NFL : A deux rencontres du terme de la saison, état des lieux.
Déc16

NFL : A deux rencontres du terme de la saison, état des lieux.

  6 Like(s) Alors qu’il ne reste que deux matchs par franchise en saison régulière, il est temps de jeter un oeil au 8 divisions de la Ligue, et surtout aux fameuses 4 places de Wild Card accordées. Quelle franchise est en bonne position pour accéder aux Playoffs ? Laquelle devra espérer un miracle pour ne pas voir sa saison se stopper le soir du 28 décembre ? Commençons sans plus attendre par la division qui étonne le plus, la NFC SUD. Dans l’état actuel des choses, aucune franchise n’a un bilan positif. Après leur victoire la nuit dernière lors du Monday Night Football, les Saints (6-8) ont pris les commandes de la division. Comme vous pouvez vous en douter, il n’y aura aucune place de Wild Card accordée à ces équipes. Avec une victoire d’avance sur les Panthers (5-8-1) et les Falcons (5-9), Aussi étrange que cela puisse paraître, ce sont les Panthers qui sont en position de force en cette fin de saison : deux victoires et les playoffs sont pour eux. Cependant, les Saints semblent avantager par le calendrier : même si ils perdent face aux Falcons la semaine prochaine, une victoire en week 17 combinée à un revers d’Atlanta face à Carolina offrirait les Playoffs à Drew Brees. 1. Saints – 6-8 – vs. Atlanta – @Tampa Bay 2. Panthers – 5-8-1 – vs. Cleveland – @Atlanta 3. Falcons – 5-9 – @New Orleans – vs. Carolina 4. Buccaneers – 2-12 – vs. Green Bay – vs. New Orleans. Division des champions en titre, la NFC OUEST est dominée par une franchise. En effet, les Cardinals ont validé ce week end leur billet pour les playoffs, mais attention, la première place de la division n’est pas assurée. Au vu de leur bilan (11-3), Arizona est donc assurée d’être – au pire – en Wild Card. Cependant, il faudra résister au retour des Seahawks (10-4) pour garder la tête de la division. Avec leur défaite face aux rivaux éternels ce week-end, les 49ers ont perdu tout espoir de continuer la saison vers le SuperBowl (7-7). Une défaite face à Seattle la semaine prochaine, et Arizona ne sera plus maître de son destin, l’équation est simple. 1. Cardinals – 11-3 – vs. Seattle – @San Francisco 2. Seahawks – 10-4 – @Arizona – vs. St Louis 3. San Francisco – 7-7 – vs. San Diego – vs. Cardinals 4. Rams – 6-8 – vs. New York Giants – @Seattle. Du côté de la NFC NORD, le suspens est à son comble. Malgré une défaite surprise face aux Bills ce week-end, les Packers (10-4) sont revenus à hauteur des Lions mais seront contraints de les battre lors de la week 17 pour avoir l’avantage sur eux en cas de victoire des deux franchises la semaine prochaine. Derrière eux, Vikings (6-8) et surtout Bears (5-9, 3 défaites de rang) déçoivent de semaines en semaines. 1. Lions – 10-4 – @Chicago – @Green Bay 2. Packers – 10-4 – @Tampa Bay – vs. Detroit 3. Vikings – 6-8 – @Miami – vs. Chicago 4. Bears –...

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NFL Week 3 – Ils ne sont plus que 3 …
Sep22

NFL Week 3 – Ils ne sont plus que 3 …

  4 Like(s) Comme le titre l’indique, 3 franchises (seulement) ont réussi à conserver leur invincibilité (3 victoires en 3 rencontres) et 3 autres n’ont toujours pas gagné le moindre match. Retrouvez dès maintenant vos rubriques habituelles, pour savoir tout ce qui s’est passé ce dimanche en NFL ! J’ai maté … Redskins @Eagles : Le retour de WR DeSean Jackson à Philadelphie, la première titularisation de QB Kirk Cousins due à la blessure de RG III, les nombreuses questions entourant la capacité des 2 défenses à stopper leurs adversaires … Bref, il y avait pas mal d’excuses pour regarder ce match. Tout d’abord, parlons du cas Kirk Cousins. Après une entrée réussie la semaine dernière, mais tempérée du fait des adversaires (les Jaguars…), ce match se présentait comme un vrai révélateur pour le jeune QB venu de Michigan State (26 ans). Et on ne peut pas dire que le début de match nous ait déçu. Un TD pour D. Young, un autre pour l’inévitable Garçon, la première mi-temps s’annonçait de la meilleure des manières. En deuxième mi-temps, la défense des Eagles se réveilla un peu, et même sans jamais sacker le QB adversaire, le doute s’installa du côté des Redskins, malgré un magnifique TD de Cousins pour DeSean Jackson de 81 yards ! Du côté de la défense, les Redskins avaient quelques motifs de satisfaction. Seulement 4 3rd downs convertis par les Eagles (sur 11 tentatives), un total de 379 yards laissés à l’adversaire (alors que seul Cousins en a lancé 427), mais aucun fumble forcé, aucune interception sur Nick Foles, et aucun sack, même si Orakpo et Hatcher ont su mettre la pression sur la OL des Eagles. Puis vint l’un des tournants du match …. Alors que la passe de Foles était annoncé interceptée par la défense des Redskins (et par Breeland), Chris Baker en profita pour littéralement décalquer le QB adverse. S’en suivit une véritable bagarre générale, qui donna lieu à 2 exclusions : Baker – bien évidemment – pour les Redskins, et LT Peters – pour un coup dans la grille de son adversaire – pour les Eagles. A la suite de cet événement regrettable, eu lieu un autre jeu « contestable ». Sur une 3ème tentative, la passe de Foles avait été jugée incomplète, mais le jugement fut retourné suite au challenge de coach Kelly. Résultat, deuxj eux plus tard, Foles trouva Maclin pour le TD victorieux. Washington 34 – 37 Philadelphie. MVP du match : Même si la défaite est là, et que l’interception plombe la fiche de Kirk Cousins, le QB des Redskins a été largement à la hauteur des attentes. 30/48 427y 3TD 1INT. La note du match : 14/20 – Une bagarre de trop, un jeu « retourné » injustement, mais beaucoup d’engagement, et du suspens durant 4 QT, c’est le football qu’on aime ! J’aurai pu mater … Ravens @Browns : Pour la deuxième fois (déjà) de la saison, Cleveland se...

