J-365 avant l’UEFA EURO 2016 en France !
Juin10

J-365 avant l’UEFA EURO 2016 en France !

  1 Like(s) Avis aux amateurs de foot Le coup d’envoi de la billetterie pour l’UEFA Euro 2016 de Football a été donné ! Pendant un mois et à partir de ce Mercredi 10 Juin, 1 million de billets vont être mis en ligne sur les 2,5 millions de spectateurs attendus dans les dix stades pendant la compétition. En terme de prix pour voir un match de l’euro 2016 ? Via la plate-forme suivante : http://fr.uefa.com/uefaeuro-finals/ticketing/index.html, vous pouvez réserver vos billets pour le match d’ouverture, les matches de poule et tous les matches de la phase finale. Cependant, le nombre de place est limité à 4 par acheteur. Pour 43 des 51 matches de la compétition, le premier prix a été fixé à 25€ en catégorie 4 (phases de groupes, et 8èmes de finale). Autrement dit, une offre très attractive pour un prix d’entrée si on compare à d’autres compétitions sportives ! A partir des quarts de finale, le premier prix passera à 45€ le billet, et 65€ pour les demi-finales. Pour la finale, il faudra compter au minimum 85€ en catégorie 4. Pour la catégorie supérieure, le montant est presque multiplié par quatre (295€), 595€ pour le niveau suivant, et enfin 895€ pour les billets les plus prisés ! Seul le match d’ouverture fait figure d’exception : il faudra dépenser au minimum 75€ pour voir les Bleus ouvrir la compétition le 10 Juin 2016 au Stade de France. Comment réserver vos places pour voir les matchs de l’euro football 2016? Le processus de réservation est simple, deux options s’offrent à vous : acheter un billet à l’unité, ou opter pour un pack de plusieurs matches. Le pack « destination » permettra d’assister à deux rencontres dans la même ville, et le pack « follow my team » sera pour ceux qui veulent suivre leur équipe fétiche tout au long du tournoi, même si aucun prix n’a encore été communiqué pour ces deux packs. Vous faîtes ainsi vos vœux, et le 10 Juillet 2015 un tirage au sort informatique sera effectué par l’UEFA pour l’attribution finale des tickets. Pas d’inquiétude si vos places vous déplaisent, la bourse d’échange (entre Mars et Avril 2016), permettra de revendre et d’acheter des billets de façon tout à fait légale, au même prix que la grille tarifaire d’origine. Dépêchez-vous ! Cette compétition, réunissant les plus grandes équipes nationales d’Europe, se déroulera en France du 10 Juin au 10 Juillet 2016, alors ne réfléchissez plus et foncez ! N’oubliez pas, vous avez jusqu’au 10 Juillet 2015 pour acheter vos places...

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¨PSG: Et maintenant Laudrup

  0 Like(s) Toujours à la recherche d’un coach , le PSG multiplie les pistes pour dénicher le successeur de Carlo Ancelotti. Après Bénitez parti au SSC.Napoli, Wenger resté à Arsenal, et Guus Hiddink prolongé par l’Anzhi Makhachkala, c’est maintenant le nom du danois M.Laudrup qui circule dans les couloirs du club de la capitale française. Selon l’équipe, « des contacts ont été noués avec Michael Laudrup, l’entraîneur de Swansea. Sous contrat jusqu’en juin 2015 ». Rappelons que ce dernier vient de remporter la League Cup avec Swansea. Ibohn...

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Ligue 1/20e journée : on prend les mêmes…
Jan15

