Retour sur le Super Bowl XLIX
Fév03

Retour sur le Super Bowl XLIX

  5 Like(s) Pour ce 49ème Super Bowl, nous nous sommes régalés, il faut dire ce qui est. Les Seahawks allaient-ils réaliser le fameux « back-to-back », ou les Patriots allaient-ils s’emparer de leur 4ème bague de champion ? Exit le traditionnel résumé de la rencontre, que tout le monde a plus ou moins suivi, nous allons nous pencher sur des points précis du match, et notamment la si controversée dernière action de Seattle. Pour faire un bon QB, il faut … des bons receveurs ! On parle souvent du ratio QB, du nombre de TD lancés ou du nombre d’interception, mais un bon QB ne peut briller sans un corps de receveur homogène et de bon niveau. En complétant 37 passes, Tom Brady a battu le record de passes complétées lors d’un Super Bowl, et a remis la Legion of Boom si crainte au rang de défense « lambda ». En trouvant 4 receveurs différents dans la end-zone, Bellichick a prouvé qu’il savait appeler des jeux « logiques » et que l’attaque des Patriots ne se résumaient pas à la connexion Brady – Gronkowski. Parfois utilisé en tant que vrai Tight-End, parfois aligné comme receveur extérieur face à un CB plus petit et léger, le meilleur Tight-End de la ligue s’est fait oublier avant de briller. Avec 68yards en 6 réceptions (sur 10 passes lui étant adressées) et un TD, le comeback de l’année a justifié tous les superlatifs employés à son égard. Cependant, le Gronk’ a été éclipsé par deux joueurs : un WR et un RB. En ce qui concerne le WR, vous l’aurez deviné, il s’agit de Julian Edelman. En catchant 9 des 12 passes que Brady lui a lancé, pour cumuler 109 yards et catcher le fameux « TD de la victoire ». Souvent critiqué par le passé, et utilisé comme remplacent de luxe (derrière Hernandez et Branch notamment à une époque), Edelman répond à ses détracteurs de la meilleure des manières. Malgré une piètre prestation au sol (seulement 13 yards), RB Shane Vereen a été une des pièces maîtresses de l’attaque de Bellichick. Utilisé comme cible de « sécurité », il a cumulé 11 catchs (sur 12 passes), pour une moyenne de 5.8 yards par réception. Victime de sa « non-utilisation » au sol (Blount a cumulé 40 des 57 yards de la franchise dimanche soir), ainsi qu’en end-zone, Vereen n’a pas eu la possibilité de rentrer dans la course au titre de MVP de la finale, mais il s’en est fallu de peu ! Du côté des Seahawks, les conclusions sont bien plus rapidement tirées : seulement 12 passes complétées par Wilson (pour 20 tentatives), et une domination excessive d’un rookie à la réception : Chris Matthews. Le jeune receveur a relayé Doug Baldwin au rang de roue de secours (1 réception pour 3yards, 1TD) et a fait oublier la machine à interceptions (cf. la finale...

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NFL Conference Championship : deux matchs – presque – historiques
Jan20

NFL Conference Championship : deux matchs – presque – historiques

  2 Like(s) Ce dimanche, pour les finales de Conference, nous avons assisté à deux matchs historiques, mais qui n’entrerons jamais dans les (longues) anales de la NFL. En effet, ni le nombre de point en un match, ni l’écart entre deux franchises, ni le plus gros écart de point jamais rattrapé n’ont été battu. Pas de ligne de stat pour ces deux rencontres, mais surement de belles anecdotes et des images gravées à jamais dans les mémoires collectives. Dans cet article, je vais revenir sur la prestation de l’attaque de Green-Bay, l’importance des blessures, l’étrange match de Jermaine Kearse ainsi que sur la performance de Luck face à sa bête noire. Inscrire 22 points aux Seahawks, c’est … clairement insuffisant ! D’accord les Seahawks ont été la meilleure défense de la saison régulière en terme de points encaissés (15.9), mais Russel Wilson n’avait jamais lancé plus de 2 interceptions lors d’un match (week 10 face aux Giants). Or, dimanche, le jeune QB sous pression a lancé 4 interceptions, dont 3 en première mi-temps. Un turnover est utile uniquement si, sur le drive suivant, l’attaque est capable d’aller scorer des points. – Après la première interception, et une position plus qu’intéressante à 19 yards de la end-zone, l’attaque des Packers a été stoppée à 1 yards de la terre promise et a du se contenter de 3 points. – Sur la 2ème, Rodgers est resté 3 jeux sur le terrain : passe incomplète, passe courte, passe interceptée, merci, au revoir. – Pour la 3ème, l’attaque des Cheesehead repartait de ses 20 yards, avec 1’55 » avant la mi-temps : 7 jeux plus tard, Masthay rentrait sur le terrain pour dégager au pied son équipe. – Enfin, sur la dernière interception, alors que les Packers menaient 19-7 à 5 minutes du terme de la rencontre, Burnett s’est intelligemment couché au sol pour éviter une perte de balle, ce qui a donné une possession à l’attaque à 57 yards de la end-zone adverse : trois courses de Lacy plus tard, le first down n’ayant pas été acquis, c’est encore une fois Masthay qui dégageait son équipe. Tout le monde connait la suite … Au final, avec 4 turnovers forcés par la défense, l’attaque n’a été capable que de scorer 3 points … sur 28 potentiels. Et lorsqu’on étudie les stats purement « numériques », la conclusion est la même : comment en lançant 4 interceptions, Russel Wilson et les Seahawks ont pu gagner un first down de plus que les Packers (20 contre 19) et seulement un de moins à la passe (10 contre 11). Avec seulement 21% d’efficacité en 3ème tentative (3/14), la réussite a clairement fuie le camp de coach McCarty. Une autre stat totalement surréaliste ? 22 yards : il s’agit...