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Chroniques du Blitz – Super Bowl
Fév04

Chroniques du Blitz – Super Bowl

  0 Like(s) Ça y est. C’est fait. Terminé. Au revoir NFL… Ou presque. Il vous reste à lire cette ultime chronique du blitz pour clore (en beauté?) cette saison. Vous êtes prêts? Allez, on y va. $5 000 / Permettre à sa mÔman, fan des Seahawks depuis toujours, d’assister au Super Bowl contre les Broncos au Metlife Stadium… Un montant qu inclut le gardiennage du chien pour le weekend. $300 / Montant du billet aller retour, pour parcourir les 3869 kms qui séparent Seattle de New York. Un vol opéré par la compagnie aérienne American Airlines. $1 200 / réservation pour deux nuits au Peninsula Hotel, localisé au cœur de Manhattan $70 (option petit budget) / Réservation pour deux nuits dans un dortoir, au Hostelling International New York. $250 / Anticiper la victoire de son équipe préférée en réalisant ce tatouage… visionnaire $9 000 000 / Faire de Tim Tebow le temps d’une minute, la star du Super Bowl alors qu’il est toujours sans contrat en NFL… Merci T-Mobile. 111,5 million d’américains et moi, étions ravis de découvrir que Tim Tebow possède un réel don pour l’auto-dérision. $15 / Le prix d’un hot dog au Metlife Stadium $3 000 / Le montant des dons en faveur de la fondation Peyton Manning pour les deux audibles « Omaha » utilisés lors du Super Bowl par le célèbre QB $46 000 / Ce que perçoit chaque perdant du Super Bowl $92 000 / Ce que perçoit chaque vainqueur du Super Bowl $750 000 / Le coût de fabrication des 150 bagues de champion, distribuées à toute l’organisation des vainqueurs du Super Bowl $0 / S’allonger au centre de terrain. Dessiner un ange au milieu des confettis. Fermer les yeux. Sourire. Pleurer de joie en sentant l’euphorie gagner tous les fans d’une franchise sevrée de titre depuis sa création en 1976. L’argent peut procurer bien des choses. Pour tout le reste, il y a la magie du sport… C’est tout pour moi. Merci à vous d’avoir lu cet article jusqu’au bout. Vous retrouverez le prochain numéro des chroniques du blitz mercredi prochain. N’hésitez pas à tweeter ici et là vos réactions. Sinon, vous pouvez faire la même chose sur facebook ici et...

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NFL Superbowl XLVIII : Analyse
Fév03

NFL Superbowl XLVIII : Analyse

  0 Like(s) Après mes nombreux articles et le réveil des médias « généralistes », impossible de passer à côté du Superbowl. La grande finale a encore réservé son lot de surprises, et a été haute en couleurs ! Bien que le pronostic que j’avais proposé sur Vive Le Sport ait été totalement faux, je ne vais pas me priver pour vous livrer mon analyse de la dernière rencontre de l’année. Lisez_là jusqu’au bout, commentez, donnez votre avis, partagez … et restez avec nous pour des articles réguliers afin d’attendre au mieux la nouvelle saison ! Le match : L’opposition entre la meilleure défense et la meilleure attaque promettait beaucoup. Au final, c’est le QB le moins expérimenté et le moins « bon » à la passe qui a fait des étincelles. Russell Wilson a complété 18 de ses 25 passes, pour 206 yards au total, mais surtout 2 TD et aucune interception. En trouvant Baldwin et Kearse dans la end-zone, le QB a parfaitement su faire avancer son attaque, face à une défense qui avait essentiellement axé son jeu sur le sol. En effet, RB Marshawn Lynch a du se contenter de 39 yards au sol (dont une course de 18y) en 15 tentatives, pour un (petit) TD de 1 yard. L’éclair de la soirée au sol est venu de WR Percy Harvin, gagnant 45 yards en 2 courses sur deux belles reverses. Bien que n’ayant pas à tenter de 4èmes tentatives, coach Pete « Big Balls » Carrol a donc mérité son surnom, en tentant quelques jeux étranges. En défense, les Seahawks n’ont pas dérogé à la règle et ont été ultra-présents. CB Sherman peu en vue (2 plaquages solo, aucune interception), ce sont les safety qui ont fait le show : 6 plaquages pour Earl Thomas, et 5 solos pour Chancellor. La Legion Of Boom est dans la place. En face, QB Manning et son attaque sont dans le dur. Dès le premier jeu du match, l’improbable se déroule : un snap raté, safety, et Manning n’a pas encore touché le cuir. Par la suite, il tentera tant bien que mal d’exister, mais ne complète que 34 de ses 49 tentatives, pour 280 yards. Seul Demaryius Thomas catchera la balle dans la end-zone pour un TD tardif (fin du QT3) de 14 yards. Et oui, l’attaque tant redoutée des Broncos s’est tue : aucun point inscrit durant presque 3 QT, seulement 18 first downs au compteur, aucun 4th down complété (sur 3 tentatives) et … 27 yards au sol ! RB Moreno, sous pression constante, n’a pu accumulé que 17 yards, et Anderson n’a pas su faire mieux avec 9yards gagnés. Pour Ball, c’est le quasi-néant : 1 yard gagné en 6 courses. Comme je l’avais indiqué dans le dernier preview l’un des duel de la soirée opposait LT Clark à DE Clemons. Ce duel a bien eu lieu, mais de...