Ligue 1/20e journée : on prend les mêmes…

  0 Like(s) Première journée de Ligue 1 de l’année 2012 après une trêve pauvre en transferts et un tour de coupe de France riche en surprise. Allons-nous voir de grands bouleversements en cette nouvelle année ? A première vue cela semble mal parti, Paris domine logiquement Toulouse, et Montpellier prouve que la trêve lui a fait du bien après une fin d’année 2011 difficile. Décryptage de cette 20e journée. L’effet Ancellotti ? Grande première au parc des princes pour Carlo Ancellotti. On s’attendait à des changements tactiques et à une équipe parisienne plus conquérante, contrairement à ce qu’elle a montré face à Locminé, et on a été servi. Le 4-3-2-1 de l’italien mettait Menez en position d’avant-centre à la place de Gameiro. Nêne et Pastore fournissaient les ailes, tandis que Bodmer, Jallet et Sissoko tenaient la position de milieux centraux. Enfin Maxwell était aligné d’entrée en latéral gauche et Bisevac à droite (surement le choix le plus surprenant de l’ancien coach de Chelsea). Dans le match Toulouse a commencé à bien tenir, mais a cédé face à une équipe de la capitale bien regroupée et surtout très disciplinée tactiquement. Nêne a été très bon, et Pastore, malgré un match très moyen, retrouve le chemin des filets. En face Toulouse s’est montré une fois de plus fébrile hors du Stadium, Bulut a été transparent. Seul leur gardien Ahamada a su entretenir l’espoir. Au final pas de surprise, mais on attend de voir une réelle opposition pour pouvoir juger de l’effet Ancellotti sur le PSG. Le système D(éfense) lyonnais L’autre choc de ce samedi soir opposait à la Mosson Montpellier à Lyon. On avait quitté les héraultais fatigués fin 2011, on les retrouve clairement revigorés en ce début d’année. Après une victoire facile face à Prix les Mezières (DH), les hommes de Louis Nicollin ont remis ça hier face à une équipe lyonnaise bricolée à la dernière minute selon les diverses absences. Rémi Garde alignait une défense assez improbable, avec Gonalons et Umtiti, déjà en manque de sérénité face à la Duchère, Kolodzieczak à gauche et Fofana, qui est un milieu de terrain de formation, en latéral droit. Gourcuff, même pas sur la feuille de match, remplacé par Grenier (plutôt bon hier), aurait pu apporter un petit plus à cette équipe lyonnaise qui ne doit pas lâcher le duo PSG-MHSC. Raté. Hier soir Giroud a libéré la Mosson d’une très belle frappe croisée entre les jambes de Lloris. René Girard pouvait afficher la mine des bons jours en conférence de presse, son équipe devrait répondre présent en 2012. Les autres matchs – Caen est au bord de la crise. Selon...

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L’affiche de la 18e journée de L1 : Paris-Lille, le pétard mouillé
Déc19

L’affiche de la 18e journée de L1 : Paris-Lille, le pétard mouillé

  0 Like(s) L’affiche avait tout du grand match, de l’opposition de force tant espérée. Il faut dire qu’on l’a longtemps attendu, ce PSG-LOSC. Déjà l’année passée, l’affiche avait été au cœur du déroulement de la saison qui a vu le Lille OSC monter sur le toit de la Ligue 1. On s’en rappelle, les deux équipes se sont rencontrées 3 fois en 2010-2011 : la première pour un échauffement au mois d’Aout en championnat (un triste 0-0 au stadium Nord). La seconde avait déjà beaucoup plus d’importance : la finale de la coupe de France au stade de France et le fameux but d’Obraniak qui a permis aux nordistes de remporter leur 6e coupe de France (la première depuis 1953). A peine une semaine plus tard, Lille se déplaçait au Parc des Princes pour venir y chercher le point suffisant pour devenir champion de France (2-2 après un superbe match) et fêter leur titre pendant ½ heure devant le parcage lillois criant dans un stade vide. Le Paris SG devait donc montrer qu’il était devenu entre-temps (l’argent qatari aidant) le favori logique du championnat de France. Pas facile quand on sait les difficultés parisiennes et la bonne forme lilloise. Sous un temps froid et pluvieux, les supporters lillois ont au moins répondu au rendez-vous. Près d’un millier de supporters nordistes s’entassent dans le parcage une heure trente avant le début du match. L’ambiance s’annonce déjà chaude. Les entraineurs ne nous auront pas déçus quant à la composition des équipes. A part Matuidi (blessé) côté parisien, tous les meilleurs joueurs de part et d’autre sont présents au coup d’envoi. Kombouaré ne lâche pas son quatuor en or : Pastore, Nêne, Ménez et Gameiro sont de nouveau alignés. Bodmer et Sissoko forment une paire de milieux défensifs plutôt convaincante, et derrière Bisevac pousse de nouveau Lugano sur le banc et Camara fait de même avec Sakho. A Lille, pas de grande surprise. Basa et Chedjou en défense centrale, avec les latéraux habituels (Béria à gauche et Debuchy à droite). Gueye fait peu à peu son trou au milieu à 3 avec Balmont et Mavuba. Du coup Pedretti est sur le banc au coup d’envoi. En attaque, malgré ses prestations très moyennes, Sow reste le choix numéro 1 de Garcia devant Jelen, alors que Hazard et Cole restent indéboulonnables sur les ailes, même si Payet reste un candidat légitime à l’une des deux places. Place au coup d’envoi (donné par le père Noel et deux enfants, c’est de saison), et les lillois entament la rencontre. La première occasion attendra le premier quart d’heure et une frappe de Balmont que Sirigu claque en corner, le...

