Pourquoi faut-il croire à un come-back de Red Bull ?

F1
 
4 Like(s)

Pour les vrais fans de F1 la réponse est la suivante : « Impossible, Red Bull n’est pas bon, Mercedes a la voiture qu’il faut ». Cependant dans l’histoire de la F1 Red Bull est revenu 2 fois dans la course au titre, pour coiffer Ferrari sur le fil alors pourquoi ne pas le rééditer une troisième fois ? Rétrospection de cette première saison.

L’histoire de la saison 2010

En 2010, Ferrari accueille la superstar de l’époque du paddock Fernando Alonso. Le taureau des asturies est le seul pilote en 2010 à avoir conquis 2 championnats du monde des pilotes. D’un autre côté, l’écurie montante Red Bull Renault vice-championne du monde 2009 derrière Brawn GP.

Dans ce duo de pilotes figure le vieux briscard Mark Webber, l’autre pilote étant le jeune prodige Sebastian Vettel auréolé du titre de vice-champion du monde. Le premier quart de la saison voit Vettel et Alonso au même point, l’Allemand est victime de problème mécanique sur sa voiture, ce qui lui coûte la victoire en Australie au profit de Jenson Button, d’un autre côté Fernando Alonso est très confiant, mais l’excès de confiance peut tuer la performance.

Le GP de Malaisie est le début du duel entre les 2 pilotes, l’Espagnol déclara que c’est la course la plus dure de sa carrière, tandis que les Red Bull font le Grand Prix parfait, malgré un début de saison où la fiabilité fût un domaine compliqué à apprivoiser.

Cependant au cours de la saison, l’écurie Red Bull reste très irrégulière, malgré des victoires probantes comme à Monaco avec un doublé, la voiture est très compliquée à manier.

Est-de que l’écurie localisé à Milton Keynes est en rodage ou est-ce que c’est dû au talent des 2 pilotes de l’écurie ? La suite de la saison verra Mark Webber devancer son jeune coéquipier Allemand à des courses comme le GP de Grande Bretagne, d’Allemagne et de Belgique.

Du côté de Ferrari Felipe Massa laisse passer son coéquipier Espagnol pour s’imposer sous un parfum de consignes d’équipe, bizarre si chez Mercedes les consignes d’équipes ne sont pas à l’ordre du jour que se passerait-il pour l’éventuelle victime de ces changements d’équipe ?

Par la suite cela a profité aux poursuivants Autrichiens qui ont pu refaire leur retard. 31 points d’écart après le GP de Belgique… certes ce n’est rien comparé aux 55 points de retard qu’a l’Allemand sur Lewis Hamilton. En plein milieu de saison 31 points peuvent être comblés et pareil pour 55 points si nous sommes qu’au début de saison. Donc Sebastian Vettel est capable de rebondir

Lors de la dernière épreuve 2010 à Abu Dhabi 4 voitures peuvent devenir champion du monde. Très peu de monde dans le paddock voyait l’ancien pilote de Toro-Roso raflait le championnat du monde des pilotes.

Au final tout le monde connaît l’histoire, Mark Webber englué dans le classement par Massa qui avait pour rôle de bloquer l’Australien…

Alonso victime d’une mauvaise stratégie des stands ne pût dépasser Vitaly Petrov sur Renault. D’un autre côté Sebastian Vettel devait gagner et laisser venir, mais la saison 2010 venait de sacrer le petit prince du monde de la F1, qui est aujourd’hui un roi…

Cependant il n’y avait pas un nouveau règlement à cette époque…

2ème partie sur la saison 2012 et sa rétrospection avec pour titre « au bout du bout ».

Auteur: Alex

Partager cet article sur :