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NFL Superbowl Preview
Fév01

NFL Superbowl Preview

  0 Like(s) Ca y est, on ne peut plus reculer, on est (enfin) arrivé à la veille du Superbowl ! Encore 4 quart-temps (voir plus) de grand football, et la saison sera définitivement terminée … Il faudra attendre le mois d’août pour revoir 22 joueurs équipés sur le terrain. Pour ce 48ème Superbowl, tout ou presque a été dit, c’est pour cela que je vais tenter (je dis bien tenter, car je ne peux pas inventer non plus …) de faire original ! Au programme de ce preview, 3 face à face qui détermineront l’issue de ce match, puis un point sur le stade, la météo, les stats à connaître … et mon prono pour finir ! Les Duels : > I. WR Demaryius Thomas (DEN) vs. CB Richard Sherman (SEA) : On ne peut commencer la présentation de ce match sans parler de l’homme qui fait couler le plus d’encre dans les médias en ce moment, le meilleur CB de la league, Richard Sherman. On le déteste ou on l’adore, mais ce joueur ne laisse pas indifférent. Si il a détourné la passe de Kaepernick qui aurait pu offrir un Superbowl aux 49ers en finale de conférence, il réalise également un excellent travail de couverture, qui dissuade les QBs de lancer sur lui. Cependant, il aura en face de lui dimanche WR Thomas, loin d’être un novice timide. De toute façon, le receveur l’a annoncé : il n’a aucune idée de la défense que préparent les Seahawks, mais il veut être couvert par Sherman ! En saison régulière, le CB de Seattle mène le classement des interceptions (8), tandis que le WR de Denver est deuxième au nombre de TDs inscrits ! Ca va être chaud dimanche, aussi bien au niveau du jeu que du trash talking ! Le plus compliqué pour ces jeunes joueurs (25 et 26 ans) sera de rester concentrer sur le jeu, et de ne surtout pas sortir du match. > RB Marshawn Lynch (SEA) vs. LB Danny Trevathan (DEN) : Le fameux « Beast Mode » frappera-t-il New York dimanche soir ? Ce qui est sur, c’est que le coureur aux 249y en 2 matchs de playoffs sera surveillé comme l’huile sur le feu par le meilleur plaqueur des Broncos (12 plaquages en deux matchs). Même si il a « moins couru » que l’an passé, Lynch reste l’un des meilleurs coureurs de la ligue, et a signé la deuxième meilleur saison de sa carrière (8ème saison). En face, le tout jeune Trevathan (2ème saison, et première en tant que titulaire) devra faire oublier Von Miller (blessé), tout en restant concentré. En effet, l’OLB des Broncos est connu pour son interception mal retournée face aux Ravens. Cependant,...

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NFL Superbowl preview : Denver Broncos
Jan28

NFL Superbowl preview : Denver Broncos

  0 Like(s) Comme vous l’avez surement entendu quelque part, le Superbowl approche à grand pas. Dans un peu plus de 120h, les deux équipes seront sur le terrain, prêtes à en découdre. En attendant ce moment, place à la série des inévitables « preview ». Après un épisode de la saga « Chronique du Blitz » qui nous a mis dans le bain, place à trois articles qui feront monter la pression avant le fameux Star-Splanged Banner, qui sera interprété cette année par Renée Fleming. Place sans plus attendre à l’équipe qui représentera l’AFC cette saison, les Broncos de Denver.   Histoire de la franchise : Fondée en 1959 par Bob Howsam, les Broncos sont toujours resté à Denver. Affiliés en 1960 à l’AFL (ligue créée à la base pour concurrencer la NFL, puis les deux ligues ont fusionné en 1970), les Broncos connaissent des débuts difficiles : malgré la victoire inaugurale face aux Patriots (de Boston à l’époque, 13-10), Denver est la seule équipe de l’AFL à n’avoir jamais disputé la finale pour le titre, alors qu’il s’agit de la première franchise ALF à avoir battu une équipe NFL de l’époque (les Lions de Detroit). Emmenés par l’expérimenté QB Craig Morton en 1977, l’équipe atteint pour la première fois le Superbowl (XII), qu’ils perdent 27-10 (vs. Cowboys). Ils rééditent la même performance l’année suivante, face aux Steelers. S’en suivent quelques années de disette, précédent la plus belle période de l’histoire des Broncos : l’ère John Elway. Ce QB venu tout droit de Stanford (NCAA), drafté en 1983, restera 15 ans à la tête des « Orange Crush ». A son palmarès, les deux seuls Superbowl remportés par la franchise : 1997 et 1998. Malgré 5 apparitions au Superbowl, les Broncos « de » Elway ne gagneront que deux bagues, et le plus célèbre des QB du Colorado tirera sa révérence. Après quelques années de doute, et malgré les belles performances de QB Jake Plummer (battus en 2005 par les Steelers, futurs champions, après avoir éliminé les Patriots de Brady, doubles tenants du titre), la franchise stagne jusqu’en 2008, puis remonte doucement la pente. Avec la venue de QB Orton (à la place de Cutler), qui réalise des performances en dent de scie, les Broncos sont obligés de faire confiance au Messie : QB Tim Tebow ! Emmenant les siens en playoffs en 2011, Tebow n’est cependant pas l’homme de la situation et la franchise signe QB Peyton Manning, qui sort d’une année d’inactivité (blessure au cou). L’histoire des Broncos est en route, et après le nombre impressionnant de records abattus, un Superbowl ne serait que l’aboutissement d’une saison quasi-parfaite.     Parcours cette saison : Revenons justement sur la saison des Broncos. En battant les champions en titre, les Ravens, 49-27 dès la week 1, les Broncos ont envoyé un signal fort à toute la ligue. Le...