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Le big match de la 17e journée : Lyon retient les leçons
Déc12

Le big match de la 17e journée : Lyon retient les leçons

  0 Like(s) Le big match de cette 17e journée opposait le FC Lorient, catastrophique à l’extérieur mais imprenable sur son synthétique du Moustoir, et l’Olympique Lyonnais, fraîchement revenu de Zagreb où elle vient de réaliser surement le plus grand exploit d’un club français en ligue des champions, n’en déplaise aux sceptiques. Au vu de la forme actuel, y’a pas photo, l’OL doit cartonner les merlus. Vainqueurs de Toulouse il y a une semaine et exécuteur du Dinamo Zagreb, Lyon reste sur des matchs de haut niveau, malgré l’absence de Lisandro et de Bastos. Mais Lorient et son bilan à l’extérieur digne d’une lanterne rouge (en réalité Lorient est 15e à l’extérieur avec seulement 4 malheureux points. Nice est la pire équipe hors de ses terres avec 1 point en 8 matchs). Heureusement les hommes de Gourcuff père sont irréprochables à domicile et sont dans le top 6 du classement à domicile (Montpellier, Paris et Toulouse trustent le haut du tableau). Rémi Garde décide donc de ne pas changer une équipe qui gagne. Lisandro reste sur le banc, c’est Gomis et son quadruplé croate qui est titularisé seul en pointe, devant le trio Lacazette-Gourcuff (fils cette fois) et Briand, qui hausse enfin son niveau de jeu depuis quelques mois, après une première saison décevante. Derrière c’est du classique, Cris est juste préféré à Koné aux cotés de Lovren. A Lorient Christian Gourcuff jongle avec son effectif depuis le début de la saison sans vouloir réellement se décider. Audard reste indéboulonnable dans le but, comme le togolais Romao au milieu et Ecuele Manga en défense. La plus grosse surprise était la composition de l’attaque : deux pointes avec Monnet Paquet et le jeune Sunu, préférés à Emeghara et Campbell. A peine le coup d’envoi donné par Mr Kalt, que Monnet Paquet déborde Cris et se fait faucher par celui-ci à quelques centimètres de la surface côté gauche. Le coup franc breton inquiétera à peine Lloris, encore impeccable hier soir. La suite ? Presque rien, des lyonnais qui se contentent de jouer le contre (on sait que ces dernières saisons l’OL n’a pas pris beaucoup de points au Moustoir…) et Lorient qui tente mais qui bute sur une arrière garde gone bien en place. Seul un coup franc de Gourcuff qui trouve Lovren devant Audard, viendra réveiller les spectateurs. A la mi-temps un drôle de sentiment côté lorientais se fait sentir : Le match est en train de tourner pour eux. Car au retour des vestiaires, c’est toujours le même OL solide en défense et redoutable en contre qui rentre sur le synthétique lorientais. A la 54e, Gomis, dans son rôle de pivot qui...

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Ligue 1-l’affiche de la 16e journée: un OL à deux vitesses
Déc05