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NFL : des infos, des stats, … et une explication
Jan14

NFL : des infos, des stats, … et une explication

  4 Like(s) Entre le Divisional Round et les finales de Conférence, difficile de sortir un article « original ». Exit les recaps des matchs que la moitié des gens a vu, et l’autre moitié a suivi via twitter et autres highlights, exit les previews qui racontent toujours la même chose et qui sont édités chaque jour … Place à l’originalité ! Retour donc en partie sur le match des Cowboys qui a tant fait parler et sur une action des Patriots qui a surpris les Ravens. Non, Dez Bryant n’a pas été volé par les arbitres : Il s’agit surement de l’action qui a le plus secoué la twittosphère ce week-end, et notamment le hashtag #nflextra (hashtag officiel de BeIn Sport, sur lequel sévissent en partie les néo-fans de foot us n’ayant jamais plongé le nez dans un bouquin de règles). Alors qu’il reste un peu plus de 4 minutes dans l’ultime quart-temps du match, que les Cowboys sont menés de 5 points et qu’ils se retrouvent en 3ème tentative et 11 yards à parcourir, à 41 yards de la end-zone adverse, Tony Romo cherche d’une longue passe Dez Bryant. Le receveur passe les mains au dessus de CB Shields, se saisit du ballon, puis chute à moins d’un yard de la end-zone. TD ? First down à moins d’un yard de la terre promise ? Les fans de Dallas se voient déjà en finale de Conférence et annonce ce catch comme le plus beau de l’année (devant Beckham … oui, oui !). Mais avant tout cela, il faut passer l’épreuve de la révision vidéo, demandé par Green Bay. Au ralenti l’image est claire … Bryant pose ses 2 mains sur la balle, mais celle ci touche le sol alors qu’il est en train de tomber. Genou posé au sol avant ou pas, la règle est simple à comprendre : durant le processus de réception d’une passe, que le joueur tombe avec ou sans contact, la balle ne doit pas être en contact avec le sol, sous peine de voir la passe jugée incomplète. Il en est de même si le joueur quitte les limites du terrain : depuis cette nouvelle règle, il faut que la balle soit en parfaite possession du receveur pour que la passe soit validée. C’est pour cette raison que cette saison, plusieurs actions comprises comme « passe complétée puis fumble » (suite à un plaquage) ont été estimées comme passes incomplètes (à juste titre)… Et comme les fans des Cowboys se sentaient floués, ils ont osé ressortir l’action de passe de Rodgers pour Cobb, survenue à moins de 2 minutes de la fin du premier quart-temps. Cette passe, revue par les arbitres, est tout à fait valable : en effet, le receveur prend le soin de...

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NFL : 4 éliminés, 4 blessés …
Jan06

NFL : 4 éliminés, 4 blessés …

  7 Like(s) « Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé ». Durant ce week-end de wild card, 4 franchises ont vu leur saison s’arrêter brusquement. Au sein de ces 4 équipes, nous avons trouvé 4 joueurs qui auraient pu changer la donne, mais qui n’étaient pas sous l’uniforme, faute de blessure. Retour donc, sur la partie la moins amusante du football américain, mais de loin la plus importante : la blessure. 1. RB Le’Veon BELL – Pittsburgh STEELERS. Les faits : Alors que les Steelers réalisent une fin de saison plein de promesses, et qu’ils mènent de 10 points au milieu de QT3 face aux Bengals lors de l’ultime journée de saison régulière, Ben Roethlisberger trouve Bell d’une passe de plus de 15y, S Reggie Nelson vient réaliser son plaquage en mettant la tête sur le genou droit du coureur de Pittsburgh. Résultat : une hyperextension du genou, qui mettra Bell hors de forme pour le match de Wild Card. Les conséquences : A une semaine d’un match à élimination directe face aux rivaux de toujours, c’est compliqué de se passer de son meilleur atout au sol (1361y alors que le second est Dri Archer avec 40y). Même en signant l’expérimenté Ben Tate, coach Tomlin choisi de laisser le poste de titulaire à Josh Harris, qui a cumulé 9 courses pour 16 yards lors de la saison régulière. Comme on pouvait s’en douter, le jeu des Steelers est résolument tourné vers la passe, et Roethlisberger se retrouve à jouer un jeu qui n’est pas le sien, avec 45 passes tentées. Pour rappel, il n’en avait tenté « que » 37 lors de la victoire contre les Ravens en week9 et ses 6 TDs lancés. Au sol, Harris fait de son mieux, en cumulant 25y en 9 courses, et Ben Tate est inexistant avec 19yards gagnés en 5 portés. Les Ravens n’étaient pas imbattables, mais il fallait une armada complète pour venir à bout de cette défense solide. 2. QB Carson PALMER et QB Drew STANTON – Arizona CARDINALS. Les faits : Alors qu’il mène son attaque d’une main de maître, avec 11 TDs pour 3 interceptions, et surtout 9 victoires pour une seule défaite (contre les Broncos), QB Palmer se blesse au genou contre les Rams : saison terminée pour le titulaire, qui se voit remplacé par Drew Stanton. Bien que moins efficace (7TD, 5int), le remplaçant gagne 3 matchs sur les 5 auxquels il participe (défaite contre les Seahawks et les Falcons). Sur un sack dans le 3ème QT du deuxième match de la saison contre les Rams, Stanton se blesse, et la franchise voir Ryan Lindley arriver à la tête de son attaque. Les conséquences : Avec...