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Chronique du Blitz: J-6 avant le Super Bowl
Jan27

Chronique du Blitz: J-6 avant le Super Bowl

  1 Like(s) Le 48ème Super Bowl se tiendra le week-end prochain à New-York. Cette année, nous aurons le droit à une finale glaciale. Peut être même enneigée. Une première puisque la NFL s’est jusqu’à maintenant évertuée à offrir aux joueurs et spectateurs, des conditions de jeu idéales: chaudes et ensoleillées (Miami, Tampa Bay, Los Angeles etc…) ou en intérieur (Détroit, Indianapolis, Nouvelle-Orleans etc…). La météo new-yorkaise, annoncée difficile, pourrait-elle faire le jeu des défenses et donc favoriser les Seahawks? A contrario, les conseils avisés d’Eli Manning (QB des Giants) pour son frère seront-ils suffisants pour offrir l’avantage du terrain aux Broncos? En ce qui vous concerne, je vous invite à vous installer chaudement (bouillotte et café/thé) pour lire ma chronique blitzesque pré-Super Bowl… #4 Qu’importe le vainqueur, l’histoire s’écrira Si vous avez un tant soit peu d’objectivité lors de cette finale (i.e. vous ne supportez ni les Broncos ni les Seahawks), alors vous saurez vous réjouir du résultat. Qu’importe le nom du vainqueur, il marquera l’histoire de la NFL pour au moins deux raisons. Imaginez une victoire de Seattle et réjouissez vous d‘observer… Une franchise mythique, née en 1974, remporter son premier Superbowl. Il ne fait aucun doute que la ville et surtout, ses fans, le méritent. Notamment depuis la défaite de Seattle en finale contre les Pittsburgh Steelers (2005) où le corps arbitral avait livré une prestation (très) très controversée suite à des décisions favorisants systématiquement Pittsburgh. Nul doute qu’une victoire rendrait hommage aux nombreux mythes qui ont porté la tunique des Seahawks : Shaun Alexander (RB), Matt Hasselbeck (QB), Franco Harris (FB), Steve Largent (WR), Carl Eller (DE), Cortez Kennedy (DT)… Pete Carroll devenir le premier entraîneur à réaliser le doublé BCS/Superbowl. Entraîneur des Trojans de USC (University of South California) entre 2000 et 2009, Pete Carroll a gagné 69 des 81 matches disputés par son équipe. Il lui a même offert deux titres de champion universitaire (le fameux BCS). Né à San Francisco (vous apprécierez le clin d’œil), Carroll est embauché en 2010 pour mener les Seahawks au sommet de la hiérarchie. Si c’est le cas, il deviendrait le premier entraîneur à remporter le titre suprême universitaire et professionnel. Imaginez une victoire de Denver et réjouissez vous d‘observer… Le premier titre de Champ Bailey (CB). Il y a des joueurs qui marquent un sport. Bailey peut s’en vanter. Drafté en 1999, d’aucun pourrait argumenter qu’il est le plus grand joueur de l’histoire de la NFL à son poste. Sélectionné à 12 reprises au Pro Bowl (un record), Champ pourrait définitivement asseoir sa légende en remportant enfin, à 35 ans, une bague de champion. Son champs du...

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NFL Conference Championships : Analyses
Jan20

NFL Conference Championships : Analyses

  0 Like(s) Au programme hier soir, les deux finales de Conference, opposant d’une part les Broncos aux Patriots (AFC) et d’autre part les Seahawks aux 49ers (NFC). Sans plus tarder, voici résumés et analyses de cette folle soirée de football ! New England Patriots @Denver Broncos : Comme cela avait été annoncé, la clé principale du match était la capacité d’adaptation et de performance de la défense des Patriots face à QB Peyton Manning, et l’attaque si performante des Broncos. La réponse n’a pas tardé à arriver. Le premier drive, conclu par un punt rapide, a été le seul n’ayant pas apporté de points aux locaux. Ensuite, le QB multi-recordman a déroulé son jeu « habituel » : 32 passes complétées pour 43 tentés, 400 yards lancés « tout ronds » et surtout 2 TD pour aucun turnover : du grand Manning. La blessure de CB Aqib Talib (côtes) a forcément joué un rôle dans la contre-performance de la secondary des Patriots, mais les receveurs de Denver ont eu le champ libre : 134y (et 1TD) pour l’inévitable WR Demaryius Thomas, mais aussi 85y pour son homonyme TE Julius Thomas, sans oublier Decker, Welker ou Tamme (73, 38 et 24y et TD). Au sol, RB Moreno s’est « contenté » de finir le travail en cumulant 59y, et en laissant 43 à Ball. Soulignons l’excellent travail de la OL, qui a permit à Manning d’être serein : il n’a jamais été touché par un défenseur. Cette non performance du front 7 des Patriots peut avoir plusieurs explications : la première vient, bien entendu, du fait que Denver a l’une des meilleures OL (si ce n’est la meilleure) de la league. L’autre vient de la stratégie utilisée en défense : pour contrer au mieux le jeu de passes, la défense évoluait en man-to-man (marquage individuel) et ne laissait que 3 DL mettre la pression sur … 5 OL (au minimum, avec parfois un TE ou un RB en protection). FS McCourty, OLB Hightower et OLB Collins se partagent le « classement » des plaquages (9, 7 et 6) mais les stats défensives sont inexistantes : aucun sack, aucune interception, aucun fumble forcé, 27 first downs encaissés, et 35′ 44″ sur la pelouse, ce qui ne laisse que 24′ 16″ à Brady pour installer son jeu … Penchons-nous à présent sur l’attaque des Patriots ce soir. Pendant 3 QT, ce sont les défenseurs de Denver qui ont pris le pas : un seul FG inscrit par Gostkowski (47y), des receveurs à la peine, et un jeu au sol quasi-inexistant avec RB Vereen et RB Ridley. Au contraire de New-England, Denver a su mettre la pression sur le QB adverse, avec un front 7 conquérants, et notamment 2 sacks de DE Ayers et DT Knighton (sur une 4ème tentative). Bref, Brady ne parvenait pas à installer son jeu, et les excellentes couvertures de CB Tony Carter et CB Dominique Rodgers-Cromartie y étaient surement pour quelque chose....