Ligue 1-l’affiche de la 16e journée: un OL à deux vitesses

  0 Like(s) Pour clore cette 16e journée de Ligue 1, Lyon-Toulouse semblait au premier abord une belle affiche. Lyon restait sur 3 matchs sans victoire à domicile (Rennes, Madrid et l’Ajax). La seule véritable surprise de Rémi Garde est la titularisation d’Ederson en soutien de Lisandro, seul en pointe. A Toulouse, à égalité avant le match avec l’OL, Alain Casanova a préféré titulariser Rivière seul en pointe et placer Tabanou comme milieu axial. Pourtant tout ne s’est pas passé comme prévu. Rivière, obligé de sortir rapidement (33e), prive les toulousains de décalage et de jeu en pivot qu’Alain Casanova voulait développer pour contrer et conserver le ballon lors des offensives violettes. Toulouse pose beaucoup de problèmes à l’OL en première période, mais l’OL ne rompt pas et répond par un Lisandro toujours dangereux, Cissokho qui retrouve petit à petit son niveau de Porto, et Bastos qui reste l’un des meilleurs joueurs du championnat. Toulouse se fait surprendre sur une tête de Koné à la demi-heure de jeu. L’OL mène, ce n’est pas immérité mais les lyonnais sont chanceux, comme face à Auxerre dimanche dernier. Au retour des vestiaires, le match change du tout au tout. Les rhodanien dominent et produisent un jeu léché, digne du grand OL et de ses 7 titres de champion. Le résultat de cette domination ne se fait pas attendre. Ederson marque d’une splendide frappe, et Lisandro transforme un pénalty pour permettre aux lyonnais de mener largement au tableau d’affichage : 3-0 On se dirige alors vers une victoire tranquille, jusqu’au but stratosphérique de Umut Bulut, remplaçant jusque-là transparent d’Emmanuel Rivière. Le Turc catapulte un boulet de canon de 35m sous la barre d’un Lloris surpris. Quelques minutes plus tard c’est Sissokho (le toulousain) qui provoque un pénalty et qui se fait justice lui-même. Gerland vient de prendre un seau d’eau glacée en pleine tête et la fin de match s’annonce tendue. Heureusement pour l’OL, Rémi Garde est un bon tacticien et les joueurs comme Réveillère ou Kallstrom tiennent la baraque. L’OL repart avec les 3 points, et retiendra uniquement la victoire. Encore trop fébriles dans certains compartiments, les hommes du président Aulas ont maintenant la tête à Zagreb où il existe encore un mince espoir de qualification. Toulouse recule au classement mais a montré de belles choses ce soir. Les joueurs de la ville rose sont cependant encore trop fébriles à l’extérieur, et pouvaient espérer mieux de ce déplacement. On retiendra au final qu’il y a eu du spectacle, des buts, du suspense, et, fait beaucoup plus rare (avis personnel) : un arbitrage correct de Mr Enjimi. Encore une belle soirée de Ligue 1...

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Ligue 1-16e journée: Qui arrêtera Montpellier ?
Déc05

Ligue 1-16e journée: Qui arrêtera Montpellier ?

  0 Like(s) Certes les clubs français n’ont pas brillé en coupes Europe cette semaine, mais la Ligue 1 reste un feuilleton à suspense, qu’on vous fait vivre à chaque journée sur Vive le Sport. Décryptage pour vous de la 16e journée. Vendredi : Marseille remonte Exceptionnellement avancé à vendredi pour cause de ligue des champions (Marseille jouera mardi sa qualification au Signa Iluna Park de Dortmund), le match au stade d’Ornano a été l’occasion pour les marseillais de continuer leur belle série. Difficile d’imaginer que Marseille surfe sur deux victoires consécutives et occupe sa meilleure place depuis le début de saison. Apparemment le retour de Gignac dans le groupe a calmé les tensions, et Didier Deschamps peut enfin compter sur une défense solide et des attaquants enfin opportunistes. En terre normande, l’OM a eu affaire à une bonne équipe de Malherbe, rapidement menée mais qui a vite égaliser sur un pénalty de Frau (23e). Mais heureusement pour l’OM les frères Ayew, bien aidés par un Amalfitano intenable, ont finis par faire plier les joueurs de Franck Dumas. Caen n’a pas démérité mais Marseille était tout simplement meilleur.   Samedi : Montpellier sur sa lancée, Lille à l’arrachée, Nice revit. Décidement, Louis Nicolin a de quoi être satisfait depuis le début de saison. Montpellier est leader, gagne à l’extérieur et La Mosson semble imprenable ces derniers temps. Samedi soir la victime s’appelait le FC Lorient. La réputation du sorcier Gourcuff n’a même pas fait trembler les héraultais, qui ont écrasés leurs adversaires/sparring partners de la soirée. Giroud a encore frappé, et l’axe offensif est constamment dangereux pour la défense adverse. Les bretons ont étés littéralement étouffés (Emeghara, Sunu et Monnet Paquet n’ont pas existés). L’avenir est au beau fixe sur Montpellier. Lille jouait en même temps à Ajaccio et se devait de gagner chez la lanterne rouge pour rester au contact et préparer leur « finale » face à Trabzonspor mercredi. On s’attendait à une victoire facile des nordistes, mais Ajaccio a bien failli piéger les champions de France en titre. Le match est parti sur les chapeaux de roue avec 3 buts en 15 minutes (1-2 pour le LOSC). Les corses ont enfin montré un niveau de jeu digne de la L1 et surtout une envie satisfaisante, et ne doivent leur défaite qu’à un pénalty d’Hazard à 10 minutes de la fin. Cruel mais une nouvelle fois logique pour les corses qui restent scotchés au fond du classement. Nice jouait déjà son avenir en recevant Rennes devant les caméras d’Orange Sport. Et René Marsiglia a de quoi retrouver le sourire. Son équipe a été plus que convaincante face à des rennais déjà palots...