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NFL : A deux rencontres du terme de la saison, état des lieux.
Déc16

NFL : A deux rencontres du terme de la saison, état des lieux.

  6 Like(s) Alors qu’il ne reste que deux matchs par franchise en saison régulière, il est temps de jeter un oeil au 8 divisions de la Ligue, et surtout aux fameuses 4 places de Wild Card accordées. Quelle franchise est en bonne position pour accéder aux Playoffs ? Laquelle devra espérer un miracle pour ne pas voir sa saison se stopper le soir du 28 décembre ? Commençons sans plus attendre par la division qui étonne le plus, la NFC SUD. Dans l’état actuel des choses, aucune franchise n’a un bilan positif. Après leur victoire la nuit dernière lors du Monday Night Football, les Saints (6-8) ont pris les commandes de la division. Comme vous pouvez vous en douter, il n’y aura aucune place de Wild Card accordée à ces équipes. Avec une victoire d’avance sur les Panthers (5-8-1) et les Falcons (5-9), Aussi étrange que cela puisse paraître, ce sont les Panthers qui sont en position de force en cette fin de saison : deux victoires et les playoffs sont pour eux. Cependant, les Saints semblent avantager par le calendrier : même si ils perdent face aux Falcons la semaine prochaine, une victoire en week 17 combinée à un revers d’Atlanta face à Carolina offrirait les Playoffs à Drew Brees. 1. Saints – 6-8 – vs. Atlanta – @Tampa Bay 2. Panthers – 5-8-1 – vs. Cleveland – @Atlanta 3. Falcons – 5-9 – @New Orleans – vs. Carolina 4. Buccaneers – 2-12 – vs. Green Bay – vs. New Orleans. Division des champions en titre, la NFC OUEST est dominée par une franchise. En effet, les Cardinals ont validé ce week end leur billet pour les playoffs, mais attention, la première place de la division n’est pas assurée. Au vu de leur bilan (11-3), Arizona est donc assurée d’être – au pire – en Wild Card. Cependant, il faudra résister au retour des Seahawks (10-4) pour garder la tête de la division. Avec leur défaite face aux rivaux éternels ce week-end, les 49ers ont perdu tout espoir de continuer la saison vers le SuperBowl (7-7). Une défaite face à Seattle la semaine prochaine, et Arizona ne sera plus maître de son destin, l’équation est simple. 1. Cardinals – 11-3 – vs. Seattle – @San Francisco 2. Seahawks – 10-4 – @Arizona – vs. St Louis 3. San Francisco – 7-7 – vs. San Diego – vs. Cardinals 4. Rams – 6-8 – vs. New York Giants – @Seattle. Du côté de la NFC NORD, le suspens est à son comble. Malgré une défaite surprise face aux Bills ce week-end, les Packers (10-4) sont revenus à hauteur des Lions mais seront contraints de les battre lors de la week 17 pour avoir l’avantage sur eux en cas de victoire des deux franchises la semaine prochaine. Derrière eux, Vikings (6-8) et surtout Bears (5-9, 3 défaites de rang) déçoivent de semaines en semaines. 1. Lions – 10-4 – @Chicago – @Green Bay 2. Packers – 10-4 – @Tampa Bay – vs. Detroit 3. Vikings – 6-8 – @Miami – vs. Chicago 4. Bears –...

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NFL : le point à 5 semaines de la fin
Nov25

NFL : le point à 5 semaines de la fin

  8 Like(s) Comme vous le savez peut-être, en cette fin de Week 12, toutes les équipes ont effectué leur « bye week ». On se retrouve alors avec toutes les franchises au même nombre de match (11) et on peut y voir un peu plus clair sur les classements et la course aux playoffs à 5 journées de la fin de la saison régulière. Retour sur le règlement : Sont qualifiées en Playoffs, les franchises qui : – terminent en tête de leur division (8 divisions, donc 8 équipes) – possèdent les deux meilleurs bilans – hors champions – de chaque conférence, et ce quelque soit leur division (il peut y avoir le 2ème et le 3ème d’une même division). Les 4 champions sont classées dans l’ordre de leur fiche, et obtiennent des seed (numéros de classement). La meilleure équipe sur la saison régulière récupère le seed #1, la deuxième le #2, etc … Attention : Un champion de division obtiendra toujours un seed entre 1 et 4, même si l’un des deuxième à une meilleure fiche que lui. C’est d’ailleurs ce qu’il risque de se passer en NFC avec la NFC Sud. Une fois les seed distribués, voici le temps des calendriers de Playoffs : – pour le premier tour (Wild Card Round), le seed #6 se déplace chez le #3 et le #5 chez le #4, les seed #1 et #2 étant exemptés de ce tour. – ensuite, pour le Divisional Round, le seed #1 accueille le moins bon seed encore en compétition (le #6 si il a gagné, le vainqueur de #4 – #5 sinon), et le #2 accueille l’autre équipe. – enfin, le Conference Championship verra s’affronter les deux équipes sorties vainqueurs du Divisional Round, le match se disputant chez la meilleure des deux équipes. Maintenant que vous savez tout sur le mode d’emploi, place à l’état des lieux : La division qui étonne le plus en ce moment, avec 4 bilans positifs et un suspens à son comble, est l’ AFC Nord. 7 victoires pour chacune des 4 franchises, et un seul match nul (à la place d’une défaite) place les Bengals (7-3-1) en tête de la division. Pour Cincinnati, la fin de saison ne s’annonce pas simple, avec 3 matchs intra-division (Browns et deux fois les Steelers), ainsi qu’un choc face aux Broncos. Pour les Ravens, qui viennent de réaliser un match correct face aux Saints, l’issue de la saison pourrait bien se jouer en Week17, avec une confrontation avec les Browns. Avec 4 matchs intra-division à jouer (et au moins un par franchise), cette fin de saison régulière s’annonce passionnante … Étonnant aussi, mais beaucoup moins performant, la NFC Sud. Avec aucun bilan positif, il est quasiment certain que le deuxième...