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NFL Conference Championships – Preview
Jan17

NFL Conference Championships – Preview

  0 Like(s) A deux jours des finales de Conference, il est temps de faire un état des lieux sur les forces et faiblesses en présence de chaque équipe, afin de vous présenter au mieux c’est deux affiches : Patriots vs. Broncos et 49ers vs. Seahawks. Après la présentation des QB hier, et ce preview aujourd’hui, vous aurez toutes les cartes en main pour apprécier les deux matchs qui se dérouleront dans la nuit de dimanche à lundi !   New England Patriots vs. Denver Broncos (21h00, heure française) : En cas de victoire dimanche, les Patriots deviendraient la franchise la plus titrée en AFC, à égalité avec les Steelers, avec un huitième titre. Mais le principal n’est pas forcément là. Privés de Super Bowl depuis 1999, les Broncos auront à coeur de faire bonne figure, après une saison régulière encore une fois impressionnante. En attaque, la machine Denver est en forme, c’est un fait. Comme annoncé hier dans l’article sur les QB, Manning est au sommet de son art, et compte bien se retrouver au MetLife Stadium début février ! Meilleur attaque en terme de points inscrits, de yards gagnés et de yards gagnés à la passe, le seul point faible de Denver est le jeu au sol. Point faible ? Avec RBs Moreno et Ball, on ne peut pas parler de point faible. Dans l’ombre du QB tellement efficace, les deux coureurs se contente de « faire le job » et de gagner des yards importants. Avec Welker, Decker, Demaryius et Julius Thomas comme cibles principales, il faut dire que Manning n’a que l’embarras du choix ! Cette saison, aucune équipe n’a encaissé moins de 20 points face à l’ogre Denver : la « meilleur défense » a été San Diego durant la saison régulière, lors de la week 15 et la victoire 27-20. Vous doutez encore de leur efficacité ? Sur les 16 matchs de saison régulière, 13 se sont terminés avec plus de 30 points au compteur. What else ? Ok, je continue : 27 first downs de moyenne (en comparaison, les Chiefs sont à 20 de moyenne….) et 4.75 TD par match, c’est plutôt performant. En défense, les Broncos ne sont pas à plaindre, loin de là ! Très efficace face à la course, un peu moins face à la passe, les défenseurs de Denver savent être efficaces. Une moyenne de 2.5 sacks par match, dont 10 sur la saison pour DE Shaun Phillips, mais également un impressionnant total de 129 plaquages pour OLD Danny Trevathan, suffisent généralement (13 fois sur 16 cette saison) à l’attaque pour marquer plus de points que les adversaires. Bien qu’orphelins de LB Von Miller (blessure au genou, indisponible 6 mois minimum), les coéquipiers de l’expérimenté CB Dominique Rodgers-Cromartie n’ont pas grand chose à envier à la défense des Patriots … Dont’a Hightower, Aqab Talib, Jerod...

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NFL – Conference Championships : les 4 (QB) fantastiques
Jan16

NFL – Conference Championships : les 4 (QB) fantastiques

  0 Like(s) La saison NFL touche à sa fin, mais il reste encore 3 matchs : deux finales de Conference, et le Super Bowl. En attendant les deux matchs de dimanche soir, je vous propose un nouvel article portant sur les joueurs les plus mis en lumière, les plus suivis de la NFL : les Quarterback. Véritable pièce maîtresse de l’attaque, et souvent « star » de l’équipe, je vais vous présenter les 4 QB encore en lice pour obtenir une bague de champion cette saison. Ne sachant pas dans quel ordre les traiter, et ne voulant faire aucun classement, j’ai simplement suivi l’ordre alphabétique : Brady, Kaepernick, Manning, Wilson.   Tom Brady :     On ne peut le nier, Tom Brady est un QB d’exception, dans une équipe qui a su parfaitement s’adapter à son système. A 36 ans, le plus célèbre des joueurs NFL n’a plus raté les Playoffs depuis 2002 – seule saison durant laquelle il n’a pas réussi à emmener sa franchise en post-saison. Malgré 3 Super Bowl gagnés à son actif (2002, 2004, 2005) et 9 sélections au Pro Bowl, le QB a encore soif de victoires. Bien que sélectionné en 199ème position à la Draft (Tour 6, Draft 2000), le double MVP du Super Bowl est considéré comme le QB ayant la mécanique la plus proche de la perfection : les statisticiens parlent d’un temps de 33 centièmes entre le moment où le bras commence à monter, et le moment où il lâche la balle. Bien que n’aimant pas porter la balle, Brady a été beaucoup atteint par les défenses adverses. Avec 40 sacks au compteur, et un OL pas toujours fiable, le QB a un taux de completion de 60.5%, son plus bas taux depuis 2002.         Colin Kaepernick :   Après des débuts compliqué en NFL, le QB natif de Milwaukee s’affirme enfin comme véritable franchise QB. Après une première saison où il avait lancé 35 yards (en 3 apparitions), Kaepernick a pris les reines des 49ers l’année dernière, après la blessure d’Alex Smith (actuellement chez les Chiefs), pour les emmener au Super Bowl. Très bon passeur, le jeune QB a également cette capacité à sortir de sa poche pour aller chercher des yards au sol, et représente ainsi une menace supplémentaire. Cependant, ce profil a souvent fait craindre les franchises NFL, qui ont tardé à le sélectionner à la Draft (36ème choix, 2ème tour, 6ème QB). Bien que très jeune, Kaepernick a déjà accumulé énormément d’expérience : remplaçant puis titulaire en université, il a su imposer sa façon de jouer à San Francisco pour devenir inconditionnel, et le Super Bowl perdu de 3 points seulement lui sera forcément bénéfique....