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Ligue 1-15e journée: un clasico à sens unique
Nov28

Ligue 1-15e journée: un clasico à sens unique

  0 Like(s) On l’attendait avec impatience, ce clasico aux allures moins explosives que par le passé (dans un stade vélodrome en travaux et avec deux équipes pas très en forme ces derniers temps), et on en a eu pour notre argent hier soir (que l’on soit abonné à canal + ou spectateurs assis en tribune) mais seulement du côté marseillais. Avec les différentes tensions dans les deux camps, le match s’annonçait plus équilibré que sur le papier, où Paris avait encore une chance de rester premier au coup d’envoi, et l’OM au bord du précipice en cas de défaite. Antoine Kombouaré, pour l’occasion, avait décidé de titulariser Lugano et d’envoyer à nouveau sa dream team en attaque (Nêne, Menez, Pastore, Gameiro, et Sissokho en soutien). Certains observateurs se disaient alors que le vent allait tourner, et que Paris allait venir imposer son autorité sur une canebière bien morne depuis le début de saison. Il n’en fut rien, malgré les nombreuses tensions hors du terrain, les hommes de Didier Deschamps ont rapidement ouvert le score sur un centre parfait (!) d’Azpilicueta pour Rémy qui faisait chavirer le vélodrome de bonheur. Par la suite nous avons eu le droit à un match serré et surtout très tendu, surtout après la sortie de Rémy sur blessure à la demi-heure de jeu (cheville), on ne voyait pas trop qui pouvait surprendre Sirigu vu que Gignac a été placardé en réserve (justement) cette semaine. Au final seul Sissokho a réussi à inquiéter Mandanda avec sa frappe sur le poteau gauche du portier marseillais (35e) et l’OM s’est contenté de bétonner en défense jusqu’à la pause. Paris ne parvient pas à gêner le rival marseillais et Kombouaré tente alors un coup de poker désespéré. Le kanak renvoi Gameiro et Pastore, franchement mauvais, sur le banc et les remplace par Bodmer et Erding. Le réveil escompté n’aura pas lieu et le club de la capitale va sombrer avec deux nouveaus buts d’Amalfitano (65e) et André Ayew (83e). Au vu de la qualité de jeu des deux équipes, le score est sévère mais le PSG n’a absolument rien montré, seul Mohammed Sissokho a joué à son niveau, même Sirigu, pourtant dernier rempart décisif habituellement, était dans un jour sans. Justement espérons pour les parisiens que c’était seulement un jour sans, car à force de donner en spectacle des prestations aussi indignes des attentes qataries, Paris risque gros. On pense notamment à Antoine Kombouaré, premier visé en cas d’échec du club de la capitale en championnat, mais aussi aux joueurs, en témoigne l’altercation Sakho-Nêne qui a encore prouvé que tout ne roule pas encore comme sur des...

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Ligue 1-14e journée: Nancy crée l’exploit et s’offre le PSG
Nov20

