué n’est certes pas génial mais terriblement efficace. La concurrence accrue avec le Barca a pour le moment joué en sa défaveur puisqu’une seule coupe du Roi a été gagné sous son ère, mais sûr que cette année il saura encore mieux mobiliser ses troupes pour aller au bout. 3 – Sir Alex Ferguson : l’éternel joyeux Il est le meilleur entraineur de ces 20 dernières années, voire plus. Il est la figure éternelle de Manchester United où il est au club depuis 25 ans. Lui aussi a tout gagné avec son club qu’il a su remettre sur le devant de la scène et faire de lui la machine à gagner que l’on connait même si le Barca et le Real semblent inaccessibles. La liste des joueurs passés...
Football : les buteurs les plus rapides de l’histoire
1 Like(s) 0,1,2,3 … BUT !! 3 secondes pour marquer un but, est-ce possible ? Le temps de donner le coup d’envoi, de préparer son tir et que le ballon atterrisse dans la cage, … combien de secondes pensez-vous que cela prenne ? Mikhail Osinov, joueur de seconde division russe, répond à cette question en un temps record. A vous de juger avec cette sélection des buts les plus rapides de l’histoire du football Mikhail Osinov (FC Mitos Novocherkassk – Olympia Gelendzhik) : 3,10 secondes http://www.youtube.com/watch?v=bynHOQ2z4Ic&feature=player_embedded Nawaf Al Abed (Al Hilal – Al Shoalah) : 3,10 secondes http://www.youtube.com/watch?v=s4cxqLgOtrA Carlos Almeida (FC Oliveira do Hospital – Arganil) : 3,6 secondes http://www.youtube.com/watch?v=TsDkaHU9GYk&feature=player_embedded Michele Virgilio (Narnese – Casa del Diavolo) : 3,7...
Ben le Sport : l’analyse de France vs Albanie (3-0)
0 Like(s) Vendredi 7 octobre 2011 – La France a remporté le premier des deux derniers matches de qualification pour l’Euro 2012 avec une victoire maitrisée de bout en bout face à l’Albanie (3-0). L’opposition adverse a été bien moins forte que lors du match aller à Tirana, où les Bleus avaient reculé en seconde mi-temps laissant les Albanais réduire le score (1-2). Cependant, les hommes de Blanc ont livré un des matches les plus plaisants depuis bien longtemps. Les remplaçants ont répondu présents Après la série de blessures qui a touché l’équipe de France depuis deux semaines, on pouvait avoir des craintes face à cette formation albanaise avant d’affronter lors de la finale du groupe, l’adversaire le plus redoutable, la Bosnie. Mais comme je l’ai toujours dit, la France possède en plus des habituels de Blanc, un vivier de bons voire très bons joueurs. Je ne vais pas tourner autour du pot : il va falloir compter vraisemblablement sur des gars comme Martin, Remy, Cabaye, et Debuchy dans les futures compositions de Blanc, en lieu et place de joueurs vedettes comme Sagna, Evra, Diarra, Malouda, qui désespérément ne proposent plus rien dans cette équipe depuis des lustres. Alors certes, tous n’ont pas joué (Diarra, Sagna) mais je profite des très bonnes rentrées de Debuchy et de Gomis pour affirmer que l’EdF doit être ouverte aux joueurs d’envie et de talent, condition sine qua non pour qu’elle puisse proposer le meilleur jeu possible. Je salue donc la performance du lillois Debuchy, très disponible en phase offensive et très volontaire, en espérant que Blanc le choisisse comme titulaire mardi prochain pour ainsi le voir évoluer dans un contexte bien plus important et difficile. La France a développé un jeu attrayant fait d’enchainement de passes courtes et longues, de dédoublements, et de percussions. A cela, la performance de Remy ce soir doit être salué avec les problèmes incessants que le marseillais a causé dans la défense adverse par ses appels, ses provocations et ses dribbles. Dans ma tête, le 4-4-2 paraît être une option plus que crédible à l’avenir avec le duo Benzema-Remy, surtout si Samir Nasri propose un niveau de jeu aussi bon qu’hier soir. Le joueur de Manchester City a plus que répondu présent dans ce match après les nombreuses attaques et critiques à son égard dans les médias. Des footix en tribunes ? Je profite de ce post pour émettre néanmoins une critique sur le public du Stade de France, critique que certains blogueurs verront sans doute comme de l’aigreur voire de la provoc. Mais, je ne peux tolérer une telle mascarade de bonheur et...