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NFL Week 3 – Ils ne sont plus que 3 …
Sep22

NFL Week 3 – Ils ne sont plus que 3 …

  4 Like(s) Comme le titre l’indique, 3 franchises (seulement) ont réussi à conserver leur invincibilité (3 victoires en 3 rencontres) et 3 autres n’ont toujours pas gagné le moindre match. Retrouvez dès maintenant vos rubriques habituelles, pour savoir tout ce qui s’est passé ce dimanche en NFL ! J’ai maté … Redskins @Eagles : Le retour de WR DeSean Jackson à Philadelphie, la première titularisation de QB Kirk Cousins due à la blessure de RG III, les nombreuses questions entourant la capacité des 2 défenses à stopper leurs adversaires … Bref, il y avait pas mal d’excuses pour regarder ce match. Tout d’abord, parlons du cas Kirk Cousins. Après une entrée réussie la semaine dernière, mais tempérée du fait des adversaires (les Jaguars…), ce match se présentait comme un vrai révélateur pour le jeune QB venu de Michigan State (26 ans). Et on ne peut pas dire que le début de match nous ait déçu. Un TD pour D. Young, un autre pour l’inévitable Garçon, la première mi-temps s’annonçait de la meilleure des manières. En deuxième mi-temps, la défense des Eagles se réveilla un peu, et même sans jamais sacker le QB adversaire, le doute s’installa du côté des Redskins, malgré un magnifique TD de Cousins pour DeSean Jackson de 81 yards ! Du côté de la défense, les Redskins avaient quelques motifs de satisfaction. Seulement 4 3rd downs convertis par les Eagles (sur 11 tentatives), un total de 379 yards laissés à l’adversaire (alors que seul Cousins en a lancé 427), mais aucun fumble forcé, aucune interception sur Nick Foles, et aucun sack, même si Orakpo et Hatcher ont su mettre la pression sur la OL des Eagles. Puis vint l’un des tournants du match …. Alors que la passe de Foles était annoncé interceptée par la défense des Redskins (et par Breeland), Chris Baker en profita pour littéralement décalquer le QB adverse. S’en suivit une véritable bagarre générale, qui donna lieu à 2 exclusions : Baker – bien évidemment – pour les Redskins, et LT Peters – pour un coup dans la grille de son adversaire – pour les Eagles. A la suite de cet événement regrettable, eu lieu un autre jeu « contestable ». Sur une 3ème tentative, la passe de Foles avait été jugée incomplète, mais le jugement fut retourné suite au challenge de coach Kelly. Résultat, deuxj eux plus tard, Foles trouva Maclin pour le TD victorieux. Washington 34 – 37 Philadelphie. MVP du match : Même si la défaite est là, et que l’interception plombe la fiche de Kirk Cousins, le QB des Redskins a été largement à la hauteur des attentes. 30/48 427y 3TD 1INT. La note du match : 14/20 – Une bagarre de trop, un jeu « retourné » injustement, mais beaucoup d’engagement, et du suspens durant 4 QT, c’est le football qu’on aime ! J’aurai pu mater … Ravens @Browns : Pour la deuxième fois (déjà) de la saison, Cleveland se...

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NFL – week 2 : des surprises … et des blessures !
Sep15

NFL – week 2 : des surprises … et des blessures !

  2 Like(s) NFL is Back … Depuis déjà 10 jours ! Et oui, la saison est belle et bien lancée, et la week 2 est (presque) terminée. Après la victoire des Ravens sur leurs ennemis de toujours (Steelers) jeudi, on pouvait s’attendre à un dimanche électrique et passionnant. Je vous rassure, ça a été le cas ! J’ai maté … Dolphins @Bills : Une semaine après s’être débarrassé des Patriots, les Dolphins pouvaient-ils enchaîner une deuxième victoire de suite, ou allait-on retrouver les Bills d’EJ Manuel avec une fiche de 2-0 ? On ne va pas faire durer le suspens plus longtemps – non pas parce que l’on ne veut pas mais parce que l’on ne peut pas… La première mi-temps des joueurs de Miami a été catastrophique : tous les drives se sont conclus par un punt, et une seule action s’est déroulée à moins de 50y de la end-zone des Bills. Pendant ce temps, on ne peut pas dire que QB Manuel se balade, mais il fait l’essentiel, en rendant une fiche finale de 16/26 pour 202 yards et 1 TD. En première mi-temps cependant, aucun TD n’est inscrit et c’est K D. Carpenter qui enfile les FG : deux à 27 yards et un à 31 yards, ça fait 9-0. Au retour des vestiaires, on se dit que tout reste jouable, et que si ils ont battu les Patriots, c’est qu’ils sont capables de belles choses. Après un drive construit (enfin !) de 64 yards en 13 jeux, QB Tannehill ne converti pas sa 3ème tentative, et laisse le soin à K Sturgis d’inscrire les 3 premiers points de la franchise (FG de 34y). Mais les Bills ont dans leur rang un joueur imprévisible, depuis 5 ans en NFL, et qui avait fait ses classes à Clemson : RB C.J. Spiller. Hier soir, il a cumulé 69 yards au sol en 12 courses, 9 yards en une réception, mais aussi et surtout un magnifique retour de kick-off de 102 yards se terminant dans la end-zone des Dolphins. Avec 4 sacks subis, QB Tannehill arrivait tant bien que mal à trouver WR Wallace pour un superbe « one hand catch » dans la end-zone, mais la paire EJ Manuel – S. Watkins (rookie) avait décidé de frapper fort : 117 yards à la réception pour le rookie de Clemson, dont un TD de 12 yards. Après deux nouveaux FG de Carpenter dans le QT4 (32 et 38y), l’addition est salée pour les Dolphins, et les Bills se retrouvent leader d’AFC Est, avec une fiche de 2-0. Miami 10-29 Buffalo. MVP du match : RB CJ Spiller a été l’homme clé du côté des Bills, même si l’ensemble des escouades a réalisé un gros travail. Je récapitule : 12 courses pour 69 yards / 1 réception pour 9 yards / 2 retours de...