Ligue 1-14e journée: Nancy crée l’exploit et s’offre le PSG

  0 Like(s) Avant de commencer à parler du match en lui-même, je tiens à vous faire part de mon incompréhension dans la programmation faite par Canal + de choisir PSG-Nancy comme l’affiche du dimanche soir. Paris SG-Nancy un dimanche soir.. Je m’explique : Le Paris Saint Germain est déjà relativement priorisé en matière de retransmission télé (W9 diffuse tous ses matchs, au contraire de Rennes, préférant un Slovan Bratislava-PSG à un Rennes-Celtic Glasgow). Canal nous as déjà « offert » un PSG-Brest lors de la 5e journée, ce qui, il faut bien l’avouer, est assez surprenant (alors que sur la même journée il y avait un Saint Etienne-Lille ou un Marseille-Rennes). Alors pourquoi nous proposer un Paris SG-Nancy ce dimanche soir ? Certes Paris est leader et le phénomène Pastore excite toutes les groupies et autres fan boys pro parisiens, mais il semblait y avoir plus sympa à regarder avant de repartir au boulot lundi ! Certes Lyon-Rennes et Toulouse-Lille ont étés décalés en raison de Ligue des champions, mais Montpellier-OM semblait un choix plus judicieux. Après TF1 et ses choix de retransmissions incompréhensibles en Ligue des champions, Canal nous ressert encore du PSG au dessert. Attention, le téléspectateur risque la crise de foie !   Mon autre incompréhension est la situation plus qu’instable d’Antoine Kombouaré sur le banc parisien. Sur quels arguments se base-t-on pour remettre en cause le travail du kanak ? Paris est leader, l’année dernière le PSG s’est brillamment hissé à la 4e place du championnat, atteint la finale de la coupe de France et les huitièmes de finales de l’Europa ligue, la théorie des mauvais résultats ne tient pas la route une seconde ! Mon opinion est claire, pour le moment, les qataris et Leonardo n’ont tout simplement aucune raison valable de virer Kombouaré, puisqu’il fait tout simplement son travail. Mais aussi parce qu’Ancelotti n’est pas aussi chaud qu’on veut bien le dire, lui qui a réaffirmé récemment au quotidien italien La Republicca vouloir entrainer de nouveau en Angleterre. Les qataris devraient faire attention aux effets de mode et aux arlésiennes qui deviennent trop persistants aux abords du parc des princes (l’exemple Beckham, l’affaire Taraabt…) ces derniers temps. Le PSG doit se concentrer sur l’aspect sportif et concret avant tout.   Le Match Le match de ce soir en lui-même ne m’a pas beaucoup étonné. On savait Nancy en position de dominé et Paris en position de dominant, et on a pu assister à une attaque/défense pendant quasiment tout le match. La seule certitude au coup d’envoi côté parisien était que Lugano entre de moins en moins dans les plans de Kombouaré, ce qui risque de couter cher au technicien kanak,...

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Ligue 1-14e journée : Les européens à la peine !
Nov20

Ligue 1-14e journée : Les européens à la peine !

  0 Like(s) Après une trêve internationale de presque deux semaines nous nous retrouvons pour la 14e journée du championnat de France de Ligue 1. De vendredi à dimanche, voici mes impressions sur le week-end foot dans l’élite hexagonale.   Vendredi : Les européens pas à la fête Lille et Lyon jouaient exceptionnellement vendredi en vue de leurs matchs décisifs mardi en Ligue des champions contre respectivement le CSKA Moscou et l’Ajax Amsterdam. Et ce qu’on peut retenir de ces 2 matchs c’est que leur préparation ne s’est pas vraiment déroulée comme prévu. Lyon jouait pourtant à domicile face à un Stade Rennais presque hors course de l’Europa Ligue, et enregistrait surtout les retours de Lisandro et Bastos. Pas de doute, Rennes devait faire de la figuration. Garde a préféré, à juste titre, laisser ses deux joueurs sur le banc au coup d’envoi, préférant titulariser Ederson et Lacazette. Rennes restait sur 5 matchs sans victoire mais a fait un match plus que correct en répondant du tac au tac à des lyonnais pourtant méritants. Pitroipa fut de loin le meilleur rennais. Les entrées de Bastos et Lisandro n’ont rien changé à la donne. Rennes reste la bête noire de l’OL à Gerland, les gones n’ont pas battu les bretons chez eux depuis 2005. Il faudra se montrer plus solide en défense face aux néerlandais ! A Toulouse Rudy Garcia a préféré laisser Hazard souffler. Les lillois ont été pourtant au-dessus des toulousains qui peuvent remercier Ahamada auteur d’un match énorme. Ni Cole, Sow ou Hazard rentré à l’heure de jeu, n’ont réussi à faire trembler les filets occitans. Toulouse m’a déçu et peine face au gros. Vendredi, le point du nul est relativement chanceux face à des nordistes clairement au-dessus, alors que fébriles en ce moment à l’extérieur. Tout comme l’OL, le LOSC jouera gros mardi à Moscou.   Samedi : Marseille et Bordeaux rechutent Ce samedi fut assez riche également en enseignements et je retiendrai quatre principaux faits : – Ajaccio ne lâchera rien : Malgré Ochoa pas encore rétabli et remplacé par le vétéran Debès, Ajaccio n’a rien lâché face à Caen. Dominateurs, puis menés au score suite à de 2 grosses erreurs défensives, les corses ont égalisés dans les arrêts de jeu par le local Benjamin André. Ajaccio reste dernier mais n’est qu’à 3 points du premier non relégable. Il va falloir batailler ferme. – Le syndrome Bordelais : Que se passe-t-il à Bordeaux ? Les girondins paraissaient retrouver un niveau digne de celui d’il y a deux. Raté, les marines ont sombré à Dijon, et Gillot paraissait de nouveau abattu en conférence de presse, mais pas surpris par la situation catastrophique « je...