Ben le Sport : Les notes de France vs Albanie (3-0)
0 Like(s) LLORIS (6) : à l’image de sa défense, il a été rarement mis en danger hormis le corner de Duro en 1ere mi-temps. Sobre et efficace dans ses interventions, il a encore joué un match sans encaisser de but. Il aura sans doute plus de travail mardi prochain contre la Bosnie face à Dzeko et sa bande. DEBUCHY (6) : il a su profiter du manque d’offensive et de pression albanaises dans sa partie de terrain pour apporter en attaque. Le moins que l’on puisse dire c’est que le Lillois a saisi sa chance en proposant des solutions sur son côté droit, notamment en première mi-temps avec quelques bons centres et incursions. En seconde, il s’est contenté de gérer à l’image du reste de l’équipe. Il mérite largement d’être revu. RAMI (6) : Sérieux et appliqué, il a tout de même parfois fait preuve d’un surplus agressif à l’image de son carton jaune. En tout cas, son retour chez les Bleus depuis le match contre la Roumanie l’impose de plus en plus comme l’un des deux défenseurs centraux de l’équipe. Ne lui manque plus qu’un but de la tête qui ferait de lui un défenseur complet, dommage que son essai à la 25ème fut trop croisé. KABOUL (5) : Si son compère Rami s’est distingué par ses interventions, le joueur de Tottenham quant à lui s’est montré discret. Comme le reste de la défense, il n’a pas vraiment été en danger, et s’est contenté d’effectuer le minimum. Il aurait néanmoins pu en profiter en tentant des relances plus tranchantes pour dynamiser le jeu. EVRA (4) : Décidément, le mancunien n’a toujours pas compris que l’on attendait plus de lui . En 45 minutes, il n’a tout simplement rien montré offensivement alors que les taches défensives ne lui requérait que très peu d’énergie : aucun centre ni débordement. Les Bleus ne peuvent pas continuer dans cette voie en continuant à titulariser un joueur qui ne fait preuve d’aucune volonté ni d’envie. Remplacé par REVEILLERE (6) qui a montré en une mi-temps plus qu’Evra a pu faire en plusieurs matches, avec notamment cette percussion et cette prise de risque qui lui a valu un but à la Pastore. Le Lyonnais a compris comme Debuchy, que ce genre de match représente pour les latéraux l’occasion (pour pas dire l’obligation) de montrer leurs qualités offensives. M’VILA (6) : Le Rennais a encore une fois fait preuve d’intelligence de jeu et de maitrise mentale et technique. Il n’y a plus à discuter, il est indispensable à l’EdF, et pourrait rapidement devenir capitaine de cette équipe tant il en impose par sa...
Choix de la rédaction : les 5 meilleurs gardiens de la planète football
15 Like(s) Suite et fin de notre série consacrée aux meilleurs joueurs du monde. Aujourd’hui, c’est autour des gardiens de se plier au jeu avec un top 5 qui mixe expérience et jeunesse, avec encore une fois une domination aux couleurs espagnoles. Iker Casillas : le Saint Il a tout gagné en club et en sélection en tant que titulaire du Réal et de la Roja. Il fait dès lors partie des meilleurs gardiens de tous les temps au même titre que Zoff, Taffarel, Buffon, Kahn mais aussi Maier et Barthez qui sont les seuls à avoir fait aussi bien que lui niveau palmarès. La longévité du gardien ibère fait de lui l’âme du Real de Madrid et de l’équipe nationale où il a débuté à l’âge de 18 ans. Il est le capitaine des deux équipes, dont la réussite repose pour beaucoup sur les arrêts déterminants et décisifs du portier. Victor Valdes : l’anti-star Il joue dans la meilleur club du monde (Barca) depuis 2003 (à 21 ans) et on ne parle quasiment jamais de lui. Pourtant, il est le dernier rempart d’une équipe ultra-offensive qui n’a encaissé qu’une moyenne de 32 buts sur 8 ans. Son palmarès est éloquent à l’instar de Casillas (notamment le sextuplé de 2009 avec le Barca et le doublé Euro-CdM) avec