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Chroniques du Blitz – Divisional Playoff Games
Jan15

Chroniques du Blitz – Divisional Playoff Games

  0 Like(s) Chic, c’est mercredi. Jour de blitz. Voici le top 5 des faits marquants d’un weekend qui ne nous a pas offert la même qualité de matches que lors des Wild Card Rounds la semaine dernière. Il faut dire que la barre était fichtrement haute. #5 Jim Harbaugh, Coach San Francisco 49ers, a gagné le droit d’être exubérant En fin de première mi-temps contre les Carolina Panthers, Jim Harbaugh a été pénalisé pour être entré sur le terrain au milieu d’une action. Plus tard, il a également été pénalisé pour avoir critiqué avec véhémence le choix d’un arbitre. Oui, Jim Harbaugh est exubérant et grande gueule. Le fait est qu’il peut se le permettre. À son arrivée en tant qu’entraîneur des 49ers en 2011, San Francisco sortait d’une saison à 6 victoires et 10 défaites, avec un jeu stéréotypé et sans saveurs. Depuis, Jim Harbaugh a gagné un total de 41 matches dont 5 en playoffs en bâtissant une défense imperméable et une attaque imprévisible, sous la houlette de Colin Kaepernick, à qui il permet de franchir tous les paliers pour atteindre le statut de superstar. Une fois de plus ce week-end, Jim Harbaugh a prouvé qu’il était fin stratège en plus d’être une grande gueule. Les deux rencontres des 49ers en playoffs étaient des remakes de deux matches perdus en saison régulière : contre les Packers et Panthers. Harbaugh a parfaitement étudié les cassettes, ce qui lui a permis de bâtir un plan de jeu à même de neutraliser Cam Newton et Aaron Rodgers. C’était pourtant pas gagné, surtout à l’extérieur. Dimanche prochain, un dernier remake l’attend chez les Seattle Seahawks, où San Francisco avait perdu 29 à 3 en saison régulière. Mais qu’importe si Jim Harbaugh trouve, une fois de plus, la solution. Sa saison sera quoi qu’il arrive, une réussite. Ce qu’il a réalisé en trois ans est exceptionnel et a gagné le respect de tous ses pairs. Il a gagné le droit d’être excentrique sans qu’on lui en tienne rigueur. Et les fans adorent ça. Bravo. #4 Un tremblement de terre à Seattle Les sismologues de la côte ouest sont en permanence sur le qui-vive, guettant chaque jour les effets annonciateurs d’un tremblement de terre provoqué par la fameuse faille de San-Andreas: the big one. Pour les équipes adverses, jouer à Seattle n’est jamais chose aisée tant les fans sont bruyants. Pour preuve le week-end dernier contre les Saints, des sismologues ont détecté un mini-tremblement de terre d’une magnitude de 2 sur l’échelle de Richter dont l’épicentre n’était autre que le stade de football américain. T’imagines ou quoi là ? Ça en jette non ?! Le...

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NFL – Divisional Playoffs : matchs du dimanche
Jan13