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NFL Week 1 : Football is Back !
Sep08

NFL Week 1 : Football is Back !

  5 Like(s) Début septembre, comme partout, c’est la rentrée. Ce week end marquait donc la première des 16 semaines que compte la saison régulière NFL. Je vous présente donc mon premier article de l’année, avec un format qui surprendra ceux qui avaient l’habitude de me lire l’année dernière. J’ai maté … Saints @Falcons : Après avoir suivi la franchise d’ Atlanta tout l’été dans la série Hard Knocks, j’étais curieux de voir comment les conseils distillés par coach Smith allaient être mis en évidence. Et dès le début de la rencontre, les fantômes de la saison dernière resurgirent du côté d’Atlanta : 13 points pour les Saints, une attaque incapable d’avancer et une défense plus que faible. Heureusement, QB Matt Ryan a enfin trouvé la cadence, et une réception de Roddy White dans la end-zone puis un FG de Matt Bryant permettaient aux Falcons de rentrer aux vestiaires avec seulement 10 points de retard (20-10). Mais la deuxième mi-temps allait être complètement différente : une adresse retrouvée en attaque, avec notamment 448 yards à la passe pour Ryan, une explosivité et une diversité impressionnante au sol, avec 4 coureurs au dessus des 15y (Jackson, Rodgers, Freeman et Ryan), et une défense enfin agressive, avec une interception de McClain, offraient aux fans des Dirty Birds une lueur d’espoir. Malgré un TD au sol de Ingram à moins de 2 minutes de la fin de la rencontre, qui mettait en évidence la faiblesse du front-seven des Falcons, malgré le retour de Kroy Biermann, c’est kicker Matt Bryant qui offrait la prolongation aux locaux. Après un tel match, on imagine dans quel état – cardiaque – devaient être les fans des Falcons … et bien le tirage au sort décida de donner la première possession aux Saints. Une passe incomplète, puis une complète de Breess pour Colston, et le tournant du match arriva : Safety William Moore – aka celui qui a subi le trash-talking de Roody White tout l’été dans Hard Knocks – provoqua le fumble, permettant à Bartu de le recouvrir …. La suite n’est que logique : un FG de 52 yards pour Matt Bryant … And the kick is GOOD ! Saints 34-37 Falcons. MVP du match : QB Ryan assurément, qui a su débloquer la situation malgré une bonne pression de la DL des Saints (3 sacks). Fiche finale : 31/43 pour 448 yards, 3TD et 0 interception. La note du match : 15/20 – Pour ce premier match de la saison, des surprises, un beau retour de Matt Ryan et même une prolongation … que demander de plus ? J’aurai pu mater … Browns @Steelers : Une rivalité d’AFC Nord pour commencer la saison, ça met tout de suite l’eau à la bouche. Après une pré-saison en demi-teinte, Roethlisberger et l’attaque des Steelers arriveront-ils enfin à faire douter les défenses adverses ? Le coaching staff des Browns a-t-il raison de faire confiance à Hoyer ? Et bien, les 2 mi-temps...

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Réseaux Sociaux : qui est le champion de la toile ?
Avr15

Réseaux Sociaux : qui est le champion de la toile ?