la Roja). Cependant il reste le suppléent du madrilène en équipe d’Espagne ce qui ne lui donne malheureusement pas beaucoup l’occasion de se montrer. Mais sur que l’Espagne compte parmi ses rangs les deux meilleurs gardiens du monde. Manuel Neuer : l’irrésistible A 25ans, le gardien allemand représente la valeur montante des portiers. Pour preuve son début de championnat 2011-2012 avec le Bayern où il reste sur une période d’invincibilité de 1018 minutes (11 matches), série en cours. Il bat ainsi Oliver Kahn après seulement 3 mois passés au club. Révélé lors de la coupe du monde 2010 avec l’Allemagne et surtout lors de la saison dernière à Shalke04 où il a dégouté les attaquants de l’Inter et les Valenciens en Ligue des Champions, Alex Ferguson lui faisait les yeux doux avant qu’il ne rejoigne le club bavarois. Hugo Lloris : le sauveur timide Son palmarès n’a pas joué en sa faveur, puisqu’il demeure vierge (à part un Euro des -19). On peut pas dire qu’il ait été aidé par ses défenses aussi bien à l’OL que chez les Bleus. Pour autant, son influence et sont talent on permis à ces équipes de bien limiter la casse en temps de crise (on évoquera pas la CdM2010) comme sa performance exceptionnelle face à...
Ben le Sport : Pastore, le messie de Paris
0 Like(s) Il fallait bien qu’un jour ou l’autre, je m’intéresse plus longuement au joueur qui monopolise toute l’attention des médias actuels. Alors, loin de moi l’idée de comparer l’argentin du PSG, Javier Pastore avec celui de Barcelone, le génial Léo Messi. Mais, il est si rare qu’un joueur de Ligue 1 jouisse de compliments aussi flatteurs et cela aussi bien en France qu’à l’étranger (les Italiens s’en mordent les doigts de l’avoir laissé filer alors que les Espagnols voient déjà en lui le futur crack du football mondial). La merveille de Léonardo « El Flaco » (le maigre) tel qu’il est surnommé, a impressionné le monde du football français. Arrivé à Paris pour la modique somme de 44M€, la majorité des français se réjouissaient déjà d’une potentielle erreur de casting faite par Léonardo et sa bande du Qatar en recrutant l’ancien joueur de Palerme. Je vous avouerai que j’ai eu des craintes vis à vis de la politique de recrutement du PSG, en y voyant une mauvaise stratégie à la Manchester City : acheter un joueur si cher alors que le reste de l’équipe ne suive pas niveau talent. Je m’explique : Man City avait par le passé dépensé des millions pour Robinho (35M€), puis Tevez (25M€) sans les entourer de joueurs de calibre. Je m’étais posé la question suivante : pourquoi recruter un joueur « prometteur » à 44M€ alors qu’on pouvait prendre 3 autres (très) bons à 15M€. Mettre une telle somme sur un joueur si jeune (22 ans) et qui a beaucoup à confirmer (pour pas dire prouver), alors que le 2ème plus gros transfert coté parisien n' »émerge » qu’à 11M€ (Gameiro), pouvait préfigurer d’un potentiel échec que les fans de football n’auraient pas tardé à railler. La mayonnaise prend plus que prévu Mais c’était sans compter sur l’alchimie indéniable entre les joueurs créatifs et offensifs du PSG (Gameiro, Menez, Néné et Pastore) qui ont su mettre leur talent, et non leur ego, au service de l’équipe et ainsi créer une dynamique offensive assez impressionnante : Pastore : 5 buts, 2 passes en 7 matches Gameiro : 5 buts en 9 matches Néné : 2 buts, 2 passes en 8 matches Menez : 1 but, 3 passes en 9 matches Après Hazard, voici Pastore en digne héritier de Zidane Et il faut dire que l’Argentin a sa grande part de responsabilité dans le succès actuel du PSG. En plus de ses statistiques impressionnantes qui pourraient virtuellement le couronner comme le meilleur buteur (meilleur moyenne de but : 0,71) et l’un des meilleurs passeurs du championnat, c’est surtout sa qualité et son intelligence de jeu qui font de lui le...