NFL – Divisional Playoffs : matchs du dimanche

  0 Like(s) Après deux beaux matchs ce samedi, et un dimanche de repos bien mérité, nous voilà reparti pour les deux dernières rencontre de ce Divisional Playoffs. Au programme, encore un match NFC et un AFC : les 49ers affrontent les Panthers pour savoir qui retrouvera les Seahawks en finale NFC, et les Chargers se déplacent pour affronter les Broncos, et ainsi savoir qui sera opposé aux Patriots.   San Francisco 49ers vs. Carolina Panthers : Lors de la saison régulière, ces deux équipes ne s’étaient départagées que d’un point, et bien qu’une nouvelle fois à l’extérieur, les 49ers ont une réelle envie de revanche ! En attaque, les hommes de coach Harbaugh déroulent leur début de match, en alternant parfaitement courses et passes, et permettent à Dawson d’inscrire les 6 premiers points du matchs, sur 2 FG. En défense, la tâche n’est pas aisée : QB Newton est une menace constante, aussi bien au sol qu’à la passe, et les Panthers possèdent un corps de RB impressionnant. Cependant, l’intenable trio de linebackers a encore « fait le job » : 2.5 sacks pour Brooks, 1 sack pour Bowman et 1 interception pour Wilis. What else ? Ajoutez 1 interception à SS Whitner, une aide de DE Jerod-Eddie sur l’un des sacks de Brooks, et un sack solo de LB Skuta. La liste des big plays défensifs est tout de même longue, non ? Malgré cela, QB Newton cumule tout de même 267yards à la passe, et un magnifique TD de 31 yards pour S. Smith, qui permet à Carolina de rester dans le match. Au sol, la performance des Panthers est en demie-teinte : 54 yards tout de même pour Newton, mais seulement 20 pour Tolbert, 13 pour Williams et 6 pour LaFell. La défense des 49ers prouve qu’elle peut s’adapter à un QB mobile, Wilson (Seahawks) est prévenu. En attaque, l’homme des 49ers est le WR Anquan Boldin qui a cumulé 8 réceptions pour 136 yards. Ajoutez à cela un magnifique catch dans le coin de la end zone de TE Davis pour TD (sa seule réception du match), mais également 84 yards au sol de Gore, 27 de Hunter et 15 de Kaepernick. En stoppant deux fois les Panthers sur leurs propres 1 yards, les Niners ont encore prouvé leur capacité à défendre très sereinement. Les Panthers ont donc du se contenter de 10 points, tous inscrits lors du QT2, et n’ont rien su faire face à l’attaque très organisée de Kaepernick. San Francisco se déplacera la semaine prochain au Century Link Field de Seattle dans le but de retourner au Super Bowl une seconde année de suite. Wilson, Lynch, Sherman et cie sont prévenus, les 49ers sont en forme !   San Diego Chargers vs. Denver Broncos : Tout le monde avaient une question en tête : les Chargers étaient-ils capables de réitérer leur exploit de saison régulière ? Et comme un symbole, une réponse à toutes ces interrogations, Peyton Manning et son attaque ont mis la machine en route. Un premier TD...

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NFL Playoffs : Divisional Round Preview
Jan09

NFL Playoffs : Divisional Round Preview

  0 Like(s) Après un week-end de Wild Card très agité, et de bien beaux matchs, revoici la NFL ce week end avec 4 matchs encore une fois. L’entrée en lice des seed #1 et #2 va-t-elle écraser la concurrence ? Ou alors ce sont les équipes fraîchement qualifiées qui vont continuer sur leur lancée. En attendant samedi puis dimanche soir, je vous propose un preview de nos 4 rencontres du week end.   New Orleans Saints @Seattle Seahawks (samedi 22h35 heure française) : Le hasard des seed leur a fait éviter leurs rivaux de division (Panthers), mais les Saints se retrouvent face à l’équipe à craindre de cette saison en NFC : les Seahawks de Seattle. Emmenés par QB Wilson aussi précieux à la passe qu’à la course, le jeune QB (2ème saison) fait trembler toutes les défenses. Si on le compare à Drew Brees (Saints), il est certain qu’il ne fait pas le poids à la passe (3357y et 26TD contre 5162y et 39TD). Cependant, au sol, le jeu des Seahawks est autrement plus efficace. Bien sûr Wilson réalise sa part de travail, en ayant couru 539y cette saison (seulement 10 de moins que Thomas, meilleur coureur des Saints…) mais il est devancé par le RB titulaire, Marshawn Lynch ! Lynch et les Saints, quelle histoire d’amour … Souvenez-vous de ce fameux match de Wild Card d’il y a deux ans : 2nd & 10 sur les 33 des Seahawks, balle pour Lynch, 8 plaquages cassés, TD de 67 yards : Beast Mode et tremblement de terre ressenti par les sismologues de Seattle tellement les fans ont sauté dans le stade ! Bref, les Saints sont prévenus. Côté Saints justement, malgré une belle victoire la semaine dernière (26-24 vs. Eagles), ce n’est pas la grande joie. Comme annoncé précédemment, Drew Brees est toujours au top, ou presque, et son corps de WR est des plus impressionnants : Graham, Colston, Stills, Sproles … Le gros soucis de la franchise de New Orleans est au sol : avec Thomas encore incertain, c’est surement Ingram qui prendra la majorité des snaps (18 courses pour 97y la semaine dernière), mais derrière lui, c’est le vide. Brees n’a pas l’âme d’un coureur comme Wilson et Sproles a du mal à revenir à un niveau convenable. La grosse satisfaction de la semaine dernière, est d’avoir su tenir LeSean McCoy sous les 100y (77). ILB Hawthorne et les NTs Bunkley et Jenkins auront encore une fois un rôle plus qu’important dans la gestion du jeu de courses adverse. On sait également que coach Payton est un fin tacticien, et qu’il ne reste rien au hasard : il a fait effacer les logo des Saints sur les terrains d’entrainement pour y faire peindre ceux des … Seahawks ! Et oui, New Orleans joue à l’extérieur, et il faut que les joueurs s’habituent à ce nouvel environnement ! Bref, encore un gros match qui s’annonce ! Indianapolis...

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NFL – Week 17 : Analyses
Déc30