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Ligue 1-13e journée : le PSG comme tout le monde
Nov07

Ligue 1-13e journée : le PSG comme tout le monde

  0 Like(s) Avant de se déplacer en gironde, le Paris Saint Germain avait un avantage certains sur ses poursuivants : hormis l’avance aux points, le club de la capitale connaissait les résultats en demi-teinte de ses adversaires (Montpellier match nul 1-1 à Saint Etienne, Lille 1-1 contre Evian, et Lyon qui perd 2-1 à Sochaux), laissant au moment du coup d’envoi la possibilité pour les parisiens de prendre 5 points d’avance sur Montpellier.   La grosse artillerie parisienne Au coup d’envoi, Paris aligne une défense centrale Sakho-Camara, Kombouaré laissant Lugano sur le banc. Tiéné est de nouveau préféré à Armand sur la gauche de la défense. L’entraineur parisien fait confiance à son milieu à 5 avec deux défensifs composés de Bodmer et de Sissokho, qui garde la confiance de l’ancien coach de VA. En soutient de Gameiro seul en pointe Kombouaré positionne le trio magique parisien : Nenê-Pastore-Ménez. A Bordeaux Gillot alignait un 4-4-2 ambitieux avec Gouffran, très bon à Ajaccio, aux côtés de Diabaté en attaque. Derrière pas de surprise à part Sané préféré à un Ciani, très décevant dans l’axe de la défense.   Un départ canon Pour l’occasion Chaban Delmas a fait le plein, ce qui n’était pas arrivé depuis très longtemps sur les bords de la gironde. La rencontre débute fort et Sissokho remercie Kombouaré de sa confiance en catapultant une tête dans la lucarne droite de Carasso suite à un corner de Nenê (9e). On craint alors le pire pour Bordeaux qui semble être retombé dans ses travers. Fausse impression, sur un débordement de Trémoulinas, Gouffran place magnifiquement sa tête devant Tiéné battu (11e), Sirigu malgré le bon plongeon ne peut stopper la balle et Bordeaux revient à 1-1.   Trémoulinas vs Sirigu Les girondins ne s’arrêtent pas de jouer et dominent des parisiens sonnés après l’égalisation. A la demi-heure de jeu Plasil lâche une grosse frappe à 25m que Sirigu claque en corner d’un arrêt spectaculaire. Trémoulinas continue de donner du fil à retordre à Ceara mais c’est au tour de Nenê d’inquiéter Carasso qui repousse la frappe des deux poings (35e). Mr Lannoy siffle la fin d’une première période d’un bon niveau. A la reprise Paris domine de manière stérile des bordelais enfin sereins en défense malgré les corners parisiens très bien tirés par un Nenê au four et au moulin dans ce match. Cependant les plus grosses occasions seront bordelaises avec l’erreur de Sakho à deux doigts de tromper Sirigu sur un centre de Maurice-Belay (71e), et Ben Khalfallah qui oblige Sirigu à dégager son coup franc comme il peut (73e). A dix minutes du terme, Kombouaré sort Nenê et Ménez pour...

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Ligue 1-13e journée: l’OM recolle, le LOSC et l’OL trainent
Nov07