  3 Like(s) Comme pour tous les sujets d’actualités et tous les sports, la NFL et le football américain sont omniprésents sur les réseaux sociaux. Dans cet article, je me pencherai sur les deux réseaux principaux (sur lesquels Vive Le Sport est également présent) : facebook et twitter, tout en sachant que bon nombre de franchises sont également présentes sur google+ et instagram. Être au plus près des fans, faire passer des informations en avant-première, donner accès à des photos ou vidéos qui étaient d’habitude secrètes, telle est le rôle de ces community managers. 1. Sur Facebook, on compte en « J’aime » : Le compte officiel de la NFL, très actif, compte 9 927 922 « j’aime » à l’heure actuelle et se classe 2ème league la plus « aimée » : la NBA (basket) est largement en tête avec plus de 21 millions de fans, tandis que la MLB (baseball) et la MLS (soccer) sont distancés : 5.3 millions et (seulement) 728 800 « j’aime » respectivement. Au sommet du classement des « j’aime » se retrouvent les franchises historiques : les Cowboys de Dallas sont en tête (6.4 millions), devant les Steelers de Pittsburgh (5.5), les Patriots de New England (4.8) et les Packers de Green Bay (5.1). Les Saints, les Bears et les Giants suivent, tous 3 au dessus de la barre des 3 millions. Entre 2 et 3 millions, on retrouve, dans l’ordre : 49ers, Broncos, Eagles, Raiders et Seahawks. Les mauvais élèves du réseau de Mark Zuckerberg sont les Bengals (874 000 fans), les Browns (797 000), les Cardinals (797 000), les Buccaneers (703 000), les Titans (674 000) les Bills (546 000), les Rams (505 000) et les Jaguars (399 000). Même si certaines franchises sont plus médiatisées que d’autres, les résultats tiennent une part importante dans ce classement : les Seahawks, par exemple, ont fait un bon en avant la semaine du 2 février 2014 (SuperBowl remporté), faisant de cette semaine la plus prolifique pour le compte depuis sa création. Du côté des joueurs, c’est QB Michael Vick qui mène le classement, avec 2 457 931 « j’aime », devant RB Reggie Bush (2.4 millions), QB Drew Brees (1.8 millions) ou encore WR Hines Ward (1.5 millions). LB Ray Lewis et RB Adrian Peterson complètent la liste avec plus d’un million de fans. Ensuite suivent les joueurs qui font le plus parler d’eux, sans pour autant aligner les performances incroyables : WR Terrell Owen (994 000), QB Robert Griffin III (858 000), QB Colin Kaepernick (852 000), QB Russell Wilson (841 000) ou encore WR Larry Fitzgerald (829 000). 2. Sur Twitter, c’est la guerre des followers : Comme sur Facebook, le compte officiel de la NFL (@nfl) regroupe de nombreux « followers » : 6.22 millions, et le classement des 4 ligues majeures des USA est le même que précédemment : la NBA (@nba) est en tête avec 9.76 millions, la MLB (@mlb) suit la NFL avec 3.53 millions et la Major League Soccer (@mls) ferme la marche avec 327 000 abonnés. Ce réseau social, roi de l’information flash (le message publié doit faire moins de...

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NFL Draft : les 10 derniers 1st pick … et les surprises !
Avr03

NFL Draft : les 10 derniers 1st pick … et les surprises !

  2 Like(s) La Draft approche, il est temps de vous faire découvrir qui sont les 10 derniers joueurs à avoir été sélectionnés en première position de cette fameuse draft, et de mesurer leur impact dans leur franchise et dans la NFL en général. Certains sont devenus incontournables, d’autres n’ont jamais percé dans ce monde impitoyable. En mai prochain, celui qui sera sélectionné par les Texans rentrera dans l’histoire de la Draft, mais parviendra-t-il à marquer la NFL de son empreinte ? 2004 : QB Eli MANNING – San Diego Chargers. Vous ne rêvez pas, Manning a bien été drafté par les Chargers. Incapable de trouver un accord avec cette franchise, c’est avec les Giants qu’il tombe d’accord. Une première saison en demie-teinte, avec seulement 7 matchs débutés (pour 6TD et 9INT), puis 9 saisons de suite, toujours sous le même uniforme, et surtout sans avoir raté un seul match ! Deux sélections au Pro-Bowl (2008 et 2011) mais surtout deux Super Bowl remportés en 2007 et 2011, deux fois face aux Patriots. La saison dernière, Eli a été à des années lumière du niveau de son frère Peyton (Broncos) en cumulant 18 TD pour 27 interceptions. Un poste de starter, deux bagues de champions : beaucoup de joueurs rêvent de cette carrière, mais qu’en aurait-il été si il avait trouvé un accord à San Diego ? 2005 : QB Alex SMITH – San Francisco 49ers. Que le début de carrière fut compliqué pour Smith ! Titularisé à la tête de l’attaque des Niners dès sa saison de Sophomore (2006), l’ex QB des Utes de l’Utah ne fait pas l’unanimité : 16 TD pour 16 interceptions, et un bilan négatif (7-9) pour terminer 3ème de la NFC Ouest. Puis plus rien pour Smith : 7 matchs joués en 2007, et un soucis à l’épaule lui fait louper l’ensemble de la saison 2008. Il faut attendre 2011, et l’arrivée de coach Harbaugh pour revoir briller Smith : 16 matchs, 17 TD, 9 INT, et le QB échoue en finale NFL face aux Giants. Malheureusement, la saison suivante, une blessure laisse le champ libre à Kaepernick qui ne lâchera plus la place de starter. Smith est tradé chez les Chiefs, et réalise la très bonne saison qu’on connait : 23TD, 7INT, une place en playoffs. Smith peut remercier Harbaugh de l’avoir remis dans le sens de la marche, maintenant la pression est sur ses épaules : peut-il porter les Chiefs une saison de plus ? 2006 : DE Mario WILLIAMS – Houston Texans. Premier joueur de l’AAC (il évoluait à North Carolina State) à être sélectionné comme premier choix, Williams fait longtemps douter les analystes. Après une première saison timide (4.5 sacks en 16 matchs), le DEnd montre enfin l’entendue de son talent...