NFL – Week 17 : Analyses

  0 Like(s) Cette fameuse week 17 est « enfin » terminée … Place aux analyses et résumés, puis on vous donnera le programme complet des Playoffs ! La saison régulière est donc maintenant terminée, 20 équipes sont donc en vacances. Pour les 12 autres, un mois fou débute, et se terminera au mieux le soir du 2 février …   Panthers vs. Falcons : Sous la pression des Saints, les Panthers se devaient de gagner pour assurer leur seed #2. Avec un Cam Newton toujours aussi décisif, bien que moins précis que d’habitude (15/27 pour 149y 2TD 1INT à la passe, 72y à la course), l’attaque de Carolina avance. En face, QT Ryan réalise un match intéressant, avec 28/40 pour 280y 2TD et 1INT, et ce sont les joueurs d’Atlanta qui prennent les devants. Cependant, au prix d’un dernier drive totalement raté, les Falcons ne créeront pas l’exploit. Carolina 21-20 Atlanta.   Ravens vs. Bengals : Cette finale d’AFC Nord pouvaient voir les champions en titre sortir de la course aux playoffs. Cependant, le début de match leur est totalement favorable, avec QB Dalton totalement à côté de la plaque : 21/36 pour 281y avec tout de même 2TD mais surtout 4 interceptions ! Cependant, les Ravens tardent à concrétiser, et avec un jeu au sol pauvre (28y pour Pierce et 15 pour Rice), ça n’avance pas. QB Flacco est loin de faire des miracles, et collectionne aussi les interceptions (3) pour seulement 192y lancés et 1TD. Avec un dernier QT à sens unique (TD à la course de Dalton, FG de Nugent puis TD sur retour d’interception de Kirkpatrick), les Ravens sont éliminés de la course aux playoffs. Baltimore 17-34 Cincinatti.   Jaguars vs. Colts : Face à un adversaire faible (4-11 avant le match), Indianapolis se devait de se rassurer. Et c’est chose faite. Malgré un match propre mais sans artifices de QB Luck (26/37 pour 282y et 1TD), l’attaque a su avancer et les TD s’enchaînent : Brown et Richardson à la course et Whalen à la passe permettent aux Colts d’emporter ce match. Jacksonville 10-30 Indianapolis.   Jets vs. Dolphins : Avec la défaite des Ravens, les Dolphins avaient le champ libre pour continuer l’aventure. Cependant, QB Tannehill semble subir la pression et rend une fiche plus que discutable : 20/40 seulement, pour 204y et 1TD, mais 3 interceptions. Quand on veut aller en playoffs, c’est trop ! En face, QB Geno Smith n’a toujours pas le rendement d’un « bon » QB NFL, mais il limite les dégâts : 17/27 pour 190y, aucun TD mais aucun turnover. Au final, les Dolphins auront scoré en premier d’une réception de Wallace dans la end zone, puis plus rien ! Avec 44 yards au compteur au sol, QB Smith ira également inscrire son TD. Les Dolphins sont donc aussi éliminés de la course aux playoffs. New York 20-7 Miami.   Lions vs. Vikings : Dernier match de la saison pour ces deux équipes, et match moyen des deux...

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Week 16 : Miami et Baltimore dans le doute, Pittsburgh et San Diego toujours vivants.
Déc23

Week 16 : Miami et Baltimore dans le doute, Pittsburgh et San Diego toujours vivants.

  0 Like(s) Cette avant dernière journée de saison régulière NFL pouvait permettre à 9 équipes de se qualifier pour les play-offs. Au final, bon nombre de surprises, et un total de 8 qualifiés seulement pour les 2 conférences. Sans plus attendre, passons aux analyses des matchs d’hier !   Dolphins vs. Bills : Première affiche, et premier match capital pour les play-offs. Orphelins de QB EJ Manuel, tout le monde a un œil sur l’attaque de Buffalo. Et bien c’est sur la défense qu’il faut plus se focaliser. Avec deux QB utilisés, les Dolphins ont eu du mal à trouver le rythme dans cette partie. Tannehill doit se contenter de 82y (10/27) tandis que Mat. Moore atteint péniblement 53y à 2/6, avec 2 interceptions (McKelvin et Leonhard). En attaque donc, les Bills ne brillent pas. Lewis, à l’image de Manuel d’habitude, se débrouille comme il peut (15/25 193y et 1INT), mais le réveil vient de RB Jackson, qui cumule 111 y et 1TD. Ajoutez à cela 4 FG de Carpenter, aucun point encaissé, et l’addition est salée. Miami 0-19 Buffalo.   Saints vs. Panthers ; On passe à la NFC, mais le spectre des play offs est toujours présent, avec ce choc au sommet de la division Sud. Comme d’habitude, QB Brees est dans son match, avec 10 receveurs différents trouvés, mais une adresse mise à rude épreuve par une défense appliquée : 30/44 pour 281y, 1TD mais surtout 2 INT (Davis et Kuechly). En face, QB Newton cumule 181y (13/22) avec 1TD et 1INT (Jenkins), mais n’est pas décisif au sol (6 yards). Encore une fois, les stats servent en foot us, mais le plus important est de scorer : 20 first downs pour NO, contre 10 pour Carolina. Au final, une course de 43y de Williams remet les Panthers en piste après un départ mou, et les Saints sont dans le doute. New Orleans 13-17 Carolina.   Vikings vs. Bengals : On savait que le match pouvait être piège pour les Bengals. On avait peut être oublié qu’il pouvait tourner à la correction. QB Cassel mal inspiré avec 13/27 pour 114y, un seul TD pour 3INT (dont une remontée pour TD par Rey), et QB Dalton a le temps de s’exprimer. Seulement 24y laissés à Green-Ellis au sol et 20 à Bernard, le reste s’est joué dans les airs. 27/38 au final pour le QB de Cinci, avec 366y au compteur, mais surtout 4 TD (Green deux fois, Gresham et Sanu) et aucune interception. En défense, le LB Burfict a encore montré l’étendue de son talent avec 5 plaquages et 2 sacks, malgré les 2 gros jeux encaissés (passe de TD de 36y pour Wright puis course de Patterson de 35y). Minnesota 14-42 Cincinnati.   Broncos vs. Texans : Malheureusement pour QB Schaub, la tâche s’annonce rude. Et dès le début du match, Denver prend la mesure de son adversaire. Malgré des petits totaux au sol : 76y pour Moreno et 32 pour Ball,...

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