Ligue 1-13e journée: l’OM recolle, le LOSC et l’OL trainent

  0 Like(s) Lille-Evian TG 1-1 : Evian prend de la bouteille, Lille prend l’eau. 3e match en 6 jours pour les joueurs de Rudy Garcia qui a beaucoup fait parler ces derniers jours dans le Nord de la France. L’entraineur des dogues pouvait craindre une baisse de forme de ses joueurs après les déplacements périlleux et pas très bien gérés par les champions de France en titre (0-0 à Valenciennes et défaite 2-1 chez l’Inter Milan mercredi). Et on peut dire après ce match que les craintes suscitées étaient logiques et justifiées. Apathiques en début de match suite au but rapide de Khalifa (4e), les nordistes ont été brouillons (frappe à coté de Payet 16e) et franchement pas aidés par l’arbitrage de Mr Millot (But de Cole injustement refusé 13e, Pénalty non sifflé sur Bonnart 52e). Le LOSC pourtant dominateur finira par égaliser sur un coup franc lointain de l’entrant Pedretti (62e). Cependant ne mettons pas tout sur le dos des lillois ou de l’arbitre, car Evian a bien prouvé qu’il était le promu ayant le plus de chance de se maintenir. Laquait a été serein dans les moments chauds, Angoula prouve qu’il est le patron de cette défense, Sagbo et Khalifa sont sans cesse dangereux en attaque et enfin Wass apporte beaucoup avec sa technique. Score final 1-1 dans un stadium Nord qui a sifflé ses joueurs à la fin du match. Cela faisait bien longtemps que cela n’était pas arrivé. La trêve internationale arrive à point nommé pour les résidents du domaine de Luchin.   J’ai aimé : le seul point positif au LOSC s’appelle Aurélien Chedjou, qui revient en forme et a été solide hier. En face Evian a réalisé le match parfait jusqu’à l’égalisation de Pedretti. Laquait a rassuré en fin de match par quelques sorties bien senties. Angoula est le véritable patron en défense, Sagbo et Khalifa forment un duo intéressant en attaque. J’ai moins aimé : l’arbitrage de Mr Millot souvent déroutant hier soir (but de Cole refusé, plusieurs cartons injustifiés et d’autres oubliés, des fautes imaginaires et d’autres étonnement non sifflées), une soirée à oublier pour notre arbitre. Mais les lillois ne peuvent s’en prendre qu’à eux même, leur 3e match en 6 jour n’aura pas été meilleur que les 2 autres. Hazard transparent et Sow en deçà depuis quelques matchs. Garcia va devoir parler à ses joueurs.   Sochaux-Lyon 2-1, l’OL à l’arrêt Série noire pour l’OL. Après ses déboires face au Real en Ligue des champions (0-4 et 0-2) et ses défaites face à des adversaires directs en championnat (0-2 à Paris et 1-3 à Lille), les lyonnais ont de nouveau chutés...

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Ligue 1-12e journée : Lille, la tête à Milan
Oct31

Ligue 1-12e journée : Lille, la tête à Milan

  1 Like(s) Pour terminer en beauté cette 12e journée placée sous le signe du spectacle et des buts (27 avant ce VAFC-LOSC) le hasard du calendrier nous proposait un 3e derby, celui-ci du Nord entre Valenciennes reléguable et le Lille OSC parti à la poursuite du Paris SG. Du spectacle au Hainault.. On s’attendait à un final digne de ce nom pour cette jounée, et on l’a eu, enfin en partie. Du jeu, de l’intensité et des occasions mais pas de buts ! Dans un stade du Hainault plein et flambant neuf (22000 spectateurs hier soir), Basa se blesse très vite et laisse sa place à Bonnart au bout de seulement 5 minutes de jeu. Pour ne rien arranger, Hazard loupe son duel seul face à Penneteau (11e), le derby part sur un rythme élevé. Rythme qui ne cessera tout le long de cette première période, frappe de Kadir (15e), reprise à coté de Payet (26e) puis Cohade envoie une super volée sur la barre de Landreau (32e) avant qu’Aboubakar trouve à son tour le montant sur un lob (41e). Le public valenciennois et les nombreux supporters lillois venus en voisin en ont pour leur argent dans cette première période, qui a eu tendance à devenir valenciennoise sur la fin. ..Mais La tête à San Siro ? La seconde période ne fera que confirmer cette impression, Aboubakar est intenable et met au supplice Béria – qui a glissé au centre depuis la sortie de Basa – et Rozenhal, tout de même solide et rassurant hier soir. Danic trouve une nouvelle fois le haut de la barre (54e) et c’est le LOSC qui pousse un soupir de soulagement, dans cette seconde période totalement à l’avantage des locaux. Les champions de France ne passent pas loin de la correctionnelle. Et ce ne sont pas les rentrées de De Melo (56e à la place de Balmont) et Cole (77e à la place de Sow) qui auront permis d’inverser la tendance. 0-0 à la fin du match. Valenciennes méritait clairement de gagner hier soir et Lille a déçu. Garcia espère que son équipe avait la tête à Milan, réponse mercredi à 20h45 à San Siro pour un des tournants de la saison lilloise.   Les impressions de Rémi J’ai aimé : le stade du Hainault rempli et une très bonne ambiance. L’ambition dans le jeu de Valenciennes qui ne devrait pas rester dans la zone rouge bien longtemps. Angoua et Isimat Mirin solident en défense, Sow a eu toutes les peines du monde hier soir. Pour Isimat Mirin, Erick Mombaerts ne s’est pas trompé en l’appelant en équipe de France espoir. Côté Lillois Mickael...

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