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NFL Draft : Top 5 prospect (3/4)
Mar26

NFL Draft : Top 5 prospect (3/4)

  2 Like(s) Après les RB, TE et LB dans mon premier article, les WR et CB dans le deuxième, place aux QB et Safeties pour ce troisième épisode. Véritables stars des franchises, ces joueurs sont aussi les premiers sur qui on tape lorsque tout va mal, aussi bien en attaque qu’en défense. Que ce soit en tant que QB ou en Safety, s’imposer dès sa saison rookie est quelque chose de compliqué, mais tout reste possible et les exemples sont nombreux. Sans plus attendre, place donc à ces deux nouveaux top 5. >>> Top 5 : Quarterbacks : Dans n’importe quelle équipe de football, le QB est LA star de la franchise. Protégé par les coachs des blessures pendant les entraînements, adulés par les fans, admirés par le spectatrices, ils sont également la proie facile en cas de débâcle de l’équipe. Cette année encore, la classe de QB est d’un bon niveau, et on devrait voir de nouveaux bras titulaires dans la NFL la saison prochaine. #5 : Jimmy GAROPPOLO, Eastern Illinois, 1.88 m, 103 kg. Doté d’une très bonne vision, Garoppolo est ce genre du QB qui peut se permettre d’attendre le dernier moment pour lancer. Très à l’aise dans sa poche, et surtout très mobile, le QB qui a fait les beaux jours des Panthers (de NCAA bien entendu) pourrait devenir un excellent lanceur en NFL. Souvent en réussite lors de passes que certains n’auraient pas tentées, Garoppolo a cependant ce défaut de trop attendre pour lancer, et ainsi de se prendre des chocs parfois inutiles. Attention, dans une ligue ou les défenses sont de plus en plus athlétiques, les blessures pourraient arriver à grande vitesse… Si, par chance, il est sélectionné dans une équipe où la OL est un point fort, Garoppolo pourrait vite devenir un starter inconditionnel. Etre sélectionné au premier tour semble compliqué vu la densité de la Draft en QB, mais le deuxième tour devrait être une certitude pour ce joueur prometteur. #4 : Derek CARR, Fresno State, 1.88 m, 97 kg. En faisant partie de ces joueurs qui ont la science du football dans le cerveau, Carr est ce type de QB capable de reconnaître les schémas défensifs avant le snap, et de faire bon nombre d’ajustements. Plus à l’aise lorsqu’il est collé au centre, plutôt que placé en shotgun, le Senior de Fresno State profite de son drop-back pour analyser les pressions et les receveurs qui se libèrent. Avec un bras puissant et rapide, Carr est capable d’envoyer des missiles, mais sait aussi gagner de précieux yards au sol quand bon lui semble. Parfois mis à mal par des défenses rapides, le frère de David (sélectionné en pick 1 de la Draft 2002 par...

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NFL Draft : Top 5 prospect (1/4)
Mar17

NFL Draft : Top 5 prospect (1/4)

  1 Like(s) Comme vous avez pu le deviner à l’aide du titre, voici le premier article d’une nouvelle série, qui en comportera 4. Alors que la Free Agency bat son plein – à suivre sur notre compte facebook – il faut également penser au futur et à la Draft (voir notre photo de couverture facebook). Dans cette optique, nous allons publier 4 articles qui seront des « Top 5 » de futurs stars NFL, en les classant par poste. Pour ce premier article, vous aurez le droit (exceptionnellement) à 3 classements : RB, TE pour l’attaque, et LB pour la défense. Dès jeudi, vous retrouverez WR et CB. Dans une semaine, ça sera QB et Safety, et pour finir jeudi avec les linemen. Bonne lecture, et n’oubliez jamais : la Draft est l’avenir de la NFL ! >>> TOP 5 : Runnings Backs : Bien que souvent mis en avant en NCAA et même en NFL, les RBs ne sont pas souvent nombreux au 1er tour de la Draft. Encore une fois, il ne devrait pas y en avoir. Cependant, cela ne joue en rien sur leurs qualités : LeSean McCoy a été sélectionné en 2009 au deuxième tour (pick 53), tout comme Maurice Jones-Drew en 2006 (pick 60) ou même Eddie Lacy l’année dernière (pick 61). #5 : Jeremy HILL, LSU, 1,86m, 105 kg. En tant que Sophomore, Hill prend des risques à se présenter si tôt à la Draft. Après seulement 2 années sur le campus de LSU, le joueur a tout de même eu le temps d’impressionner. En 11 matchs, il a cumulé 14 TD cette saison (12 l’année dernière) et 1940 yards au sol sur ses deux années. Très peu utilisé à la passe (seulement 26 réceptions) en 2 ans, Hill devra travailler cette partie de son jeu pour devenir un RB complet en NFL. Très puissant, Hill sait continuer à avancer après le premier contact, et possède une très bonne vision du jeu, ce qui peut lui permettre de changer d’assignation rapidement, toujours dans le but de gagner plus de terrain. Cependant, en étant derrière une des meilleures OL de la NCAA, le talent de Hill est difficilement estimable. Avec un temps « moyen » de 4.66 au 40 yards dash lors du Combine, certaines équipes pourraient hésiter à le choisir. Il est estimé en fin de 2ème tour, voir au 3ème tour de la Draft. #4 : Bishop SANKEY, Washington, 1.76m, 94 kg. LE poids plume du poste, mais très agile, il est comparable à Giovanni Bernard. Classé seulement 150ème RB lors de son arrivée à Washington, il y a 3 saisons, Sankey a eu le temps de montrer toutes ses qualités. Agile et doté...

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NFL Review : Extra-point
Mar10

NFL Review : Extra-point

  1 Like(s) Comme vous avez pu le suivre pendant 4 semaines, la série d’articles (8) revenant sur les points forts et les faiblesses de chaque équipe durant la saison 2013-2014 est terminée. Aujourd’hui, place à un article « complet », avec les liens vers les 8 articles de la série, mais aussi quelques nouveaux paragraphes. Bonne lecture. Un article vous a échappé ? Aucun souci, c’est par ici : Pour les Ravens, Steelers, Bengals et Browns, c’est l’AFC Nord. Pour la NFC Nord, on retrouve : Vikings, Lions, Bears et Packers. Pour les Dolphins, Jets, Patriots et Bills, c’est l’AFC Est. Pour la NFC Est, on retrouve Cowboys, Redskins, Giants et Eagles. Pour les Broncos, Chiefs, Raiders et Chargers, c’est l’AFC Ouest. Pour la NFC Ouest, on retrouve Rams, Seahawks, Cardinals et 49ers. Pour les Titans, Texans, Jaguars et Colts, c’est l’AFC Sud. Pour la NFC Sud, on retrouve Saints, Falcons, Buccaneers et Panthers. Voici donc le « classement » des 32 franchises NFL pour la saison 2013-2014 : sans surprise, les champions en titre occupent la première place … Seahawks A+ Broncos A Eagles A 49ers A- Panthers A- Pats A- Cardinals B+ Colts B Saints B Chargers B Bengals B- Chiefs B- Packers B+ Rams B- Bears B- Steelers C+ Jets C Ravens C- Cowboys C- Vikings D+ Dolphins D Titans D- Bills D- Giants D- Raiders E Jaguars E Browns E Falcons F Buccaneers F Texans F Lions F Redskins F Maintenant que vous avez tout bien suivi, vous pouvez vous tester sur notre quizz : ici. Les images de la saison : Rémy : Il est évident que si je devais choisir une seule image pour illustrer cette saison NFL, elle doit être dédiée au sacre des Seahawks. Seattle paraissait intouchable cette année en dépit d’une concurrence féroce de son rival Californien (les 49ers). Beaucoup d’images auraient mérités leur place ici ( célébrations et remise des trophées, Russel Wilson, Richard Sherman, Marshawn Lynch ou Malcolm Smith en tant que MVP du Super Bowl) mais j’ai décidé de mettre en avant une photo prise pendant la parade des Seahawks à leur retour de New-York. Pour deux raisons: – Elle rend hommage aux nombreux fans d’une franchise sevrée de titre depuis sa création, en 1976. Des fans incroyables capables de faire trembler le sol et surnommés, à juste titre, le « 12th man« . – Elle résume, à elle seule, toute la magie qui enivre le sport. Ces scènes de joie constituent la plus belle des vitrines pour le sport en général, et le football américain en particulier. Etienne : Avec Rémy, nous ne nous sommes pas du tout concerné pour le choix des images de l’année. Cependant, nos...

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NFL Review : AFC Sud (7/8)
Mar03

NFL Review : AFC Sud (7/8)

  0 Like(s) Pour l’AFC, il s’agit du dernier article. Vous retrouverez la NFC en milieu de semaine, et cette série de huit articles sur la saison passée de NFL sera bouclée. En espérant que ce retour en arrière vous ait plu, place aujourd’hui à l’AFC Sud, avec les Colts, les Jaguars, les Titans et les Texans. Retrouvez, comme d’habitude, ce qui a fonctionné, ce qui a moins bien tourné et ce qui a été désastreux pour chaque franchise. Classement : 1. Colts . 11-5 2. Titans . 7-9 3. Jaguars . 4-12 4. Texans . 2-14 >>> Colts d’Indianapolis : B The good : Souvenez-vous, en 2011 : Manning contraint de ne pas jouer la saison à cause d’une opération au cou durant l’été, et s’en est suivi une saison pitoyable : 2-14. Lors de la Draft, toutes les questions étaient permises sur le choix des Colts, mais ils finirent par prendre QB Andrew Luck. Depuis, Manning est parti, laissant à Luck les rennes de la franchise. Cette saison encore, Andrew Luck a prouvé qu’il était au niveau. 3 822 yards lancés, 23 TD et 9 interceptions, c’est loin d’être pitoyable, surtout quand l’équipe termine en playoffs (11-5). Parlons justement des playoffs, et notamment du match contre les Chiefs, durant lequel Luck a montré ses deux visages. Après 2 interceptions et 1 seul TD en première mi-temps, puis une interception sur le premier drive du QT3, tout le monde voyait les Colts éliminés avec 28 points de retard. Cependant, Luck a réussi à inverser la tendance : TD pour Brown, TD pour Fleener, TD au sol personnel et enfin TD pour Hilton. C’était seulement la deuxième fois de l’histoire qu’une équipe remontait un déficit de 28 points en playoffs, et Luck signait là sa première victoire en playoffs. Le début d’une longue dynastie ? Qui sait … The bad : Les Colts sont l’une des franchises les plus irrégulière, en témoigne encore les résultats de cette saison. Capables de battre les Seahawks (week 5), ils se permettent une défaite face aux Chargers une semaine plus tard, ou même un revers chez les Cardinals (w. 12). Résultat, Indianapolis arrive en playoffs sans capital confiance, se fait peur face aux Chiefs et puis se noie face aux Patriots, avec notamment plus de 200 yards encaissés au sol (166 pour Blount, 52 pour Ridley et 17 pour Vereen). Et encore une fois, Luck avait lancé 4 interceptions, soit au total 7 interceptions sur deux matchs de playoffs (pour seulement 9 lancées lors de la saison régulière). Même si le corps de receveur est loin d’être le meilleur de la league (Hilton, Fleener, Brazil, Whalen), Luck doit être capable de réaliser une meilleure sélection sur ses lancés, et surtout arrêter de lancer plus d’un quart de ses balles (28%) sur Hilton (comme peut faire Stafford avec Johnson). Même si finir une saison avec une fiche de 11-5 est tout...

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